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Les organisations
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Les organisations• Sam 7 Oct - 23:21
Liste des organisations :

elles se listeront ici par ordre alphabétique

Modèle de fiche pour des Organisations/Gangs

Nom de l'organisation

LeLion

Membres PJs


- Les actuels
- pas besoin des liens
- dans cette partie

Membres PNJs


- Les actuels.
- pas besoin des liens
- dans cette partie

Identité & Historique



Nom complet et surnoms ou sigles associés : Exemple: Centre Armé de Replicare (CAR)

Couleur associée :Le petit code couleur de l'orga s'il y en a un.

Symbole de reconnaissance :Un vêtement d'une certaine couleur, un emblème, un tatouage, un langage secret, etc.

Devise :Devise ou citation typique de l'organisation ou de ses membres.

Date de création : La date rp bien sûr. Signalez la date de fin d'organisation si elle est détruite.

Nom du ou des membres fondateur(s) : Les noms des membres du forum à qui l'orga appartient. Info HRP donc.

Membres notables :Liste des membres historiques, en comptant les décès ou ceux qui ont pris leur retraite.Pensez à ajouter les liens des fiches référencées (PJ et PNJ).

Activité criminelle ou illégale :Oui ou non. Une agence gouvernementale (ou autre) n'est pas considérée comme criminelle si ses crimes sont sus et classés secrets par la Fédération.

Evolution historique : Evénements notables avec liens des rps où cela s'est produit.

Structure & Organisation



Hiérarchie :Les titres, les rangs, ce qu'ils traduisent et comment y parvenir. N'ayez pas peur des détails jugés utiles.

Nombre de membres :Le nombre n'a pas à être précis s'il varie tout le temps ou est compliqué à estimer. Pensez à éventuellement signaler des répartitions, comme entre cadres et employés.

Méthodes de recrutement :Prospectus, annonces, embauche directe, rite de passage, etc

Modes de communication :Courrier, messagers, téléphone, LCD, etc 

Activités & Objectifs



Activités principales :Pensez à bien signaler ce qui est illégal ou tenu secret. Séparez distinctement les domaines pour une meilleure lisibilité et éviter toute confusion.

Objectifs à court et long terme :Il n'est pas obligatoire qu'il évolue avec le temps. Connaître un objectif à long terme, même dissimulé, peut aider les scénaristes à vous offrir des opportunités.

Stratégies utilisées :Le ou les moyens principaux utilisés par l'organisation. Exemples : troc, coercition, publicités dans les journaux, appuis politiques, location de terrains, spéculation boursière, etc.

Sources de revenus :Le montant des revenus est purement facultatif. Il faut surtout savoir comment conserve sa santé économique.

Ressources matérielles :Le type de matériel ou de bâtiment typiques de l'organisation  

Influence & Relations


Zones d'influence et activités : Si rien de notable ni fixe, signalez-le simplement.

Conflits ou alliances avec d’autres organisations :Pensez aux PRs. Ne notez que ce qui est pertinent et durable.

Relations publiques :Décrivez ici l'image de l'organisation aux yeux du public et des autorités.




Code:
<div class="ficheContainer2"><!-- TITRE--><h2>Nom de l'organisation</h2><!--

--><img src="https://www.silverdisc.co.uk/sites/default/files/sd_importer/lion_jpg_21.jpg" alt="LeLion" /><!--

Membres PJs --><div class="ficheSideBoxes"><h2>Membres PJs</h2>
- Les actuels
- pas besoin des liens
- dans cette partie </div><!--

Membres PNJs --><div class="ficheSideBoxes"><h2>Membres PNJs</h2>
- Les actuels.
- pas besoin des liens
- dans cette partie </div><!--

HISTORIQUE --><div class="ficheContent"><h2>Identité & Historique</h2>

<b>Nom complet et surnoms ou sigles associés :</b> Exemple: Centre Armé de Replicare (CAR)

<b>Couleur associée :</b>Le petit code couleur de l'orga s'il y en a un.

<b>Symbole de reconnaissance :</b>Un vêtement d'une certaine couleur, un emblème, un tatouage, un langage secret, etc.

<b>Devise :</b>Devise ou citation typique de l'organisation ou de ses membres.

<b>Date de création :</b> La date rp bien sûr. Signalez la date de fin d'organisation si elle est détruite.

<b>Nom du ou des membres fondateur(s) :</b> Les noms des membres du forum à qui l'orga appartient. Info HRP donc.

<b>Membres notables :</b>Liste des membres historiques, en comptant les décès ou ceux qui ont pris leur retraite.Pensez à ajouter les liens des fiches référencées (PJ et PNJ).

<b>Activité criminelle ou illégale :</b>Oui ou non. Une agence gouvernementale (ou autre) n'est pas considérée comme criminelle si ses crimes sont sus et classés secrets par la Fédération.

<b>Evolution historique :</b> Evénements notables avec liens des rps où cela s'est produit.</div><!--

STRUCTURE N ORGANISATION --><div class="ficheContent"><h2>Structure & Organisation</h2>

<b>Hiérarchie :</b>Les titres, les rangs, ce qu'ils traduisent et comment y parvenir. N'ayez pas peur des détails jugés utiles.

<b>Nombre de membres :</b>Le nombre n'a pas à être précis s'il varie tout le temps ou est compliqué à estimer. Pensez à éventuellement signaler des répartitions, comme entre cadres et employés.

