On espère que vous êtes prêts, car le Replictober est sur le point de commencer !
Pour rappel, pour les mauvais élèves du fond de la classe et les potits nouveaux surtout, cette animation est un défi créatif inspiré de l’inktober, évènement qui se tient chaque année du 1er au 31 octobre, dont le but est de produire un dessin par jour en suivant une liste de thèmes préétablis.
Ici cependant, nous avons décidé de faire les choses un peu différemment !
Bienvenue au Replictober !
Version revisitée de l’Inktober à la mode Replicarienne, ouverte à tous les membres, pas seulement aux artistes. Le thème général de ce défi, vous l’aurez deviné, est basé sur l’univers de Replicare et, chaque jour, les participants pourront contribuer de diverses manières en fonction du thème du jour.
Voici quelques exemples de ce que vous pourriez partager :
-Des réflexions sur un livre, une vidéo, un film, une série en lien avec le thème (donnez nous envie de nous plonger dedans !! Déposez pas juste un lien en nous disant de nous débrouiller avec hein ! -Ecrire un poème, un court texte, un solo-rp, voire même lancer un rp pourquoi pas ? -Réaliser un dessin, une photo, ou une vidéo… -Créer un gif ou un mème… ou toute autre forme d’expression créative !
Ils seront à poster chaque jour entre minuit et 23h59 (heure franco-belge) dans la zone « animation » du Quartier des Citoyens sur le discord ou directement à la suite de ce message sur le forum. Essayez de ne pas accumuler les thèmes pour ne pas en envoyer une brouette le même jour
Un post avec un ping pour @Sureya = Une participation.
Et comment ça fonctionne ?
Chaque participation journalière vous permettra de récolter des « Points de Participation ». Ces PP pourront être accumulés à titre personnel, ainsi que collectivement (on additionne les PP de tout le monde pour le collectif en gros) pour débloquer des récompenses ou même des PEX qui pourront vous servir dans vos aventures courantes. Les gains d’animations sont exploitables pour vos aventures, alors à vous de voir comment votre personnage en à fait l’acquisition ! Ces récompenses ne sont bien sûr accessibles qu’à ceux qui ont signé la charte du règlement mais si les thèmes inspirent, rien n’empêche de participer pour le fun et faire monter la cagnotte collective.
Voici les récompenses qu’offre les gains de PP :
Numéro 1 !
Vous aurez la possibilité de débloquer un lien personnalisé avec le PNJ de l’évènement, j’ai nommé … Dom Morton Reynold !
Et voici les différents niveaux d’affinité accessibles et totalement personnalisables :
Lors de vos passages à San Antonia, vous croiserez automatiquement un pion de de Dom Morton. Vous pourrez le rencontrer et aller chercher une requête du mécène auprès de lui. Répondre à ce besoin et échouer à la requête influera sur votre relation future avec le Dom. Ignorer la requête n'apporte aucune modification.
5 participations offrent 20 PR - Futile
Vous êtes utile, compétent(e) et/ou assez sympathique. Même si vous êtes encore loin du niveau de confiance, Dom Morton voit en vous quelqu’un qui pourrait servir ses intérêts à long terme. Possibilité de "refourguer" à un pion de Morton une oeuvre d'art volée ou non. Il vous permettra un séjour sécurisé dans une loge le temps de faire expertiser l'oeuvre et de vous retribuer. Morton vous offrira les services d'un cocher et de sa calèche le temps de votre séjour, ce qui signalera aux criminels qu'un Dom vous protège et qu'il ne faut en aucun cas s'en prendre à vous en tant qu'invité(e). Si vous commettez un acte illégal durant votre séjour et vous faites découvrir, l'oeuvre cédée sera perdue et Morton vous retirera sa protection. L'oeuvre vous offrira une bourse de PEX et un petit service, comme obtenir une information ou l'adresse d'un contact qui pourrait vous aider dans votre quête personnelle.
Dom Morton commence à vous faire confiance mais reste vigilant. Votre utilité a été prouvée et il vous permet de mieux vous intégrer à son univers. Vous recevez des invitations aux soirées mondaines, aux différents galas auxquels il assiste et avez la possibilité d’obtenir des liens avec d’autres PNJ du milieu. Vous pouvez également recevoir des informations sur un objet/un type d’objet qui vous intéresse.
Vous avez franchi un cap dans votre relation avec Dom Morton. Il ne vous considère plus comme un sous-fifre mais un sous-fifre allié. Vous avez accès à ses cercles plus restreints et des invitations à des événements plus personnels. Une table vous sera toujours libérée dans les restaurants. Si rien n’est encore gratuit, il peut vous fournir une aide ponctuelle dans le secteur de San Antonia si vous êtes en difficulté. Vous avez la possibilité d’obtenir des informations en avant-première sur certaines technologies ou événements à venir, obtenir un objet au cours d’un rp.
Numéro 2 !
Un pistolet qui titre des balles de peinture ! Regardez moi cette merveille, ces lignes, ces courbes, ces couleurs !
Débloquez collectivement la technologie et elle profitera à chaque membre participant gratuitement. Elle pourra ainsi ouvrir la voix à une prochaine animation.
Numéro 3 !
Vos PP pourront être convertis en PEX pour un futur usage en RP !
Numéro 4 !
Je comptais vous le dire tout de suite mais je suis d’humeur joueuse et j’ai bien envie de vous laisser deviner Aller on va faire comme ça ! L’objet mystère sera révélé le 15 Octobre ! D’ici là, je vous laisse MP en privé Sureya pour faire une proposition et tenter de gagner 1 PP supplémentaire et 50 PEX si vous trouvez du premier coup ! Bon allez deux coups parce qu’on est sympa ici ! Un indice ? Le voici : Il fera swinguer les grand-mères !
Comme vous avez pu le constater, il n’est pas nécessaire de participer chaque du mois d’octobre pour espérer gagner quelques chose (31 jours c’est quand même long !) Le nombre maximum de points que vous pouvez récolter pour une récompense est de 15, ce qui correspond à 15 participations. Rien ne vous empêche de faire plus, ou de faire moins, et rien ne vous empêche de répartir vos points comme bon vous semble. Par exemple, vous pouvez décider d’obtenir un lien PNJ à faible affinité, prendre le pistolet et économiser quelques PEX pour plus tard.
Et pour finir … Certains l’attendait avec impatience … Voici la liste des thèmes enfin dévoilée !!!
N'avez-vous jamais rêvé d'être des aventuriers ? D'explorer des contrées lointaines qui vous sortiraient de la mélasse bien déprimante qui vous sert de vie, coincée dans un tragique métro-boulot-dodo d'une quotidienneté médiocre ; de vivre des émotions de folie , histoire de vous souvenir que derrière vos cernes violacées ou ombragées réside encore et toujours un être vivant ; de decouvrir de nouveaux horizons, d élargir votre conception du monde... Et surtout : faire de nouvelles rencontres. Pour le meilleur comme pour le pire. Un peu de piment dans le no-man-land qu'est votre vie, ne serait-ce pas trop demander ?
"Oui" me répondez-vous ! "Mais comment ?" C'est vrai qu'à bien vous regarder, vous n'avez clairement pas la tête de l'emploi... Qu'à cela ne tienne ! Il faut bien commencer quelque part ! Si vous n'êtes pas prêt à laisser tomber votre routine peignoir-plateau tv-café, ni à quitter la chaleur réconfortante de votre lit et encore moins à vous passer de votre petite douche journalière, rien n'est perdu pour autant ! Non, rien. Tout ce qu'il vous faut, c est un modèle à suivre. Quelqu'un pour vous faire vibrer, mettre des paillettes dans votre vie et illuminer votre âme au point d'en oublier qui vous êtes. Bref, quelqu'un pour vous faire oublier votre triste réalité et vous emmener vers d'autres cieux - au moins dans votre tête. Grand bien vous fasse : j ai exactement la personne qu il vous faut !
Une jeune fille, bénie de sagesse et dont le courage n'est plus à prouver. On louera sa bonté sur bien des générations et sa bonne humeur vous servira d'anti depresseur. Vous pouvez le faire, VOUS LE FAITES. Elle est encourageante en plus de cela, cette petite !
En la suivant dans ses quêtes merveilleuses et épiques, vous découvrirez le pouvoir de l'amitié. Et quels amis vous vous ferez... si vous saviez ! Car votre modèle d'aventure donne une profondeur abyssale à ce grand mot qu'est l'amitié. Ses amis de galère l accompagnent partout, où qu elle soit et quoiqu'elle risque. Toujours là pour la sortir d'une impasse ou d'une misère, ils veillent sur elle et la populasse comme une mère douce et tendre veillerait sur son nouveau née. (Et sans le congeler)
Laissez-moi vous les présenter ! Vous ne pourrez bientôt plus vous en passer. 'Do, son plus fidèle compagnon, aime faire des entrées remarquées en se vantant. Il faut dire qu'il a de quoi être fier. Grâce à lui, vous ne manquerez jamais de rien. Il a tout sur lui, une vraie Marie Poppins. Il protège aussi leur plus vénérable ami : celui sur qui vous pourrez toujours compter. Le sens de l'orientation de celui-ci relève du genie, impossible de vous perdre en sa compagnie. Et puis, parce que jamais deux sans trois, comme on dit : vient le petit dernier. Il vous ressemble traits pour traits. Un vague cousin peut-être ? Ce qui est sûr, c'est qu'il est futé et vous posera les questions les plus aiguisées. Roi de la chaussure, avec lui, vous n'aurez plus jamais mal aux pieds ! Quoi ? C'est utile quand on voyage ! Roh... ne me dites pas que vous n êtes toujours pas convaincus ? Attendez, ce n'est pas terminé !
Cette adorable aventurière saura aussi vous transmettre tout son savoir avec passion et patience. C'est une excellente professeur à ses heures perdues. Avec elle, vous apprendrez à communiquer avec le monde entier mais surtout... à vous débarrasser des voleurs. La demoiselle en envoit tellement qu un simple regard et trois coups de pression bien menés suffisent à éloigner le plus rusé des bandits. Suivez ses pas, vous deviendrez un héro ou une héroïne mondialement reconnue. Ça ne vous suffit toujours pas ? Comme vous êtes rudes ! Approchez... laissez-moi vous en susurer plus encore. On raconte que la jeune aventurière aurait à sa botte une poignée d'étoiles prêtes à purifier les coeurs ombragés par la tristesse et la colère. Certains disent même qu'elle aurait été initiée à la magie... Ah. Là, tout de suite... ça vous intéresse hein ? Eh bien, chers amis, chères amies... voici venue votre première aventure. Allons-y, let's go, c est parti ! Il vous faut rencontrer cette jeune aventurière et ses amis. Vous allez les trouver, je sais que vous pouvez y arriver ! Où allez-vous ? En Amérique du sud. Où allez-vous ??? En Amérique du sud !!! Tout au bout du chemin... demandez Dora.
Mesdames et Messieurs, nous y voilà, et c’est avec émotion que je vous annonce la fin du Replictober !
Ces derniers jours, nous avons partagé des créations, des anecdotes, des chansons, des réflexions, exploré ensemble des thèmes variés et chacun des posts n’a fait qu’enrichir cette expérience. Merci à vous d’y avoir contribué !
Voici un petit bilan de l’événement. On recense pas moins de 209 (après avoir tout bien recompté) participations sur un mois ! Avec ça, le pistolet a été débloqué avec 4 de ses extensions (Phosphorescent, mire, teinture et parfum hypnotique), le galerix (laser-game) a été ouvert et un gramoflore a été offert !
Pour les membres ayant déjà un personnage sur le forum, le staff est déjà passé sur votre fiche de personnage pour vous attribuer vos gains d’événement et le choix de lien accessible avec Dom Morton, pensez à y jeter un oeil et validez les propositions qui vous sont faites ! Pour ceux qui n’ont pas de personnages, les gains sont gardés de côté si jamais vous souhaitez rp sur le forum.
Et pour ceux qui seraient curieux, voici le décompte des points:
Ali : 31 PP Arya: 4 PP Ash : 22 PP Fluxy: 2 PP Gharr: 29 PP Jasper: 31 PP + 1 PP bonus pour la découverte du Gramophone Job : 14 PP Mignonne : 29 PP + 1 PP bonus pour la découverte du Gramophone Nathan: 8 PP Moe : 10 PP Sureya : 29 PP
Mention spéciale à Ali Adin et Jasper (dit Woowoo) (t’as vu je ne t’ai pas oublié cette fois qui n’ont pas manqué un seul jour de l’événement !
Et histoire qu’elles ne se perdent pas dans le flot des conversations, vous trouverez ci-dessous une galerie des participations !
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Re: ANIMATION // REPLICTOBER• Dim 3 Nov - 1:16
Galerie d’Ali Adin:
Jour 1 Aventurier:
Un camp d’aventuriers sur World of Warcraft
Jour 2: Champignon:
Une forêt de champignon, une région du jeux avec une ville construite au sommet de l’un d’eux [/url]
Jour 3: Engrenage:
Jour 4: Désert:
Un désert de sel et de cristaux sur Wow dans les tréfonds de la terre
Jour 5: Rituel:
Rituel sur un prisonnier pour puiser de l’énergie vitale venant de sa colère
Jour 6: Masque:
Pour la journée du masque, quelque chose d'un peu spécial, un de mes personnage avec la tenue ancestrale de la race troll, avec un magnifique masque en or Derrière la reine des troll avec son garde du corps et sa monture Tze'na
Jour 7: Créature marine:
La reine Azshara (mon avatar du moment) avec sa cours et les créature marines derrière Un boss emblématique de wow car attendu depuis longtemps par la communauté quand elle est sortis
Jour 8: Diligence:
Le voici, le voilà, tu l'attendais avec impatience, et il arrive avec diligence, mon screen du jour
Jour 9: Envoutement:
Alors voici la Reine Elisande, elle lance un envoutement pour prendre le contrôle d'une source de mana infinie.
Jour 10: Cobaye:
Les deux cobayes de docteur : Trognepus à droite (avec les liquides verts) Et Pulentraille à gauche (avec les liquides oranges/jaunes) Et pour compléter le tableau voici celui qui a expérimenté sur eux : Le professeur Putricide qui les a transformés en ce qu'ils sont maintenant
Jour 11: Astral:
Pour le thème astral, voilà un dragon d'étoile
Jour 12: Steampunk:
L'entrée de la cité de Mécagnome ! Des gnomes mécanisés ont créé une ville sous la terre pour survivre Une ville steampunk
Jour 13: Abomination:
L'abomination qu'est le dieu très ancien G'huun
Jour 14: Richesse:
Qui dit richesse, dit forcément argent et pour en faire, rien de mieux qu'un marché Je vous montre donc des screens d'un donjon marché de WoW
Jour 15: Nécropole:
Pour la nécropole, rien de mieux qu'une nécropole vous ne trouvez pas ? Ici, c'est un lieux où on enterre les morts, beaucoup de morts Malheureusement des mages noirs s'en servent pour se faire une armée On peut s'aventurer à l'intérieur pour arrêter le rituel
Jour 16: Symbiose:
Qui dit Symbiose dit harmonie Et qui de mieux pour l'harmonie que les druides en harmonie avec la nature Voilà donc un screen de la zone de classe des druides
Jour 17: Vaisseau:
Coucou me revoilà Qui dit vaisseau sur world of warcraft pourrait dire navire, mais moi je ne fais pas les choses comme les autres Alors pour ton plus grand plaisir, voici un des plus beau des plus superbes, des plus magnifiques ! Un vaisseau extraterrestre !
Jour 18: Faille:
Et oui la faille Une faille emblématique de world of warcraft qui a marqué les gens lors de sa sortie. La voilà, le goufre ouvert par un dragon sortant du centre de la terre !
Jour 19: Erudit:
Nouveau jour, nouveaux screens. Parce qu'aujourd'hui j'en fais plusieurs, oui Voici un screen de ma mage dans sa bibliothèque, une véritable érudite. Et en bonus, voici aussi le conseil des mages d'une cité volante du jeux
Jour 20: Mutant:
Salut, Aujourd'hui une zone qui me tient à coeur tout particulièrement parce que je trouve l'histoire absolument superbe et que j'ai passé de magnifiques heures ici avec ces personnages non joueurs. Sur la première image, les lieux sont vides, quelque chose à été brisé en son centre et on peut voir que rien ne vit ici. Sur le deuxième, notre personnage a détruit ce qui était au centre pour récupérer des cristaux pour nourrir la personne sur la droite qu'on peut voir sur le screen. La lumière a été allumée et les lieux prennent un peu vie. Sur le troisième, on est allé chercher quelques autres personnes pour résister. car oui, c'est le lieux de la résistance contre un royaume d'elfe qui ont fait un pacte avec la légion ardente (des démons) Dans les derniers instants des quêtes, nous avons trouvés une graine arcanique, un espoir pour les membres de la résistance qui commence à le faire pousser au centre. Dans la quatrième image, l'arbre a commencé à pousser, les branches s'étirent. Malheureusement, cela a fait venir des insectes qui se nourrissent de feuilles de mana. Nous sommes donc aller chercher des petits wyrms pour manger les lucioles. La dernière image est ce qui se passe quand on finit le scénario. L'arbre a développé ses racines et puise directement son énergie dans les lignes arcaniques. Il est grand et majestueux. Les gens de la résistance ont évolués avec lui. Ils sont devenus plus fermes dans leur décisions. Ils ont aussi trouvé l'espoir en avançant dans leur projet. L'arbre est un magnifique symbole de l'évolution des résistants dans la région et de la beauté de leur lutte.
Jour 21: Relique:
Pour le mot du jour voici les quatre reliques que le joueurs doit récupérer dans les différentes régions d'une extension pour ne pas se faire envahir par une armée de démons. Les larmes d'Elune L'égide d'Aggramar La pierre des marées Le marteau Kaz Goroth
Jour 22: Soldat:
Oui j'étais en retard hier, mais aujourd'hui je m'y prends tôt, comme ça pas de soucis. Qui dit soldat, dit conseil de guerre et dans world of warcraft il y en a beaucoup. Cependant, un de ceux que je vois rarement (parce que je joue dans l'autre faction en majorité) mais qui a toujours un charisme fou, sont le conseil de la horde. Alors les voilà !
Jour 23: Chemin de fer:
Je sais que j'ai une journée chargée demain. Et pour ne pas faire de bêtises, je vais poster maintenant le chemin de fer. Chemin de fer ça me fais penser à un endroit dans world of warcraft qui existe depuis le tout début. Le tram des profondeurs. Une ligne de "métro" qui relie Hurlevent à Forgefer. Une ligne qui a vu plus d'un aventurier pour changer de capitale alors que les finances étaient maigres. Ou parce que nous n'avions pas encore les vols entre les capitales de débloquer. Et oui c'est un monorail ! Maintenant c'est triste de le dire, mais il est laissé à l'abandon, plus personne n'en a besoin. Alors même si c'est rare, on lui rend hommage aujourd'hui.
Mais pour ceux qui veulent plus de rails et je sais que vous êtes là pour ça aujourd'hui. Je vous montre les deux autres qui sont sur les terres d'Azeroth et que vous allez adorer. C'est un jouet à acheter dans le jeux pour avoir un train miniature partout où vous allez.
Jour 24: Chimère:
Moi j'aime bien quand c'est moche que ça tache et que c'est moche. Alors j'ai pris une créature très moche chimérique de world of warcraft pour faire le mot du jour
Jour 25: Radiance:
Aujourd'hui pour Radiance, j'ai eu envie de vous faire découvrir quelque chose dans world of warcraft dont on ne parle presque pas, les naarus. Ce sont des créatures cristallines qui parlent en chantant. Oui elles ne font que chanter de façon cristalline sans dire un seul mot, comme en fredonnant un air de chanson. La majorité sont de lumière, mais comme vous pouvez le voir, certain le sont plus que d'autres, voir sombre, comme le vide ! des créatures radieuses et mystérieuses dans l'univers de WoW.