<b>Méthodes de recrutement :</b>Prospectus, annonces, embauche directe, rite de passage, etc

<b>Modes de communication :</b>Courrier, messagers, téléphone, LCD, etc </div><!--

ACTIVITES N OBJECTIFS --><div class="ficheContent"><h2>Activités & Objectifs</h2>

<b>Activités principales :</b>Pensez à bien signaler ce qui est illégal ou tenu secret. Séparez distinctement les domaines pour une meilleure lisibilité et éviter toute confusion.

<b>Objectifs à court et long terme :</b>Il n'est pas obligatoire qu'il évolue avec le temps. Connaître un objectif à long terme, même dissimulé, peut aider les scénaristes à vous offrir des opportunités.

<b>Stratégies utilisées :</b>Le ou les moyens principaux utilisés par l'organisation. Exemples : troc, coercition, publicités dans les journaux, appuis politiques, location de terrains, spéculation boursière, etc.

<b>Sources de revenus :</b>Le montant des revenus est purement facultatif. Il faut surtout savoir comment conserve sa santé économique.

<b>Ressources matérielles :</b>Le type de matériel ou de bâtiment typiques de l'organisation  </div><!--

INFLUENCE N RELATIONS --><div class="ficheContent"><h2>Influence & Relations</h2>
<b>Zones d'influence et activités :</b> Si rien de notable ni fixe, signalez-le simplement.

<b>Conflits ou alliances avec d’autres organisations :</b>Pensez aux PRs. Ne notez que ce qui est pertinent et durable.

<b>Relations publiques :</b>Décrivez ici l'image de l'organisation aux yeux du public et des autorités. </div></div>
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Re: Les organisations• Jeu 15 Aoû - 5:31

Le CAR

LeLion

Membres PJs


   aucun

Membres PNJs


   en cours

Identité & Historique



   Nom complet et surnoms ou sigles associés : Centre Armé de Replicare (CAR)

   Couleur associée :#341d5d Indigo typique des uniformes

   Symbole de reconnaissance : C'est une armée nationale, donc les signes vont du drapeau aux insignes, uniformes, chants et tampons sur d'innombrables documents. L'étoile de l'emblème est formée à partir des lettres A,V et R.

   Devise : "Au CAR de tour !" et "Jusqu'au dernier CAR" (devises d'assauts popularisées)

   Date de création : An 7, par le Conseil Fédéral également créé à cette époque.

   Nom du ou des membres fondateur(s) : Staff

   Membres notables :en cours

   Activité criminelle ou illégale :Non. Les opérations noires sont toujours validées par le Conseil Fédéral.

   Evolution historique :

An 7 : Création du CAR

An 9 : Découverte du sommet du Mur.

An 18 : Militarisation d'Imperator Ventis et traque des pirates à travers toute la Mer Micéenne marquant la fin de l'âge d'or de la piraterie.

An 26 : Purge de Miracle Lake suite à l'attentat du Heavengate.

An 29 : Soutien actif à Mordun pour aider les résistants de Lastcastle à combattre le Voile, suite à la chute d'Eigon en 28.

An 42 : Prise de contrôle du barrage Sorgel, à New Eigon. Plus personne d'autre que le CAR y est autorisé.

An 57 : Première expédition dans le Voile.

An 61 : Première expédition sécurisée dans le Voile.

An 65 : Nouvelle purge aux îles de Mice pour éradiquer le mutagène.

An 68 : Le CAR place Magmirac en quarantaine.

An 69 : Première expédition dans le Voile revenue indemne.

An 72 : Interruption de la purge de Mice suite à une opposition avec Mordun. Levée de la quarantaine de Magmirac.

An 73 : Les premiers exosquelettes sont utilisés et ne nécessitent pas d'être mécanisé(e).

An 80 : Premiers soldats mécahumains opérationnels.

An 91 : Premiers escadrons motorisés.

An 96 : Premiers blindés à vapeur utilisés.

Structure & Organisation



   Hiérarchie :

Du plus bas au plus haut grade :

Soldats du Rang : Simple recrutement par signature ou être engagé (le métier)

★ 3ème classe : Unité toujours en formation. Celles qui sont trop jeunes pour aller au combat sont appelées Cadets. On peut être cadet jusqu’à ses douze ans.

★ 2ème classe : Unité ayant terminé sa formation, mais n’ayant pas encore démontré de courage au feu.

★ 1ère classe : Unité ayant patrouillé pendant un an ou ayant terminé une mission en dehors de sa caserne.

★ Caporal : Unité ayant accompli un acte notable ou permis l’accomplissement d’une mission. Une unité caporale peut former des soldats. Un caporal peut commander une escouade, soit un groupe de 3 à 6 unités. Son travail consiste aussi à épauler les sergents.


Sous-officiers : Faire ses classes ou être éclaireur, dresseur, mercenaire, garde, militaire, répurgateur ou templier

★ Sergent : Unité considérée comme vétérane et ayant démontré des capacités de commandement. Une unité sergente peut commander une patrouille, soit un groupe de 7 à 15 unités. Les sergents ont des caractères variés, mais le nombre de personnes sous leur responsabilité en font souvent des gens proches de leurs soldats. Les sous-officiers qui ne désirent pas devenir officiers restent à ce poste.