Jour 26: Maladie:
Aujourd'hui, c'est maladie, et qui dit maladie, dit malade. Et pour ça rien de mieux que de montrer un des boss les plus malade . Garrosh Hurlenfer, l'ancien chef de guerre de la Horde. Il avait tellement d'envie de domination qu'il a tenté de prendre le contrôle du coeur d'une créature multimillénaire cosmique. Pensant ainsi pouvoir la contrôler et devenir le maître du monde. (oui les screens ne sont pas dans l'ordre, désolé j'ai eu un soucis pendant les prises de vues)
Jour 27: Mécanicien:
Coucou me revoilà pour le Replictober Oui c'est mécanicien et pour ça rien de mieux que de voir des machines que des mécaniciens entertiennent. Un raid remplit de créatures artificielles et de rouages.
Jour 28: Oracle:
Aujourd'hui, quelque chose que tu n'aimeras pas forcément, parce que je vais parler d'araignée, mais tu n'en verras pas. Comme vous le savez peut être, ou pas. La dernière extension de world of warcraft se passe dans les entrailles de la terre. Où un peuple airagnée vit et essaie de prendre le contrôle de tout. La reine et Oracle du peuple est le dernier boss du raid que l'on doit combattre. Je vous laisse un screen magnifique de la ville des hommes araignées.
Jour 29: Ruine:
Voilà les ruines d'un temple attaqué par des nécromanciens et des créatures de chair. On est dans un des donjons de shadowland. Une région qui normalement très belle avec de magnifiques fleurs et herbes dorées. Mais depuis l'attaque tout n'est plus que ruine et dévastation.
Jour 30: Voile:
Aujourd'hui encore une histoire de méchants, pour ne pas changer sur world of warcraft. Je vous fait découvrir Guldan, un nécromancien qui se sert d'une source de puissance pour déchirer le voile de la réalité. Et ainsi faire venir chez nous une armée de démons. Le voile de la réalité est restauré par les joueurs à la fin, le combat était difficile à l'époque.
Jour 31: Horreur:
Pour le dernier jour du replictober, Une véritable horreur pour votre plus grand plaisir. Ici, de l'horreur lovecraftienne, à la sauce world of warcraft. Un dieu très ancien a refait surface et les héros d'azeroth doivent l'arrêter pour ne pas se voir détruire. Un raid qui aura fait couler de l'encre, des larmes et briser des guildes. Des mécaniques difficiles et de la folie autant en jeux que dans la vraie vie.
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Re: ANIMATION // REPLICTOBER• Dim 3 Nov - 1:17
Galerie d’Arya:
Jour 13: Abomination:
Je présente la chimère de Full Métal alchemiste qui représente à mes yeux la plus grande abomination qu'un humain puisse faire. Trahision filiale, rupture de transmission de la génétique. Manipulation de génome et rupture de la confiance. Il y a une forme de dérèglement dans la configuration mentale du père et une confiance aveugle de la gamine qui cherche toujours à jouer et qui aime toujours autant son "père" qui devient son créateur en perdant la filiation génétique.
Jour 25: Radiance:
Le contraste entre l'ombre et la lumière. L'ombre qui naît de la lumière et qui sans elle n'est rien.
Jour 26: Maladie:
Les maladies invisibles, un cauchemard que personne n’imagine pour beaucoup, un quotidien honteux pour d’autres, un tabout nationale, un non dit et une catastrophe silencieuse
Jour 31: Horreur:
Comme d'hab je vais être en décalé mais avec tout ce que vous nous avez sortis j'ai opté pour la légèreté... Pour moi l'horreur c'est de savoir que tu vas passer une très longue semaine à en chier à t'habiller, à tenter de pas tout arracher avant que ça ait repoussé... Et faire un faux mouvement, pisser le sang, et avoir mal pendant deux semaines le temps que ça repousse. (je précise que l'aspect esthétique n'a rien à voir là-dedans.)
Pour envoûtement, je vais partager une image d'Hécate, par IrenHorrors.
Hécate est la déesse(tantôt titanide, tantôt simple déesse) grec des Mystère, des ombres et des morts, de la sorcellerie et des envoûtements, et des carrefours. Elle fait partie de la triade lunaire avec Artémis et Séléné, elle représente la face sombre de la lune. Certains de ses symboles sont sa tiare, des clefs, des torches, un poignard et un serpent. Son animal totem est le chien noir.
Voilà voilà
Jour 10: Cobaye:
Pour cobaye ! Laissez-moi vous parler de la créature de Frankenstein et de sa femme.
Créé par Mary Shelley en 1831 pour son roman "Frankenstein ou le Prométhée moderne". Roman pilier du mouvement gothique, jouant avec les codes de ce genre.
Il raconte, dans des récits mis en abyme, la poursuite de la créature par son créateur, le docteur Victor Frankenstein. Il relate également la genèse du projet scientifique qui a mener a la production de la créature.
Pour astre ! moi je vais vous parler un peu de la lune.
Alors que la terre était encore une formation magmatique, une proto planète appelé theia a percuté la terre et en a extrait des débris, inclinant son axe de rotation par la même. De ces débris naquit la lune, unique satellite de notre planète.
Elle est bloqué sur son axe, ne livrant uniquement qu'une seule face. L'autre est le côté sombre de la lune.
Dans plusieurs mythologie on lui prête divers nom : Hecate, Artémis, selene (leur équivalent romain), chang'e chez les chinois, Nanna chez les sumériens.
On lui prête force symboles, la féminité, le désir charnel, le cycle...
Elle est associé a plein d'oeuvre populaire et sert d'inspiration aux artistes depuis toujours
Moi quand je pense à steampunk, je pense à plein de chose. Mais j'ai envie de partager une pensée qui m'amuse. Tout part du cyberpunk, une vision dystopique du futur des années 80. Mais tant de dérivé du cyberpunk font référence à une époque passé ou une vision de l'avenir que nous pouvons imaginer. On pourrait presque en faire une frise chronologique.
* On pourrait commencé par le stonepunk, qui reprendre des technologies moderne dans un monde préhistorique (les Pierrefeu par exemple) * Après, on part sur le sandalpunk, qui reprend beaucoup d'esthétique de l'antiquité et surtout gréco-romain (Assassin creed odyssey, god of war, clash of titans) * On va ensuite voir du côté du swordpunk, qui revoit toute l'esthétique médiéval dans un monde futuriste (La planète au trésor, et Zelda breath of the wild, par exemple) * On a le clockpunk, avec la période de la renaissance (les trois mousquetaires de 2011, Dishonored 2) * Après on a le steampunk ! Plus besoin de le présenté (Carnival Row, jack et la mécanique du coeur, The order 1886) * On a le teslapunk, avec l'arrivée de l'électricité (Close of the sun, ravenica) * Le decopunk, avec toutes l'esthétique de l'art deco (Batman de 1992, Bioshock, the rocketeer ) (on peut le voir comme une variation plus "positive" que le dieselpunk) * Suivis par le dieselpunk, qui touche à tout ce qui a été crée entre les années 10 et 40/50 ( nobody wants to die, the wolfenstein new order, children of the sun) * L'atomepunk, et dans une certaine extension le rocketpunk, qui renvoie à la course au nucléaire et à l'espace (2001 : l'odyssée de l'espace, star wars, fallout,) * le cassette futurisme, qui emploie bon nombre d'élement des années 70-80 (Alien, matrix, retour vers le futur 2, prey) * le cyberpunk, la où tout à commencer (blade runner, cyberpunk 2077)
Il y en a tellement d'autre, mais je pense qu'on peut s'arrêter là ^^Cliquez ici Je vous renvoi à ce site si vous êtes intéressé
Quand je pense à abomination, je pense à Bloodborne. Grandement inspiré des mythes de Cthulhu. C'est l'un des piliers du mouvement romantisme noir. On y dépeint une civilisation qui cherche l'illumination par tout les moyens possibles. Cette illumination pourrait les transformer en grand ancien. Beaucoup de ses créatures venant d'ailleurs sont visible et combattable dans l'histoire. D'ailleurs, il y a quelques années, Alt236 en a fait une belle analyse et Vaatyvidia a fait un coucours pour imaginer le II. Donc je vous poste quelques liens intéressant
Jour 14: Richesse:
Quand je pense à richesse, je pense à trésor. Et quand je pense à trésors, c'est l'un des films d'animation les plus sous côté de disney qui me vient en tête. L'un de mes préférés, "La planète au trésor." Il s'agit d'une libre adaptation de l'Ile au trésor de Robert Louis Stevenson dans un monde futuriste.
Le film est sorti en 2002 et retrace l'aventure de Jim Hawkins, qui mal dans sa peau, part à la poursuite de lui même et de la fameuse planète au trésor. Il y rencontrera plein de personnage haut en couleur. La BO, tant française qu'anglaise ou même québécoise, est à coupler le souffle. Les visuels et thématiques sont à couper le souffle selon moi.
C'est l'un des films, avec l'Atlantide l'empire perdu, qui me fait dire que l'image de disney aurait bien été différent de nos jours si ils avaient marché comme ça aurait du. On avait à faire à un disney plus mature dans ses choix après toutes la période "enfance et princesse".
Je vous le conseil chaleureusement, une véritable ode au voyage et à l'aventure !
Jour 15: Nécropole:
Avec un petit tour d'esprit, nécropole m'évoque l'ile des morts (Die Toteninsel) de Arnold Böcklin. C'est une série de 5 tableaux peints entre 1880 et 1886. Il existe cinq versions différentes de l'oeuvre, sensiblement semblable, mais avec des différences notables.
De nos jours, il en demeure 4 de part le monde. La cinquième a été perdu dans le bombardement de berlin à la fin de la seconde guerre mondial, mais subsiste via une photo du tableau.