★ Adjudant : Unité spécialisée dans la logistique et l’intendance. Elle veille à ce que tout soit maintenu à flot et inclut le moral des troupes dans les denrées à préserver. Une unité adjudante prépare souvent son entrée chez les officiers dont elle est une sorte d’écuyer.


Officiers : Faire ses classes et changer son métier pour devenir militaire

★ Lieutenant : Unité polyvalente dans tous les domaines et parfait hybride entre la troupe et le commandement. Une unité lieutenante est souvent en première ligne avec son escadron pouvant monter jusqu’à 60 soldats. Elle a un grand pouvoir de commandement tout en demeurant sacrifiable.

★ Capitaine : Unité douée de la faculté à comprendre et estimer l’état de chaque soldat sous son commandement. Une unité capitaine est quasi un parent de substitution et elle peut mener son bataillon de 300 unités jusqu’à sa limite extrême. Il s’agit du dernier rang offrant une réelle proximité avec les individus. Les militaires qui désirent rester sur le terrain dans la boue avec des gens de confiance ne franchissent pas les autres échelons.


Officiers supérieurs : Faire ses classes, être militaire et connaître la stratégie et les cultures victoriennes.

★ Commandant : Unité spéciale chargée d’une région ou d’un quartier. Il y en a un dans chacun d’eux, y compris les zones neutres ou hostiles. L’unité commandante sert de lien entre la situation géopolitique et l’état-major. Si elle possède des soldats, elle fait volontiers davantage appel à des espions ou mercenaires pour mener des opérations de renseignement ou de sabotage au besoin. C’est aussi elle qui sert d’avocat du diable de sa zone d’attribution et de bouc émissaire en cas d’échec. Fort heureusement, cette unité a déjà prouvé sa valeur et est habile à manœuvre avec stratégie. Nombre de régions oublient même qu’une unité commandante les surveille.

★ Colonel : Unité emblématique du commandement et de la stratégie militaire dans lesquelles elle excelle. L’unité colonelle reste en retrait sur le champ de bataille, mais y assiste et peut prendre part au combat avec le reste de ses soldats. Elle sert de liant entre l'action de terrain et le QG. Elle dirige un régiment de 1500 unités. Dans un jeu d’échecs, elle est la pièce du Roi et préférera la mort au déshonneur.


Officiers généraux : faire ses classes, être militaire et une sommité dans son métier

★ Général : Unité ayant de rares facultés à diriger et tout comprendre, tout anticiper. L’unité générale est quasi une machine à analyser et prendre les bonnes décisions, même depuis un bureau. La guerre fait partie de sa génétique et elle peut commander sa division dédiée de plusieurs milliers d’unités. Les généraux sont les chefs absolus de leur branche. La division est une armée polyvalente avec une spécialité adaptée au style de l’unité générale. Cette spécialité est retrouvée dans le titre de l’unité générale. Général(e) d’infanterie, de cavalerie légère, de blindés, de flotte, de parachutistes etc.

★ Maréchal : Unité au titre honorifique, sans pour autant être au-delà des généraux. L’unité maréchale a simplement tellement écumé les cartes et opérations diverses qu’elle est perçue comme fusionnée au CAR. Elle passe alors le reste de sa vie à conseiller, profitant parfois de l’idiotie de ceux qui penseraient que leur âge souvent avancé en fait des gens qui ne se renseignent plus ou qui n’ont plus la capacité à comprendre le monde en constante évolution. L’unité maréchale est, de fait, la plus proche du monde politique, car elle est la seule à pouvoir officier en tant qu’Administratrice dans le Conseil Fédéral. Elle sert de passerelle entre le monde civil et militaire et veille aussi à ce que les généraux ne quitte pas la ligne de droiture exigée d’eux.


Rangs spécial : Être prêtre, templier ou érudit dans un domaine religieux.

★ Aumônier : Unité dont le rang n’est pas fixe, en ce sens qu’il s’adapte au soldat avec qui l’unité aumônière parle. Elle emploie souvent le tutoiement ou utilise les prénoms, choses que les interlocuteurs peuvent faire envers elle. Les aumôniers servent de confidents, de garde-fous et de soutien moral à quiconque sent qu’il a besoin de parler. Ces unités ne sont pas aptes à commander et servent bien de pures aides morales au CAR. Leur tempérament et le secret absolu des confessions en font des unités appréciées sur lesquelles les militaires savent qu’ils peuvent compter.


Rangs spécial : Être excellent(e) dans son métier.

★ Major : L’unité major est tout simplement un grade d’expertise concédé à une personne externe appelée par le CAR en renforts. Elle a un grade égal à celui de lieutenant et fait profiter l’armée de son expertise dans son domaine. Une formation lui est prodiguée, mais elle n’est en rien tenue de porter les armes et elle n’a aucun groupe de soldats à commander. Son grade de Major lui offre simplement le crédit nécessaire à pouvoir débattre avec des officiers et même contredire sans crainte des sous-officiers. Il faut voir ce rang comme un contrat à durée déterminé pour servir de consultant ou consultante au CAR. En cas de bonne entente et d’efficacité indéniable, le contrat peut-être reconduit. L’appellation du rang suit le métier d’expertise. Forestier major, Pilote major, mysticienne major, etc.

   Nombre de membres : Environ cinq millions de militaires et aides diverses en logistique. Les forces d'intervention pures sont estimées à un peu plus de 700.000 unités. Les groupes sont organisés comme suit:

Unité : 1 soldat
Escouade : 3-6, dont au moins un caporal
Patrouille : 7-15 dont au moins un sergent
Escadron : 60, dont au moins un lieutenant
Bataillon : 300, dont au moins un capitaine
Régiment : 1500, dont au moins un colonel
Division : Plusieurs milliers, dont au moins un général
Le Centre : Toute l'armée au grand complet.

Une division est donc un ensemble de régiments, qui sont un ensemble de bataillons, etc...

   Méthodes de recrutement : Tout ce qui existe et est légal. Il y a une formation pour rester et progresser dans l'organisation.

   Modes de communication : Tout ce qui existe et existera

Activités & Objectifs



   Activités principales :

- Protéger les victoriens de toute menace extérieure.
- Parfaire le combat contre le Voile.
- Aider au développement de technologies de pointe, souvent en étant les premiers équipés de prototypes.
- Combattre toute menace intérieure pouvant mettre en péril la Fédération ou l'espérance de survie des citoyens.
- Rassurer le peuple et constituer une force indépendante des régimes provinciaux, sans pour autant commander à leur place.

Activités secrètes :

- Se renseigner et veiller à contrôler la population.
- Accomplir des opérations noires pour régler des problèmes plus rapidement qu'un recours devant les tribunaux.
- Voir si le Voile peut être dompté et le cas échant en faire une arme ou une aide technologique.

   Objectifs à court et long terme : Protéger la Fédération et les membres de la citoyenneté.

   Stratégies utilisées : Tout ce qui est légal ou validé par le Conseil Fédéral. Cela va du placement d'avant-postes à de la propagande par divers médias artistiques.

   Sources de revenus : Les subventions proviennent d'impôts de toutes les provinces, ainsi que de dons ou de saisies.

   Ressources matérielles : C'est très varié, mais l'imaginaire collectif retient principalement les troupes montées avec des arcs ou arbalètes et les l'infanterie avec des carabines, armures et épées. Les témoins de purges pensent plus rapidement à des soldats en exosquelette ou mécanisés faisant usage de lance-flammes et équipements destructeurs.   

Influence & Relations


   Zones d'influence et activités : tout Replicare

   Conflits ou alliances avec d’autres organisations :

en cours

   Relations publiques : Le CAR est autant craint qu'il est respecté. C'est une armée puissante et en avance sur son temps qui a déjà pu choquer par la radicalité de ses méthodes. Cependant, tout le monde sait qu'ils ne font qu'obéir aux ordres de la Fédération et que bien peu d'entre eux prennent plaisir à des actes horribles. Le contact avec le CAR dans le quotidien est plutôt cordial. Ils guident des gens perdus, plaisantent volontiers avec l'habitant local et se tiennent toujours prêts à toute éventuelle menace. C'est une force apaisante et essentielle au maintien de la cohésion interprovinciale.

Il demeure une forme de rivalité avec les armées provinciales ou les milices. Quand bien même leur rôle n'est en rien de gérer les provinces, les forces en présences n'aiment pas trop les voir dans les parrages ou jalousent le fait qu'une part des impôts aillent dans une armée plus "inutile" et avec un bien meilleur équipement. Nombre de citoyens et anti-militaires font également d'eux diverses caricatures, mais jamais devant eux. Il y en a également qui se demandent ce qu'il se passerait si le CAR décidait subitement de devenir son propre chef.


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Re: Les organisations• Mar 17 Sep - 16:15

Police de Replicare

LeLion

Membres PJs


   Baruk Gharr

Membres PNJs


   en cours

Identité & Historique



   Nom complet et surnoms ou sigles associés : Bureau de Police de Replicare (BPR) Ou police, les flics, condés, poulets, pigs, etc.

   Couleur associée :#2631ec Bleu typique des uniformes

   Symbole de reconnaissance : L’équipement varie selon les régions et les besoins, mais tout membre de l’organisation possède au moins un insigne (appelé aussi une plaque) sur le torse, un couvre-chef ou dans une poche. Il représente l’emblème de la Police et est en bronze couvert d’une fine couche d’argent.

   Devise : « Cave lucem » (prends garde à la lumière) est la devise officielle, mais la plus répandue demeure « Protéger et sévir ».

   Date de création : Probablement courant an 5, quand les premières armes forgées ont permis de chasser les pillards et sécuriser les semis ou proto-villages et que les premières guildes ont vu le jour.

   Nom du ou des membres fondateur(s) : Staff

   Membres notables :en cours

   Activité criminelle ou illégale :Non. Tout élément interne à l’organisation commettant le moindre crime est considéré comme corrompu et se voit privé définitivement de l’exercice de ses fonctions.

   Evolution historique :
An 5 : Création du BPR à Magmirac. Les gens d’armes qui souhaitent toujours patrouiller et organiser la sécurité à l’intérieur des zones habitées fondent la guilde et veillent à ce qu’aucune mafia ne pervertisse leurs actions d’Archan à Costa Roja, où leur force sur place doit toutefois composer avec les bandits affranchis.
An 7 : Le chemin de fer reliant Vall et Archan permet un transit facilité de matériel. Le BPR se rallie à la Fédération fraîchement créée, toutefois il est décidé que chaque province pourra disposé de ses propres forces de l’ordre. La police devient un pouvoir organisationnel juridique en plus de servir de force d’intervention.