Böcklin la décrivait comme tel "une image de rêve : elle doit produire une telle immobilité que l'on serait impressionné par un coup à la porte".
Cette toile à une portée international et à inspiré des milliers d'oeuvres depuis sa création dans des arts tous différents de part la portée de son symbolisme et du mystère qu'elle dégage.
On peut cité en vrac : * art visuel : Giger, Dali, * BD : Arcanes de Jean-Pierre Pécau, L'île des morts de Sorel et Mosdi. * art de la scène : Elle a inspiré un décors pour les Valkyrie de Wagner par Chéreau en 1976 * Film : Shutter island de Martin Scorsese, Alien : Covenant de Scott, Le garçon et le héron de Miyazaki * Littérature : l'ile des morts de Roger Zelazny, Le voyage du roi euvoran de Clark Ashton Smith * divers : Sergueï Rachmaninov a composé une musique, RiME (un jeu video), deux cartes de magic (Chanson de Titania et Plongeon dans l'histoire), le monument aux morts de l'île du Souvenir dans le parc de la Tête-d'Or de Lyon, dans le jeu video signalis : une peinture et une musique du jeu en sont inspiré.
Mais tout ceci n'est rien quant à tout ce qui se trouve sur internet et qu'on ne soupçonne pas
Je pense à une série de roman de fantasy plutot longue, mais incroyablement dense et particulièrement intéressant. Les chronique de Krondor ou la guerre de la faille de Raymon E. Feist. On y suit les aventures de Pug, un jeune orphelin. Destiné à devenir grand magicien, il sera capturé par les guerriers d'un autre monde venu par une faille inter dimensionnelle.
Bref je vous en dis pas plus, mais cette saga est l'une de mes plus grandes inspirations !
Jour 21: Relique:
Qui dit relique, dit legende, qui dit legende dit cycle arthurien ! Laissez donc moi vous parlez de plusieurs relique concernant le Roi qui fut et qui sera !
Quand on pense au Roi Arthur, on pense souvent à Excalibur. Mais savez vous qu'il ne s'agit pas de son unique épée ? Beaucoup font l'amalgame entre Excalibur et l'épée dans le rocher. Parfois à juste titre, car à l'origine elles l'étaient. Mais avec l'évolution du mythe, elles se sont scindées en deux épées distinctes.
L'épée dans le rocher était une antique lame figée dans la pierre, qui disait-on attribuerait le trône de l'ile de Bretagne et de ses dépendances continentales à qui parviendrait à arracher l'épée de la pierre. Seul le vrai roi reconnu des dieux en serait digne.
Selon les auteurs, cette lame pouvait se trouver aussi bien en plein coeur de Londres que dans Lorgres.
Assez tôt dans son règne, Arthur brisa cette épée dans son duel avec le Roi Pellinore.
Pour remplacer cette épée, Merlin suggéra au jeune Roi de se rendre auprès de Vivianne, la Dame du Lac. En échange d'un futur service, elle lui octroya l'épée miraculeuse. On raconte qu'elle pouvait trancher n'importe quelle matière comme si de rien n'était.
Le fourreau de cette nouvelle épée est aussi pourvu de pouvoir. Il prémunit son porteur de subir des blessures et de saigner en combat, lui évitant ainsi de mourir.
Ce fourreau fut perdu, Morgane la Fée l'ayant jeté dans un profond lac. Ce faisant, cela permit à Mordred de tuer son père lors de la bataille de Camlann (Salisbury).
Après ce triste sort, Gauvain retourna Excalibur à la Dame du lac
Jour 22: Soldat:
Bon je vais suivre le mouvement avec les chansons
Bon, qui n'aime pas les extraterrestres ? Qui n'aime pas les dinosaures ? Et si on mixait les deux ? Ca donne ça. Une société dinosaure hyperavancée qui s'est jurée de combattre les aliens venu de l'espace profond
Jour 23: Chemin de fer:
Le chemin de fer. Quelle aventure ! Je pourrai parler du rayonnement belge, véritable pionnier sur le sujet dés 1830, dépassant de loin la Grande-Bretagne fut un temps. Je pourrais parler du Snowpiercer, une série de comics/un film/série sur un train inaltérable parcourant le monde à travers une tempête de neige incessante dans un avenir dystopique.
Mais je vais vous parler de Alice, retour au pays de la folie (un jeu que j'adore). Déjà parce que j'adore toute la mythologie autour d'Alice au pays des merveilles et ensuite parce que je fais ce que je veux, c'est ma chronique !
Tout part d'American McGee's Alice, une suite sombre et macabre d'Alice vu par American McGee. On y découvre une Alice internée pour folie suite à un incendie dans sa maison et le décès de sa soeur et de ses parents. Cette Alice se montre bien plus vengeresse et borderline. Malgré tout, elle reste une personne compatissante et protectrice envers les autres orphelins qui partage une maison particulière avec elle.
Dans le second titre, elle s'est donné pour mission de sauver le monde des merveilles d'un mystérieux trains qui ravage le pays. (je ne vais pas tout vous raconter sur Alice et le lore, jouez y ! Ils valent le coup, même si le premier à salement vieilli)
Je pourrais vous parler de bon nombre de chimère dans les jeux vidéo, je pense notamment à FF. Mais je vais prendre le parti de partir sur l'autre sens du mot, celui de l'idée, du rêve, de l'idéal à atteindre, mais qui en définitif n'arrivera jamais.
Paul Otlet, un belge, a imaginer à partir de 1913 une citée mondiale. Une cité basé sur une paix universelle, centrée sur le progrès. Il s'allie à Henri de la Fontaine et au Corbusier pour en penser les différents détails et réaliser les plans.
Elle aurait pu accueillir un million d'habitant avec un centre du savoir, de l'art et un centre olympique.
Cette idée a séduit bon nombre d'individus, de politique et de partisans, cette citée ne verra jamais le jour. Peut être était-ce due au fait qu'il voulait faire financer son projet par le gouvernement, mais avoir un statut extra territorial ? Ou bien le caractère hautement utopique de la chose.
Bruxelles aurait put l'être, puis Anvers, Genève, même Paris ! Mais vce n'est resté qu'une idée, aussi belle qu'impossible
Si jamais vous êtes de passage en belgique et que le sujet vous intéresse, aller au Mundanemum à Mons, ils en parlent très bien. Il s'agit d'une fondation fait par ce même Paul Otlet, ancêtre de google sur papier, qui avait pour vocation de regrouper tout le savoir humain dans un seul lieu https://mundaneum.org/
Jour 25: Radiance:
Bon....radiance.... radiance... Bon qui dit radiance... dit lux (l'unité de mesure hein ! Je vous vois venir à me dire que j'ai mal écrit luxe) Qui dit lux dit lumière, qui dit lumière dit ténèbres. Qui dit lumière et ténèbres dit guerre millénaire.... OKAY, je vais vous parler de Kingdom Hearts ! (oui c'est tordu, mais osef hein ?)
Kingdom hearts c'est MA saga de coeur (heart, coeur, vous l'avez ?). J'ai beaucoup de thème fétiche dans la fiction en tout genre, et la lutte ténèbres contre lumière en fait parti. Kingdom hearts a été une découverte très jeune dans ma vie, j'avais dix ans quand le deux est sorti. Mon premier d'ailleurs. J'ai connu le 1 un peu après. Bref, on y suit les aventures de Sora, un guerrier de la lumière maniant une immense clef appelé Keyblade ( il était précurseur dans les noms je vous jure). Et il combat des entités créer par les ténèbres, des Sans-coeurs, résidu de ce qui reste quand une personne perd son coeur.
Au fil des itérations, le scénarios se complexifie, la trame devient plus dense, certains diraient trop dense, mais moi elle me plait.
On évolue dans les mondes de disney, épaulé par des personnages originaux, comme des personnages issu de FF. On pourrait donc imaginé que c'est enfantin comme univers, mais pas vraiment. Les thèmes abordé sont évidement "disneyien" mais en même temps bien plus sombre que ce qu'il n'y parait. Bref, jouez y !
Jour 26: Maladie:
Marrant ! J'allais parler de A plague tale : innocence. Un jeu qui parle de la peste noir pendant le 14e siècle. On y suit l'histoire d'une fille et de son cadet dans la Guyenne d'alors. Jeu assez atypique, il met un fort accent sur sa narration.
Je ne l'ai personnellement pas fait, mais c'est une duologie que j'ai fortement envie de faire !
Jour 28: Oracle:
Je pourrais vous dire que oracle c'est un moteur de base de donnée et banco j'ai fais ma journée en plus d'être lié à mon job
Ou encore de ce cher et révéré Nostradamus, paix à son âme, lui qui a prédit tant de chose dans sa vie
Un oracle ca fait des prophétie. Les prophétie, un trope récurent de la fantasy, la science-fiction. Et j'en veux pour cause la tétrachiée de bouquin qui ressortent quand on tape "livre/film de fiction avec prophétie."
On se souvient tous de Erwan McGregor qui criait "C'était toi l'élu !" à ce pauvre Anakin ou encore du roi Arthur, élu des dieux par une prophétie (l'épée dans le rocher tout ça).
Les prophéties dans le monde des légendes et de la fiction, c'est simple et facile et pour cause, ca parle à tout le monde et ca énonce clairement les choses. Alors oui, ca va vite devenir fort répétitif et lassant. Surtout les prophéties avec des élus. Mais avec la bonne idéen, ca peut devenir à nouvau intéressant.
Je vais faire une petite liste d'oeuvre film, livre ou jeu video avec des prophéties :
* Star Wars * Le cycle arthurien * Harry Potter * Final Fantasy * La roue du temps * Les Archives de Roshar * Skyrim * The dark cristal * Lara Croft
Et bien d'autre !
Jour 29: Ruine:
Qui dit ruine dit désolation, qui dit ruine dit monde esseulé, qui dit ruine dit Zdzisław Beksiński.
Comment ne pas s'imaginer un monde dévasté par je ne sais quelle guerre, les vestiges d'une catastrophe
Tout trace d'humanité à disparus. On n'y croise que des tombes, ou encore des squelettes.