An 10 : Qulleqipok et Dahikar acceptent la présence policière, même si celle-ci a peu de zones urbanisées à couvrir. La police rurale se développe jusqu’à devenir une branche entière du BPR.

Les Îles tentent d’implanter une police maritime, mais seule Imperator Ventis parvient à faire régner la loi sans recours à l’armée fédérale jusqu’en l’an 12. L’adage Cave lucem traverse la mer et se fait adopter sur les deux continents.

An 12 : Les premiers conflits armés entre les forces de police et une partie du peuple arrivent. Les causes sont le manque de sécurité et les disparités de répartition des richesses, pointant principalement l’accès à la nourriture. Les conflits à Magmirac et Imperator Ventis sont très violents, mais c’est surtout à Archan Capitale, en proie à la famine, que les affrontements les plus critiques ont lieu. Le BPR se voit accusé d’être le chien des puissants.

An 13 : La création du moon, la tablette nutritive, permet la fin de la guerre civile. Le BPR manque de redorer son image en n’ayant pas la charge de la distribution des vivres, allouée à l’église sidéraliste qui en récolte les lauriers.

An 14 : La Fédération oblige la police à la plus grande vigilance concernant la recrudescence de personnes mutahumaines. La police devient terriblement stricte à l’égard de cette population, ce qui tend à rassurer les victoriens en proie à la paranoïa. Le BPR reprend ses lettres de noblesse et voit son insigne recouvert d’argent en référence aux garous et vampires de Magmirac qui craignent ce matériau. La police rurale ou ayant difficilement accès aux soins devient particulièrement teigneuse à l’égard des mutahumains.

An 18 : La police a de plus en plus de mal à faire son travail initial dans un monde radicalisé et en proie à une guerre mondiale. Un combat de coudes s’opère entre le BPR et le CAR pour ne pas changer tout Replicare en bunker.

Les premiers pourparlers veillant à redéfinir les attributions de la police ont lieu. On y fait mention de séparer le pouvoir d’appréhender des suspects de celui de les juger. La proposition laisse dubitatif en raison de la masse administrative que demanderait la séparation des deux pouvoirs. Eigon, Qulleqipok et Mice soutiennent toutefois la proposition qui n’est pas oubliée mais seulement ajournée.

An 20 : La fin de la guerre permet à la police de se réimplanter et de renouer le dialogue avec les victoriens. La chasse aux mutants y est toujours drastique, mais nombre d’actions à portée éducative ou sur la protection de la jeunesse aident à apaiser les tensions. La police sécurise également de nombreux cites de reconstruction et aide à chasser des animaux sauvages des zones habitées.

Le BPR profite de l’accalmie pour revoir son organisation et spécialise ses agents en incluant même des externes pour offrir une mouture moins hermétique.

An 23 : L’avènement du cinéma contribue à populariser le roman noir. La figure du policier, du shérif ou du détective rugueux attirent les victoriens vers les métiers du BPR. Contrairement aux idées reçues, les suspects de ces fictions ne sont pas toujours des mutants et nombre d’œuvres nuancent même leur apparition.

An 28 : La chute d’Eigon mobilise le CAR et offre au BPR une voie royale pour sécuriser et protéger les habitants du dernier continent viable.
An 33 : La tension grimpante à Costa Roja complique la tâche de la police déjà en guerre contre les créatures sauvages depuis la création du Lac Chiltique par le barrage Sorgel. Les shérifs et les bandits se rendent coup pour coup dans la jungle et aux abords du désert.

An 39 : Le BPR n’a pu que retarder l’inévitable et Costa Roja entre en guerre civile. La police déserte peu à peu la cité portuaire d’où émergent les Doms et s’implante à la frontière avec Dahikar pour y protéger les réfugiés du conflit et poursuivre la traque des hors-la-loi isolés.

Dahikar en profite pour renforcer la sécurité à Jamalila et en Hayatasi qui deviennent de plus en plus fertiles grâce au lac.

An 45 : La Constitution victorienne tout juste créée redéfinit les pouvoirs de la police qui n’a plus automatiquement la charge de rendre les jugements des suspectes appréhendés. Si les lois fédérales demeurent impératives à respecter, chaque province attribue désormais à ses forces de l’ordre les pouvoirs propres à son idéologie politique.

An 54 : Le BPR découvre la corruption des sources de Yeti Gaisi à Qulleqipok et demande plus de fonds pour combattre les malfaiteurs mutants. La mentalité ayant évolué depuis l’an 20, sa croisade n’est plus perçue d’un très bon œil et il devient compliqué de mettre tous les sangs corrompus dans le même panier.
An 56 : Suite à des actes pacifistes d’opposition de la population mutante au traitement ségrégationniste qui leur est fait, Vall intègre pour la première fois la mutahumanité dans ses forces de l’ordre, ainsi qu’à d’autres postes de juristes veillant à rendre les jugements plus équitables.

An 68 : Le BPR combat, puis soutient les manifestations de Vall à l’encontre des purges aux Îles de Mice. Les services d’ordre entre en guerre intestine à la mise en place de la quarantaine, entre ceux qui accusent les pro-mutants de mettre en péril la vie de tous et ceux qui accusent les anti-mutants de manquer à leur devoir de protéger la population.

An 71 : Malgré la quarantaine, des perfusions de sang S parviennent à Magmirac et le marché noir adoucit la guerre des polices malgré les conditions douteuses d’administration des traitements.

Dans le reste du monde, le BPR obtient, avec le CAR, un filon garanti pour pourvoir ses membres et ce malgré les nombreuses critiques envers la condamnation à l’addiction.

An 72 : La levée de la quarantaine termine la guerre des polices, mais la hausse fulgurante des prix du sang S oblige nombre de membres du BPR à gagner du galon pour pouvoir financer le traitement ou fricoter avec l’illégalité. Le prétexte à promouvoir des non-mutants semble tout trouvé et la plupart des policiers mutants se voient attribuer des quartiers pauvres ou des postes précaires.

An 77 : La police s’équipe de scans à sang contaminé sur toutes ses provinces et teste chaque suspect arrêté et placé en garde-à-vue.

An 88 : Chaque poste du BPR s’équipe du téléphone et permet aux citoyens de les contacter via des cabines publiques.

An 98 : Une version moins blindée du char équipe certains services de police.

Structure & Organisation



   Hiérarchie :

★ Cadet/Cadette : Unité toujours en formation. Ils portent déjà l’insigne, mais ne peuvent patrouiller seuls et doivent obéir aux instructions des agents.

★ Agent/Agente : Unité ayant terminé sa formation. Elles sont les personnes à tout faire et les figures les plus communes. Bien que polyvalente, cette unité est spécialisée dans un domaine, comme la patrouille, sécurisation de site, circulation, etc. Certaines brigades ont des chevaux, des vélos ou des véhicules motorisés pour accomplir leur tâche et il est erroné de penser qu’un agent est forcément un inspecteur raté. Il préfèrera peut-être la mobilité, le plein air ou n’aura tout simplement pas le goût des dossiers d’investigation.

Les agents se reconnaissent au port quasi-constant de l’uniforme. Beaucoup parmi eux sont athlètes, pilotes, juristes ou même militaires.

★ Inspecteur/Inspectrice :  Unité formée aux techniques d’investigation et responsables des affaires criminelles à résoudre, même si leurs missions consistent aussi à s’occuper de simples délits depuis leur bureau. Ils réceptionnent les citoyennes et citoyens pour ouvrir divers dossiers et se font seconder par des agents au besoin pour des tâches précises.

Nombre d’inspecteurs sont enquêteurs de métier, mais on y trouve aussi des exologues, forestiers ou statisticiens.

★ Commissaire : Unité responsable d’un poste de police et des résultats des affaires en cours. Elle commande aux inspecteurs et organise les patrouilles des agents.

Les commissaires sont d’anciens inspecteurs qui ont démontré leurs talents à gérer et s’adapter aux mouvements de population. Ils sont bien renseignés sur leur quartier et ont un important réseau d’informations pour manœuvrer habilement. Il arrive que certaines unités de plus petits postes se rendent sur le terrain, mais les commissariats des zones à forte densité de population ne permettent plus aux commissaires de quitter leur bureau, voire leur téléphone.  

★ Préfet/Préfète : Unité chapeautant les commissaires d’une province et chargée de maintenir le contact avec les agences et organisations sur place, y compris les pouvoirs politiques locaux. Elle est davantage cernée de conseillers juridiques et de juges que de policiers et s’occupe également d’assainir les postes moins reluisants en assignant des services d’enquêtes internes sur ses propres membres.

Un préfet ou une préfète ne sont pas toujours des sommités des services de police, mais sont toujours des gens qui ont une intégrité et une connaissance des lois imperméables. Leurs talents leur valent la confiance des pouvoirs provinciaux et ce même si l’unité n’est pas native de la région. Ce sont des personnages habiles ou terribles en négociations et qui démêlent n’importe quel type d’incident diplomatique, sans pour autant toujours plaider la cause de leur propre camp.

★ Directeur/Directrice de police : Unité responsable de l’ensemble des services de police victorienne. Le travail acharné des préfets lui donne la possibilité d’entièrement se consacrer à l’organisation du BPR et d’en gérer l’image, le cap et l’évolution. Elle possède une place au Conseil Fédéral et est en charge d’estimer un budget annuel nécessaire aux services d’ordre. Bien sûr, elle communique en permanence avec les unités préfètes et commissaires de confiance pour avoir les retours de la loi, mais aussi des facteurs humains de ceux qui l’appliquent. L’unité a de toute façon maîtrisé les deux plateaux de la balance.


Services de baillage  (zone rurale, sauvage ou province peu encline à s’octroyer un service de police) :

★ Auxiliaire : Unité n’étant pas formée par l’académie de police, mais pouvant se voir octroyer une plaque provisoire et renouvelable en cas de bons services. Les auxiliaires sont souvent sous les ordres d’une ou d’un shérif (on les nomme souvent shérifs-adjoints) ou plus rarement d’un ou d’une commissaire en cruel manque d’effectif.

Le statut d’auxiliaire offre une couverture juridique par le BPR, mais n’offre pas plus de liberté que le grade de cadet. Ce sont souvent des gens qui exercent déjà le métier de garde dans leur localité, mais aussi des miliciens, forestiers, percepteurs d’impôts, chasseurs de trésors et tant d’autres origines. L’embauche se déroule sur le terrain par accord verbal simple. L’auxiliaire peut refuser le poste, sauf s’il est engagé de métier.