Même la nature n'a pas survécu.
On pourrait s'interroger sur ce qui a provoqué la chutte de la civilisation en voyons ce charnier
Même le temps ou la gravité à cesser de fonctionner correctement
Jour 30: Voile:
Chez moi, voile résonne à bien des niveaux, j'ai du mal à me positionner. Un voile ou une voile sont des vecteurs forts de symbolisme.
On pourrait y voir les voiles d'un navire et alors on parle de pirate ! Pirate, c'es AC Black flag ! La planète au trésor, Black Sails. Et tout un univers riche en couleur. Un appel à l'aventure, à la découverte, à avancer envers et contre tout.
On pourrait entendre "Lever le voile sur le mystère/la vérité" et la on parle scooby-doo !
On pourrait y voir un voile mortuaire. Et là on pense au deuil. Je n'ai pas été confronter beaucoup de fois au deuil dans ma vie, mais le voile est souvent utiliser dans la culture goth (dont je fais partie, mais j'en ai pas personnellement)
On peut parler aussi du voile d'une bonne soeur(ou une pratiquante de l'islam) ou même d'un linceul et là on tombe dans la religion, sujet ô combien sensible.
On peut tout bêtement penser au voile qui cache quelque chose et la dernièrement il y a eu Elden ring qui jouait avec ce concept.
Et bien d'autres thèmes
Je vais donc vous partager des images d'une figure qui me parle (peut être un peu cliché) mais qui résume un peu tout ça Cliquez ici pour les images
Jour 31: Horreur:
Bon bon bon bon... Bon !
Horreur... Lugubre.... Macabre ! Parlons peu, mais parlons en ! De qui ? De quoi ? De Poe évidemment ! (Et je parle pas du personnage de Star Wars, je vous vois venir !)
Edgar Allan Poe de son nom complet est né à Boston début 19e. C'était un homme de lettre et d'art. Il a été romancier, critique littéraire, de théâtre, dramaturge. Il a eu une vie assez dramatique, comme souvent chez les romantiques (du romantisme !). En France il s'est fait connaitre via Baudelaire, fervent défenseur du travail de Poe.
Il a eu une influence mondial sur bon nombre de sujet et notamment en littérature. Mais beaucoup d'oeuvre et de chanson lui sont dédiés. (Lovecraft en tête, on poursuit ce que Ali a entamé)
Peu le savent, mais il est le père et précurseur du roman policier moderne. C'est lui qui a inventé le concept du détective analysant les faits pour résoudre le mystère dans sa nouvelle : Double Assassinat dans la rue Morgue. Ou un chevalier, Auguste Dupin, doit comprendre les circonstances d'un double meurtre.
Comme oeuvre majeur, on peut cité : La chute de la maison usher, qui traite d'un homme, Rodrick burges qui enterre sa soeur Madeline. (je vous conseille la série netflix, qui regroupe plusieurs travaux de Poe d'une façon habille, tout en restant une adaptation libre. Ame sensible s'abstenir)
Je suis vraiment contris mais je n'ai pas le temps de faire un dessin ce soir. Je vais donc vous présenter une machine que j'adore et qui a des engrenages. Si vous ne connaissez pas, vous devriez la trouver hyper cool et de fait elle l'est.
Jour 4: Désert:
Alors pour le désert, j'ai opté pour un truc où il ne vit à priori pas grand monde. Depuis quelques années la NASA partage des sons captés par sonde. Ce que vous pourrez entendre ici est le son émis par Jupiter. On peut trouver les autres planètes aussi sur le net mais je rends hommage à la proposition de Mignonne.
Jour 5: Rituel:
Jour 6: Masque:
Jour 7: Créature Marine:
Les aventures de Minos Dick !
Euh...non ok pas top comme nom. Dans AC Odyssey, on peut aller sous l'eau et voir de la faune sous-marine. Il y a des baleines qui ne se laissent pas facilement approcher et avec lesquelles aucune interaction n'est prévue (elles passent au travers du perso). Mais ! Si on repère leur pattern de déplacement et qu'on poireaute, puis qu'on capture sa plus belle image au moment opportun, on peut avoir ça :
Jour 8: Diligence:
Cliquez ici Voilà ma participation ! J'aime bien l'effet carosse éventré avec des bonbons qui ressortent. J'ai un autre gâteau bonus mais lui est tellement beau que jamais j'oserais le manger
Jour 9: Envoûtement:
Et voilà mon idée pour l'envoûtement. Elle a toujours eu un côté hyper sensuel pour moi, avec une dose d'onirique et quelque chsoe d'organique malgré l'emploi du synthétique. J'espère que ça plaira à ceux et celles qui ne connaissent pas.
Jour 10: Cobaye:
Jour 11: Astral:
On parlait de musique symphonique hier. Ben j'ai un titre que j'ai toujours beaucoup aimé et qui a son côté astral. Je vous mets la version live et studio parce que la live a l'avantage de l'écran de la salle et des vrais instruments qu'on voit jouer. Par contre le son est bien mais pas génial. Je vous joins une seconde version au son plus propore si le morceau vous plaît. et
Jour 12: Steampunk:
<@215605907793510400> Le Steampunk est un genre qui a connu son petit succès il y a quelques années avant de ressombrer vers un terme qu’on connaît tous, sans pour autant être baigné d’un amour de la culture. Des bars, des cosplays, des goodies, un phénomène de mode semblable à celui des zombies des années mitoyennes. Le jeu They are Billions combinera même les deux.
Je ne vais pas ici m’atteler à une réflexion sur le genre pour son aspect esthétique. Ash l’a déjà fait (coucou Ash) et j’avoue m’intéresser davantage à la fibre sociale pour livrer une réflexion que je n’ai, à ma connaissance, trouvée nulle part ailleurs. Désolé si c’est un peu en vrac, mais le temps me manque et il y a teeeellement de choses qui amènent à mon amour du Steampunk. Je vais tâcher de tout rassembler ici.
Entendons nous simplement sur le terme de punk. Oui, c’était un élan pessimiste issu du mouvement implanté dans du cyber qui ne faisait que parler de son époque contemporaine, comme toutes les œuvres. Mais le terme de punk a évolué pour dévier vers ce que je qualifierais d’un appel à l’humilité. Dans une œuvre punk, on a des célébrités, pas des héros. Il n’existe pas de personne qui a quelque chose à accomplir, pas d’élu créé pour résoudre les problèmes du monde et offrir une idole au centre de l’humanité faite pour leur prodiguer la sagesse dans les meilleurs des cas, une injonction à accepter l’hégémonie des puissants dans les autres. Le punk, c’est le populaire, l’insignifiant, le rouage dans une machine qui tournera quand même sans lui car ils sont trop nombreux à être remplaçables, dans un point de vue si élevé que seul le lieu est un personnage. Des pétroleuses ? Dieselpunk. De l’électrique ? Teslapunk. De l’espoir ? Hopepunk….attendez, hopepunk ? Mais ce n’est pas une technique ça c’est un sentiment.
Si le cyberpunk est le pessimisme et une illustration d’inégalité sociale, le steampunk ne peut être un même propos mais avec de la vapeur, pas plus que le hopepunk ne peut être qualifié de grasspunk sans en réduire la substantifique moelle. Oui mais alors qu’est-ce que le steampunk et surtout quel est son intérêt propre ?
Je propose de ne pas regarder le monde de loin, mais au contraire de zoomer jusqu’au cœur humain et aux mécaniques de son esprit à un instant différent de son évolution.
Dans ce filtre, considérons que le cyberpunk, la base, est en réalité la soustraction de l’humain non-transcendé en une version fantasmée et améliorée de lui-même. Pourquoi se muscler quand on peut avoir un bras hydraulique prêt à soulever des charges ? Pourquoi mourir quand un coeur artificiel peut pomper du sang pendant 200 ans ? Pourquoi avoir des lunettes quand on peut changer d’yeux ? Ce que la nature rend défaillant, l’industrie le remplace. Le cyberpunk est à la fois le consumérisme et l’inégalité sociale issue d’une oligarchie technologique aux mains de corpos cyniques, mais aussi le post-apo des rêves de l’être humain d‘évoluer. On n’évolue pas dans cyberpunk, on se cybernétise et on meurt. Les corporations dominent dans une immuable révolution qui ne concerne que les derniers modèles de remplacement du corps humain par du produit d’usine. Pourquoi tout le monde l’accepte ? Parce qu’on le veut ? Parce qu’on l’espère ? Même pas, même plus. On l’accepte parce que tout le monde est persuadé que c’est la chose normale de l’évolution et qu’on ne peut rien y faire. Le héros est la corpo et tout le monde la suit et la subit sans réellement vouloir repenser le paradigme. Après tout, qui voudrait vivre dans un monde sans cyber ? Qui voudrait du hopepunk à chiens, ce truc d’amish dont on rigole tout en se sentant mal si on n’a pas un appareil relié au monde entier qui tournera bien sans nous? Mieux vaut être un dieu esclave d’une corpo qu’un humain maître de ses trop peu d’années d’espérance de vie. Un petit fixe de monde virtuel et les symptômes du mal disparaissent. Chaque œuvre parle de son époque.
Le steampunk est l’étape d’avant cet effondrement de la dernière souche naturelle de l’humain, de quand il demeurait un espoir de monde meilleur et un effort commun pour y parvenir. Il existe bien des mécanisations, mais pas ou si peu d’intelligence artificielle. On travaille sur des machines qui survolent de vraies montagnes, pas les marchés boursiers. On conquiert un univers tangible et les rois gouvernent une terre commune, pas un espace sûr de réseau social où chaque mini-dieu s’est constitué son propre paradigme. Le steampunk est la conquête et la domination du naturel, mais sans pouvoir négliger l’être humain et l’espace commun qu’il partage avec ses semblables. L’ère industrielle en somme, où on peut ranger d’autres genres gravitant autour de la même idée. La version vapeur a pour avantage de renvoyer au passé de notre civilisation, étant donné que dès l’Antiquité il était conçu de pouvoir se servir de la vapeur pour des machines. Les grecs y feront leur propre étude de marché et concluront que l’emploi de machines risquait de faire s’effondrer l’économie de l’esclave. Ah les barbares, se dira notre société, certaine qu’il est mieux de mettre au balayage de rue 5 guichetiers sur 6 pour qu’ils aient encore le droit de toucher à peine de quoi vivre dans une société qui les traite de parasite et leur ôte peur à peu leurs protections et leur droit à la dignité. Nous avons choisi la vapeur, mais gardons-nous de juger ceux à qui nous devons l’essentiel de notre culture. Même si après avoir tué le divin, tuer le père est un bien moindre effort.