★ Shérif : Autrefois appelée bailli, cette unité sert de commissaire dans des coins où l’administration fait défaut et où le monde sauvage détient encore une lourde force d’opposition. Le manque constant d’effectifs les oblige à prendre part personnellement à nombre d’investigations ou à engager des auxiliaires. Les shérifs rendent directement compte aux unités préfètes et peuvent collaborer avec inspecteurs et commissaires, mais n’ont aucune subordination par rapport à eux. Ce sont souvent des gens à moitié rendus sauvages pour survivre et se faire respecter, qui détestent qu’on vienne fourrer son nez dans leurs tactiques.

Demeurer shérif est très difficile en raison des nombreux facteurs à risque et la plupart d’entre eux sont des éclaireurs, chasseurs ou même dresseurs et répurgateurs. La fonction est stressante et physique, mais certains y préfèrent ce côté rude à l’enfer de la paperasse des villes. Une bonne unité shérif est terriblement crainte et respectée.


Services sous couverture :

★ Informateur : Le genre de cette fonction reste neutre par souci de discrétion. Cette unité compose tous les gens faisant partie d’organisations criminelles ou les côtoyant assez souvent pour y puiser des informations à revendre au BPR. L’emploi est risqué et précaire, mais les gens prêts à prendre des risques pour arrondir les fins de mois ou négocier une amnistie lors du démantèlement de leur gang ne manquent pas.

L’informateur est souvent affilié à une unité inspectrice ou commissaire et tous ses rapports sont caviardés jusqu’aux préfets, le seuls à savoir qui fait quoi et où. Même les membres du BPR entre eux rechignent à dévoiler leurs sources. La relation entre l’informateur et son contact au BPR peut être de nature hostile comme amicale. La plupart se font recruter sur le terrain suite à une opportunité saisie. Il arrive même que l’informateur profite de ses services rendus pour limiter la concurrence ou se garder sous le coude une partie des marchandises saisies.

★ Infiltré: Le genre de cette fonction reste neutre par souci de discrétion. L’unité infiltrée est un inspecteur ou une inspectrice en charge de démanteler un réseau de l’intérieur, en se faisant passer pour un de ses membres. Nombre de gangs opérant des rites d’initiation sordides ou amenant tôt ou tard l’infiltré à commettre des délits, voire des crimes, une couverture juridique spéciale leur est accordée. Cela ne les dispense pas de respecter la loi pour autant et chaque infraction devra être consignée dans leurs rapports. Ils devront également minimiser les actes répréhensibles pour ne pas devenir une cible prioritaire de tous les représentants de l’ordre ignorant totalement leur couverture.

La fonction d’infiltré est très rude, surtout pour l’esprit, car il faut vivre en permanence avec un groupe criminel et en adopter la culture sans se laisser séduire, ni perdre de vue sa véritable identité et ses valeurs. L’infiltré doit également se faire à l’idée qu’en cas de capture, sa famille pourrait être mise sous protection, mais pas lui. C’est une tâche ingrate et essentielle pour infecter des réseaux criminels importants, y compris lorsqu’il faut infiltré une équipe de policiers soupçonnés d’être corrompus.

La plupart des infiltrés sont espions de métier et seuls les préfets connaissent leur véritable identité, en plus de l’unité directrice de la police.


Services externes :

★ Consultant/Consultante : Unité n’étant pas formée à l’académie, mais spécialisée dans un domaine permettant de diversifier les services de police. Tout consultant bénéficie des avantages juridiques du BPR et de primes d’employé, mais ne peut procéder à aucune intervention ni arrestation. Ce sont les médecins légistes, conseillers juridiques, comptables ou mécanos.

Le contrat d’une unité consultante peut-être permanent et même exclusif au BPR, mais ce sont souvent des gens qui exercent à temps partiel ou qui viennent ponctuellement prester un service précis.

★ Détective : Même le BPR peut parfois avoir besoin d’une personne externe pour résoudre certaines affaires. L’unité détective est souvent un ancien membre du BPR ou d’une autre agence et qui met ses compétences au service de la police pour des cas précis. Les détectives ont l’avantage de ne pas trop « sentir le flic » par leurs attitudes ou activités courantes. Ils peuvent même interpeler des suspects et les amener au poste de police le plus proche, mais la collaboration avec les agents et inspecteurs sur place dépend entièrement des rapports humains et le détective n’aura jamais d’affaire confiée.

Cependant, la plupart d’entre eux nouent des relations cordiales avec les services de police permanents, qui se voient allégés d’une partie de leur travail et ferment volontairement les yeux sur des méthodes parfois plus corsées des détectives pour obtenir des résultats.

On compte parmi les détectives beaucoup d’enquêteurs, mais également des journalistes, mercenaires et prospecteurs.



   Nombre de membres : Environ 350.000 unités. 450.000 en comptant les externes et auxiliaires.

Unité : 1 policier
Binôme : 2 policiers dont au moins un agent
Escouade :  3 à 10 policiers de grade agent minimum dont au moins un inspecteur ou shérif. Les shérifs peuvent remplacer les agents par des auxiliaires.
Brigade : Une ou plusieurs escouades dirigées par un commissaire
Forces spéciales : Une ou plusieurs brigades interprovinciales mandatées par le directeur de police qui nomme un commissaire en chef de l’opération et des autres commissaires.