L’humain a passé son évolution à craindre les éléments qu’il ne pouvait dompter et à appelé « dieux » ce qui lui échappait. Avec le temps il est devenu un superprédateur et a pu assumer, grâce aux capacités de transports accrues et à la centralisation des courants de pensées majeurs, que peut-être les dieux n’existaient pas, ou pas tant qu’on le croyait. C’est surtout qu’il n’était plus autant utile de croire. Il s’est ensuite dit que quitte à retirer les dieux, autant qu’il en assume le rôle. Puis il a tout fait pour se transcender, prétendre que la pensée régit tout et qu’il peut maîtriser chaque chose, concrète ou abstraite, avec ou sans effort. Enfant roi, enfant tyran puis enfant dieu. Le steampunk est ce moment où l’humain veut rivaliser contre le divin pour ne plus devoir indubitablement s’y soumettre. C’est une guerre farouche de besoin de tout dominer et expliquer, sans encore oser penser qu’il est le régisseur du naturel. Il peut encore établir une route vers le hopepunk, pour peu qu’il récupère le souci de vivre dans le monde au lieu de le malmener simplement parce que ça le sert.
Le hopepuk permet la technologie pourvu qu’elle soit projetée à long terme et qu’entre un monde satisfaisant mais dévasté et un monde humble mais en harmonie, le choix soit fait de conserver l’harmonie. C’est un genre qui se développe parce que même le pessimisme épuise et que l’espoir revient toujours. Surtout, asséner que le monde est moche comme un sermon de moralité ne permet pas d’améliorer l’humanité, seulement de sensibiliser une part de la population prédisposée à ce discours. Comme pour les dogmes précédents, louables ou abjectes. Peut-être qu’au lieu de donner au mal du cyberpunk la superbe de l’exposition, le hopepunk tente de former notre esprit à réellement admirer autre chose que la dévastation et à nous faire rêver à une nature possible sans omettre nos besoins de confort et de sécurité. Mais nous guérir de la prison de l’individualisme. L’entre deux, c’est le steampunk, qui permet un avenir ou, du moins, un idéal à poursuivre. Avant qu’il soit trop tard.
Et voilà pourquoi j’aime le steampunk, au-delà de son esthétique. Il y est essentiel d’engranger des avancées pour arriver à faire survivre tout le monde, mais on ne perd pas cet aspect obsolescence programmée de l’humain s’il ne fait pas attention. C’est une bonne croisée des mondes et un genre très riche pour permettre une évolution libre, ou en tout cas avec de nombreux choix à opérer. Merci de m’avoir lu.
Jour 13: Abomination:
Pour le mot Abomination, j 'ai décidé de vous présenter une oeuvre d'un artsite que j'aime beaucoup et qui s'appelle Nathan . Voici sa marionnette : Mr Paink!
Mr Paink! est une marionnette conçue pour une chaîne Twitch et qui doit illustrer une douce folie. Il a été conçu sur base d'une tête de mannequin à peruque sur laquelle on a posé une peau en ballon collée avec des balles des ping pong en guise d'yeux. Vous remarquerez qu'un des yeux est sans pupille.
La bave est faite avec de la vraie colle et le haut de sa tête bouge au gré des 4 ressorts. Le chapeau mignon provient de la 8ème fête d'anniversaire de l'artiste. Un renfort colle plus récent a ajouté une odeur désagréable à Mr Paink!. Il est également muni de gants en latex roses pour les besoins de gestuelle de l'a marionnette.
Jour 15: Nécropole:
Et voilà mon dessin du jour pour le mot Nécropole. Et oui il y a bien un Nécropaul Phénix derrière <:smug:> L'artiste de base pour le décor c'est lui :Ici
Jour 16: Symbiose:
<@215605907793510400> Pour le mot Symbiose, je vais vous parler d'une combinaison qui peut paraître étrange, voire dégueux, mais qui marche hyper bien : la double beurée fermée de pâte chocolat et la soupe de tomate.
Je déconseille l'emploi d'un sandwich ouvert car il est plus agréable que le chocolat reste enfermé dans du pain pour ne libérer ses arômes qu'après avoir goûté le pain baigné de soupe. La soupe de tomate étant souvent assez épaisse, elle recouvre bien le pain sans en faire une éponge trempée et les trois textures et saveurs se marient bien.
D'ailleurs, le chocolat et la tomate fonctionnent naturellement ensemble. On peut employer du chocolat amer dans de la sauce tomate pour combiner l'amer et l'acide des deux aliments qui s'harmonisent bien. Il y a même des variétés de tomates qui prennent le goût du chocolat en mûrissant. Donc si l'idée semble loufoque, la nature approuve et connaît le mélange. Osez une fois et dites moi que c'est mauvais. Bien sûr faut aimer les deux aliments. Pour ma part, la soupe de tomate seule je m'en fous sans la tartine de chocolat qui va avec. Et en hiver, pour changer du café, la souplette de tomate au petit déjà avec le pain choco c'est parfait.
Voilà pour ma symbiose. La semaine prochaine, nous verrons comme le café est divin après un steak hyper poivré. La brûlure des lèvres avec le poivre crée un effet glacé avec le café sur la peau sensibilisée. C'est génial comme sensation. Par contre mettre du poivre dans le café ne rend pas pareil, même si on en met beaucoup. C'est dommage.
Jour 17: Vaisseau:
<@215605907793510400> aujourd'hui je vais vous parler d'un manga que j'aime beaucoup même s'il met en scène une héroïne. Euh.... non attendez on la refait....
Aujourd'hui je vais vous parler d'une bande dessinée japonaise que j'aime beaucoup même si elle met en scène une héroïne. Voilà c'est mieux. Mother Sarah, ou Mother Sarah en vf, est un seinen (le seinen c'est comme un shonen, sauf que le One Piece à la fin est la tuberculose) post apo racontant l'histoire de la civilisation terrienne qui s'est barrée dans des vaisseaux satellites le temps d'une grosse catastrophe nucléaire. Suite à des soucis de dépressurisation, une partie des naveteurs doivent regagner la Terre, dévastée et toujourd habitée, mais dans un chaos quasi général. Sarah cherchera à retrouver ses enfants, entre radiations, groupes extrémistes et nihilisme ambiant.
Mother Sarah est une BD magnifique, surtout pour l'époque (1990) et qui m'avait déjà plu pour son aspect "réaliste". On est assez proche d'un Ken le survivant façon Akira, avec des personnages cassés, faillibles et des physiques divers (le compagnon de Sarah est un noir avec un strabisme divergeant). On aborde également des thèmes forts, comme la lutte des classes, ||les sévices divers faits aux prisonniers et même l'infanticide, sous un angle particulier étant donné que Sarah elle-même aura dû étouffer son bébé en pleurs pour échapper à des pillards. || Ce n'est pas une oeuvre pour toutes les sensibilités, mais l'aspect humain sous un spectre large y est bien dépeint et j'incite toute personne amatrice de post apo à y jeter un oeil. En plus Sarah frappe des monsieurs tout nus.
Je vous mets des planches de la scène d'intro du volume 1 pour vous montrer le crash du vaisseau. Une scène qui m'avait impressionné étant gamin. Cliquez ici
Jour 18: Faille:
Aujourd’hui, plutôt que vous parler de la faille de San Andreas ou de la faille d’un homme qui pleure, je vais rebondir sur le titre de Ménélik proposé par Mignonne parce qu’il y a une faille dans ce clip. Ewi…
Dans les années 90 et début 2000, le hip hop s’est énormément popularisé en France et la rue a été à la mode, comme les communautés ethniques. Il y a eu cette vague artificielle, mais globalement bénéfique du vivre ensemble en montrant plein d’artistes originaires d’Afrique pour promouvoir le raï, le rap, le RnB, etc. Le rap du début des années 90 avait déjà ouvert la voie sur les quartiers défavorisés et, comme toujours, ce qui est populaire et qui marche doit se glamouriser, se gentrifier. L’industrie du disque a toujours été une des plus cyniques. Pensons au fait que des femmes noires chantaient déjà du rock avant 54, mais l’Histoire est toujours racontée par les vainqueurs.
Les rapeurs ont donc fait énormément de « duos » avec des chanteuses de RnB ou des rapeuses qu’on collait malgré elles dans la cases RnB. Comprenez qu’un rapeur était un vrai produit de la street, un bonhomme, un mec qui ne voit sa go que quand il a besoin se vider les sacoches ou de lui apporter un diams qu’il a gagné à la sueur de son front en vendant des disques, de la drogue, peu importe tant que c’est lui qui ramène le pez. Un bon gros alpha déter forgé au bitume quoi !
Alors bien sûr, les chanteurs de RnB ont été une déclinaison plus douce, plus enjôleuse, plus petit cœur d’amour qui a sa femme et parfois d’autres parce qu’il est resté un peu lascar quand même. Cela s’est traduit dans l’univers musicale comme un chanteur en avant du podium, seul ou avec des bros, et une ou des chanteuses pour faire les chœurs ou le refrain.
Ces chanteuses étaient des artistes complètes qui voulaient aussi se démarquer, mais à qui on n’offrait bien souvent qu’un mépris en dehors des studios d’enregistrement et nombre d’entre elles n’étaient même pas créditées, alors même que leur touche féminine et leur capacité à souvent être de meilleures chanteuses que les mecs des couplets ajoutait la dose sucrée qui pouvait manquer à un plat trop sec et trop fade. L’injustice était d’autant plus grande que les réseaux sociaux n’existaient pas et que les chanteuses étaient jeunes, donc influençables et trop peu argentées pour risquer des procès. Sans parler du souci d’être tricarde dans le milieu au moment où elles approchent le plus un grand public... Et un jour, Imane D arrive. Petite nana de la vingtaine, sœur d’un rapeur et qui sait qu’il faut tout envoyer en studio dès la première prise pour espérer être repérée. C’est ce qu’elle fait et le titre Bye Bye qu’on connaît est sa première prise enregistrée. On la crédite, ce qui était un peu indispensable étant donné qu’elle partage la moitié des paroles avec Ménélik. Imane D fait sa vie et découvre ensuite le clip où elle n’a jamais été invitée et qui met en scène une autre chanteuse. On ne l’avait pas jugée assez jolie pour être montrée, tout simplement. L’ironie étant que plusieurs femmes incarnent la compagne d’un Ménélik, lui aussi polymorphe. Notez que le titre Bye Bye n’a que Ménélik dans le crédit du titre à l’époque. Fallait pas pousser.
Sauf qu’elle pousse, Medina ! Elle se fait prêter de l’argent pour un avocat et charge Sony, le mastodonte. Elle attaque et gagne le procès pour usurpation d’identité et on peut désormais la voir créditée en feat sur les posts de Bye Bye plus récents. Elle touchera aussi des indemnités et son histoire refera surface en 2022 avec des interviews alimentées par le nouveau regard porté aux combats sociaux, notamment concernant invisibilisation faite aux femmes par les industries. Une victoire pour Imane D qui s’en sort aujourd’hui sans amertume, mais qui aura converti sa carrière pour défendre les autres artistes, en tant que chargée de presse, directrice d’agence de communication, enseignante et coach.
Jour 19: Érudit:
pour le mot du jour, je vais présenter un érudit de la mythologie grecque : Jean Pierre Vernant. Il est considéré comme une sommité dans sa branche et est hyper intéressant à écouter. On peut trouver de lui des vidéos et audios où il parle de la croyance grecque mais surtout de ce que ça induit, un peu comme d'autres théologistes décortiquent les pensées d'autres civilisations. Vernant est bien parce qu'il est précis dans son vocabulaire et tient aux subtilités de ce qu'il explique. On l'a perdu il y a quelques années, mais il a vécu une longue vie faite de décennies d'études et de transmission de savoir.
Jour 20: Mutant:
Et une musique pour le jour du mutant ! Bishop Briggs est une de mes artistes préférées. Elle a son univers et j'aime bien le mélange de pop et de touches persos dans ce qu'elle produit. Ses chansons sont variées et j'aime sa voix. Ca c'est la chanson avec laquelle je l'ai découverte. C'est juste l'intro de son album mais je la trouvais super cool. Et tout l'album dépote. Bonne écoute !
Jour 21: Relique:
Je suis sous effet de médocs qui assomment, donc c'est en me traînant que je vous livre la participation du jour. je lirai les vôtres demain après du repos.
Dans cette vidéo, Pacôme, une sacrée tête, parle du cinéma de Lynch en tant qu'oeuvres célébrées par un Hollywood qui ne perçoit pas le caractère anti Hollywood sous tous ses aspects. la machine du cinéma, le paraître, la pauvreté des populations sur place et il emprunte à la culture des premiers américains, avant la colonisaton du vieux continent.
Ce n'est pas le truc le plus détendu du monde, mais c'est hyper intéressant et si on s'intéresse au cinéma ou aux cultes de masse par l'écran, c'est une bonne vidéo à découvrir. Le lien avec la relique a plusieurs lectures. J'espère que ça intéresseraceux qui sont curieux du sujet. Pacôme parle aussi très bien de Matrix et d'autres oeuvres au passage.
Jour 22: Soldat:
Ok si c'est une journée chansons j'envoie la mienne. C'est un musique que je réécoute de temps en temps. J'adore son instru et la mélancolie sans manque d'énergie du morceau. Et ça parle d'un soldat.
Personne n' a posté du soldat Louis ni du soldat rose ? Je suis étonné
Et sinon, en bonus, je vous conseille le film Universal Soldier 4. le premier est un film sympa des années 90 où Vandamme et Dolph Lundgren sont des super soldats qui font la bagarre.
Dans le 2, JCVD affronte une IA et doit sauver sa femme et sa fille mais c'est un peu chiant.
Le 3 est un très bon film de baston où on suit un super soldat incarné par Andrei Arlovski (pratiquant de MMA) qui est dans une ville en ruine et qui défonce tous ceux qu'on envoie pour tenter de l'arrêter. Il est le chien de garde d'une scte si je me rappelle bien, un truc du genre. On envoie Vandamme pour l'avoir mais Vandamme n'est clairement pas au niveau. C'est un film très bas budget et qui est terne niveau photo et décors, mais la qualité des bastons y est et j'aime le fait que ce soit le méchant qui doive passer des obstacles qu'on met sur sa route.
Le 4 est un réel bon film d'action et un très bon thriller. JCVD a viré méchant et rassemble des super soldats pour renverser le Gouvernement. Scott Atkins, dont la famille a été tuée par JCVD, se met à le traquer. Le film est sombre, loin d'être aussi con que son réusmé le laisse penser et il y a un soin apporter aux ambiances et aux combats. C'est aussi pour moi un des meilleurs rôles de Vandamme qui arrive é être flippant sans rien faire. Le film emprunte des référence à Terminator pour son côté traque et bladerunner pour l'aspect "les machines se révoltent". Il y a aussi du Apocalpyse Now et du Shining. Et voilà la bande annonce d'unisol 4. Elle n'en dévoile pas trop et vous pouvez ne pas avoir vu les 3 premiers pour le regarder.
Jour 23: Chemin de fer:
Je vais parler de mon film préféré ! Ewi... Capitaine Conan, un film frnaçais de Bertrand Tavernier. Je n'aime pas vraiment les films de guerre, mais celui-là fait exception et est très documenté sur celle de 14-18. On y suit le pur conflit la première demi heure, qui sert aussi d'exposition des personnages; Mais c'est ce qui suit le véritable propos du film, quand la guerre est terminée.
Parce que tandis qu'on dit que tout est fini, les soldats ne rentrent pas chez eux. Ils voyagent en train de pays en pays pour des opérations, parfois contre des anciens alliés. Et alors qu'on les a dressés à devenir des sauvages sur le champ de bataille, là leur sauvegerie devient en problème en temps de paix. Ca fait tâche. On suit donc Conan et son meilleur ami, l'un sauvage et rendu fou par la guerre, l'autre intellectuel "préservé" et qui va servir de balance morale à Conan.
Le film est beau et la bande annonce ne lui rend pas hommage car on montre surtout les scènes d'action, qui ne sont pas du tout le coeur du film. On y suit l'absurdité des ordre, le traitement d'humains rendus bestiaux et le personnage de Conan, magnifique et magnifié au début, puis tantôt "sali" par sa balance morale, tantôt merveilleux des efforts qu'il fait pour aider son ami dont il ne partgae pas l'idéologie. Et la fin est géniale. Plusieurs gradés américains ont qualitifé ce film de la plus belle démosntration de ce que le vietnam faisait des soldats rapatriés. C'est donc plus un film sur la folie et l'absurdité humaine, puis l'enfer d'être sans cesse baladé sans jamais contrôler sa vie. voilà un extrait où Conan peste contre les procès faits aux soldats alliés qui commettent des crimes. Là aussi l'extrait ne rend pas justice, mais le film est superbement écrit
Jour 25: Radiance:
Imaginez qu'on est dans les années 1600 et que Galilée il vous demande si la lumière a une vitesse infinie ou pas. Vous n'avez pas pu apprendre à l'école qu'elle fait dans les 300k par seconde. Galilée il a allumé des lanternes à distance au même moment pour voir si celle qui est plus proche brille avant l'autre, mais il n'a rien pu détecter. Si ça avait été le cas, alors on aurait su qu'elles avaient une vitesse et qu'il fallait que la plus éloignée trace plus de route pour vous parvenir. Or, on ne sait pas. Et comme on n'est pas cons mais scientifiques, on part du principe que ne pas avoir démontré que la lumière était limitée en vitesse ne signifiait pas qu'elle était de vitesse infinie. Mais voilà, comment le découvrir au 17ème siècle ?
Si vous voulez cogiter c'est le moment, parce qu'après on spoile. Sachez juste que vous avez droit à des voyages n'importe où dans le monde, à du papier crêpon, un microscope performant et tout le siècle pour trouver. Ou presque. Parce que luiCliquiez ici Romer de son nom, il a trouvé en 1675.
Il s'est dit qu'il fallait des points de comparaison vachement éloignés. Alors déjà il n'a pas utilisé le papier crêpon. Si vous comptiez en faire quelque chose, utilisez le pour essuyer vos larmes de chagrin. C'était un faux indice !
Donc, Romer, il prend son microscope déter il et il braque le ciel. Et son référent, c'est Jupiter et ses satellites, qui sortent de l'ombre et y retournent avec une régularité parfaite. Il calcule quand les satellites réfléchissent la lumière du soleil et quand ça cesse. Et comme il est vraiment hyper malin, il sait que la Terre tourne autour du soleil et que, forcément, les positions d'où ils chope les infos vont changer. Et c'est là qu'il détecte que, selon l'endroit de la Terre par rapport aux satellites de Jupiter, le temps d'exposition varie. Ca parait tout con, mais cette donnée a permis de savoir que la lumière avait une vitesse limitée. Il l'a estimée à l'époque à 220k kim par secondes. Ce qui est assez précis pour l'époque. Cette découverte a permis de comparer la vitesse de la lumière aux particules dotées d'une masse et de savoir que toute masse empêche d'atteindre la vitesse lumière. Ou encore de découvrir l'onde électromagnétique, puis la courbure de l'espace-temps et donc de savoir sans les voir ce qui compose les corps célestes dont on ne perçoit que des ondes.