   Méthodes de recrutement : Tout ce qui existe et est légal. Il y a une formation dans une académie à Magmirac ou Securopolis (Secteur 9). L’académie de Vall forme mieux aux métiers de ville là où celle d’Archan Capitale permet des simulations de biomes pour appréhender les zones plus sauvages.

Une personne ayant déjà un métier de garde, soldat ou tâche affiliée doit juste suivre un cours de droits et démontrer de bonnes capacités physiques. Le casier vierge est un plus, mais des délits mineurs peuvent être effacés après évaluation psychologique et mise à l’essai.

   Modes de communication : Tout ce qui existe et existera

Activités & Objectifs



   Activités principales :
- Protéger les victoriens.
- Combattre le Voile et criminels sévissant en zone habitée.  
- Résoudre les mystères communs de Replicare.

- Renseigner les provinces et la Fédération sur les dérives et facteurs de stress de la population en vue d’y remédier par le politique.
- Soutenir les pouvoirs provinciaux dans leur lutte contre le crime et s’assurer que la corruption ne gagne pas les instances légales.


Activités secrètes :

- Canaliser les organisations criminelles implantées pour contrôler le crime et conserver un levier utile à actionner en cas de tentative de révolte populaire ou provinciale.  
- Gérer son image auprès des médias et tenter de mieux former les policiers pour éviter un maximum de bavures.
- Fournir du sang synthétique aux policiers mécahumains dans le besoin et réduire les effectifs mutahumains.

   Objectifs à court et long terme : Protéger les citoyennes et citoyens. Sévir les criminels.

   Stratégies utilisées : Tout ce qui est légal ou peut se défendre de l’être.

   Sources de revenus : Les subventions proviennent de la Fédération, de donations privées et de recettes sur les saisies d’affaires appartenant aux condamnés.

   Ressources matérielles : Tout dépend des lieux et des grades. L’agent de base possède l’uniforme, une arme de contact et un bouclier. Nombre de policiers investissent de leurs propres sils pour avoir une armure ou un pistolet. Même ceux à qui on fournit un véhicule motorisé investissent dans des customisations. Tout équipement ajouté doit être validé par la hiérarchie, mais on embête rarement un membre du BPR désireux de mieux faire son travail. Les armes trop dangereuses (grenade, lance-flammes, etc) sont bien sûr interdites ou fournies pour des opérations précises.  

Influence & Relations


   Zones d'influence et activités : Principalement Vall, Archan et les faubourgs de San Antonia. Le BPR est également implanté de façon plus sporadique à Dahikar, Qulleqipok et sur certaines îles de Mice. Sa présence se fait bien plus dense dans les villes à l’exception de New Eigon où sa présence est rare et indésirable.

   Conflits ou alliances avec d’autres organisations :

Culte sidéraliste (PR -15) : Rivalité avec l’église sidéraliste à cause de nombreuses anicroches au cours de l’Histoire. Le BPR reproche au culte de toujours récolter les lauriers après que les policiers aient sué sang et eau sur le terrain. L’organisation n’est pas pour autant anti-cléricale, mais montrera toujours une méfiance lorsqu’il s’agit de collaborer avec le pouvoir religieux.

Fédération (PR + 10) : Malgré la quarantaine de Vall et l’opposition entre la BPR et la Fédération, le bureau a compris depuis qu’il dépendait du sang S et croit de plus en plus que l’avenir est dans les forces de police mécanisées. Même si cette opinion est loin d’être partagée par tous les membres du BPR, l’idéologie générale s’en ressent et influence peu à peu les membres convertibles à la nouvelle doctrine.

   Relations publiques : La police est autant louée que critiquée. C’est une force dont on reconnaît l’utilité, mais qui a, à plusieurs reprises, pris part à des conflits contre le peuple qu’elle était supposée servir.

Les romans et films continuent de diffuser une image sombre mais glamour de l’organisation. De nombreux idéalistes embrassent la carrière avant de se confronter à la réalité du terrain, entre population mal intentionnée et fonds insuffisants pour faire correctement son boulot. L’ingérence du politique voulant promouvoir un service tout beau tout propre est également incompatible avec la réalité du quotidien des membres.

Parmi les fruits pourris, il demeure bien sûr pléthore de gens honnêtes et certains sont même très bien formés. Ils parviennent à améliorer le quotidien des citoyens et sauver des vies. Certains journalistes soutiennent toutefois que les moins corrompus ne sont pas forcément les meilleurs flics et que tout être humain est à nuancer.

L’opinion publique oscille donc entre prudence et méfiance, mais tout quartier majoritairement composé d’humains ou mécahumains n’hésitera pas une seconde à faire appel à eux. Les autres s’y résoudront sans grand espoir et auront parfois de bonnes surprises, parfois la confirmation de ce qu’ils pensaient. La culture de la protection des membres du BPR entre eux, quitte à se parjurer devant un tribunal, est à la fois un fléau et une planche de salut pour le fonctionnement du service. Le balancier peine à trouver son équilibre, mais rien ne s’écroule et c’est un exploit au vu des difficultés rencontrées au cours du siècle. Les justiciers indépendants ont toutefois de beaux jours devant eux et l’assurance d’avoir du travail dans chaque recoin.

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