Ce que que j'aime avec de genre de chose, c'est de constater que nos vies sont très courtes pour découvrir des mystères et que la science est une histoire de relais. On saura des choses incroyables durant notre vie, mais peut-être qu'un point d'interrogation qui se découvrira demain n'aura sa réponse que d'ici deux siècles, avec les travaux de scientifiques qui chercheront une version temporairement définitive du savoir. Et je trouve ça fascinant, vertigineux et incroyablement galvanisant.
Jour 26: Maladie:
<@215605907793510400> Pour le jour de la maladie, je vais raconter un rêve d'il y a quelques semaines.
J'étais dans ma chambre avec mon ordi et je parlais en vocal avec Ali. Mes rèves sont toujours très ambitieux. Une fois j'ai rêvé que je dormais. Véridique. Et bref, je suis en vocal avec Ali. Et en parlant avec lui, je vois que j'ai des petites boules au revers de la main. je pense à des piqûres de moustique et l'en informe. Ali ne réagit pas trop, mais il faut dire que ce n'est pas si spectaculaire. Sauf que ma main se déforme en direct et je commente ce que je vois. Des petits tentacules de chair éclosent et ont la dureté de la peau cornés. Les boules se multiplient et j'ai des crevasses couleur chair à vif. Ca ne fait pas mal, mais ça se dégrade à vue d'oeil.
Et tandis que j'explique tout ça à Ali, lui il m'écoute mais ça va, ça ne l'inquiète pas trop. Même dans le rêve je me dis qu'il le prend plutôt sereinement. La gangrène de peau commence à me ronger les avant bras quand je me réveille en me disant que pour une fois que je rêve de gens d'internet (ça m'arrive assez rarement) c'était quand même un truc pas super cool.
Jour 27: Mécanicien:
Pour le mot mécanicien, reprenons la définitition de Job qui.....qui est en roue libre décidément. On n'a même plus ses définitions du mot du jour. Maintenant il disserte sur il-sait-quoi et la façon d'écrire il-sait-comment ce qu'il-sait-où. Sans ses définitions, je me retrouve pauvre comme Job. Et je ne vais pas parler du film "le machiniste" parce que, ne l'ayant pas vu, je ne peux aménager le suspense quant au fait que le méchant soit le héros.
Ca c'est un clique inopportun. Je n'ai pas encore fini mon replictober du jour
Je voulais juste sauter une ligne et voilà
Bref, je continue...
Je vais donc partager un truc sur instagram parce que pourquoi pas ?Cliquez ici Cet artiste n'est pas moi. Mais ce petit bâtard est sacrément imaginatif et doué de son recyclage. Il conçoit des machines aussi inutiles qu'indispensables. Mention spéciale à celle derrière le vélo.
Jour 28: Oracle:
Pour le thème du jour :
Spoiler:
||42||
Jour 29: Ruine:
Hier, j'ai accompli une de mes plus belles participations, pleine de force évocatrice et de symboliques allant de la citation d'oeuvres à l'héritage popculturel qui décante encore dans notre société moderne. Mais on m'a fait comprendre que ce n'était pas assez consistant. Alors que Woowoo me taquine dès qu'il m'est possible de parler longuemment, et que je veille à ne pas lui donner satisfaction, v'là qu'on me reproche aussi d'être trop court. J'ai ce souci des célébrités de ne jamais satisfaire mon public qui en demande toujours trop, que j'ai habitué à l'excellence. Et cela me ruine...... ce n'est pas ça ma participation, pas encore. Je dois d'abord consulter le cntrtruc, vu que Job ne fait plus son....travail (même les jeux de mots on me les retire. Encore du wokisme ça).
Déjà, verbe trans. J'avais dit que c'était du wokisme.... Mais ensuite, on va surtout s'intéresser aux restes, aux vestiges. La ruine, c'est la texture. Tu peux faire le bâtiment le plus lisse du monde, dans ton besoin frénétique de tout rendre blanc et plastifié, comme des coques d'iphone, à la fin des fins ça se fêlé, ça se morcèle et tu vois l'usure partout. La ruine ne peut pas être lisse. Elle raconte l'histoire des éléments, sans tricher.
Avant de m'intéresser à la texture, je suis tombé amoureux du noir et blanc, depuis tout petit. Via quelques films, mais surtout grâce à Dragon Ball. Certaines planches n'optaient pas pour de la couleur "plate" et uniforme, mais pour des tons nuancés. J'adorais ces planches, souvent présentes en débuts de chapitre sur une page entière. J'ignore si c'était de la couleur dans la planche de base rééditée en noir et blanc sur le marché occidental ou si c'étaient de splanches volontairement plus travaillées, mais j'en ai trouvé le noir et blanc vraiment beau.
Et bien sûr, né dans les années 80, j'avais également l'époque des couleurs assumées et chatoyantes. Bien en dehors de la couleur passée au pétrole ou des tons criards faits pour prétendre au cool depuis des studios cyniques. Ou comment on passe de ça
à ça
Plus de position, que de la posture. Et bien sûr plus de couleur. C'est nul la couleur faut que ça fasse "trop pro". C'est surtout de la merde. T'y penses, à l'éveil des gamins ? T'as vraiment envie de les biberonner au terne ? Mais bref, je dessinais des persos colorés qui faisaient de la bagarre et je pensais que j'étais surtout sensible aux couleurs. Mais avec le temps, j'ai découvert qu'en fait je suis surtout sensible à la texture.
Le déclic a été quand j'ai découvert les tableaux de Pierre Soulages. Je ne suis pas admiratif des oeuvres du bonhomme,qui sont jolies mais un peu trop "je répète ma lubie" à mon goût. Par contre j'aimais beaucoup sa démarche. Il est parti du principe de toujours bosser avec de la couleur noire, sa "marque de fabrique". Mais l'emploi du noir n'est pas tant pour utiliser le noir que pour l'observer selon les matières employées, le grain apporté et le jeu des reflets de lumière dessus. C'est là que je me suis dit "mais attends, moi aussi je suis surtout intéressé par la texture".
Et de là, j'ai révisé ma propre vision esthétique. J'ai compris pourquoi j'aimais une pièce en désordre, le bois usé, les objets abîmés et tout ce qui marque l'usage du temps ou le rafistolage. j'aime la texture. Je l'aime aussi sur les corps. Il y a des femmes belles et lisses bien sûr ( je ne parle que des femmes par pur critère esthétique personnel ), mais nombre d'entre elles m'ennuient d'absence de ce qu'on appelle des imperfections. Un visage d'ange, une peau laiteuse, un corps ciré avec des vêtements immaculés, ça m'emmerde. Di Caprio, pour prendre un exemple masculin, m'ennuie avant d'avoir ses première rides. J'aime le grain, les nuances et les failles. Des rides, des cernes, des veines, des cicatrices, des vergetures, de la vie bordel !
Alors ça ne veut pas dire que plus c'est déglingué, plus je trouve ça beau. Mais il me faut de la texture et la texture s'obtient via l'usure, Le plus lisse des corps finira par se fatiguer quelque part, par gonfler ou s'assécher. Quelque chose rendra à la surface ses irrégularités. Et ce qu'on peut qualifier de ruine d'un corps, un vestige témoin de ce qui fût, moi j'y vois une nouvelle étape de beauté.
Jour 30: Voile:
Hier en vocal j'ai dit à Job que s'il postait un post rp je l'ajouterais à la galerie des personnages dessinés. Alors voilà Job dans ses péripéties du côté de Mordun. Il prend la voile pour échapper au Voile <:hihi:>
Jour 31: Horreur:
Pour ce dernier jour, pensons à l'horreur de devoir fermer le replictober, de bientôt retourner à nos vies. Quand vient la fin de l'été sur la plage, il faut alors se quitter etc. Et pour le dernier dessin, j'ai tenu à remercier les participants en faisant une référence à chacun d'eux. Merci à tous !
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Re: ANIMATION // REPLICTOBER• Dim 3 Nov - 1:23
Galerie de Jasper:
Jour 1: Aventurier:
En lien avec l'animation d'octobre : Comment parler d'aventures sans parler des musiques ? Alors en ce premier jour de Replictober, un petit hommage à ce grand monsieur : John Williams (Star Wars, Harry Potter, La liste de Schindler, Indiana J., E.T, Jurassic Park et tant d'autres )
A noté que ce film est sorti en -18 avant Jurassic Park
Jour 2: Champignon:
Bonjour tout le monde. Le champignon étant à l'honneur aujourd'hui, je vous propose deux petites musiques bien différentes pour l'occasion !
Jour 3: Engrenage:
Bonjour tout le monde ! On continue le Replictoberfest toujours en musique avec un engrenage particulier : l'engrenage psychologique
Jour 4: Désert:
Tu en parlais, tu en voulais alors on commence aujourd'hui avec le thème du film La Momie de Goldsmith !
Et on continue dans un autre style, album peu connu mais exceptionnel appelé "Labo -M-" de notre bon Mathieu Chedid
Je force un peu pour finir part un jeu de mot mais l'artiste et la chanson en valent plus que le détour
Jour 5: Rituel:
Bonjour ! Aujourd'hui je vous fais remonter le temps à l'époque du Hoodoo (déclinaison afro-américaine du Voodoo) pour découvrir ou réécouter le "Roi des chanteurs du Delta Blues" monsieur Robert Johnson (1911-1938) avec son titre
Premier membre du fameux "Club des 27", la légende raconte qu'il voulait devenir bluesman mais moqué par son incompétence et son manque de rythme par les joueurs de l'époque. Il disparaît alors pendant 1 an et reviens plus fort que tous ! Comment ? En ayant pactisé avec le diable à un croisement. Il aura, malgré sa très courte carrière, donné l'inspiration à Jimi Hendrix, Bob Dylan, Keith Richards (Rolling Stones), Eric Clapton mais aussi des mangas, des films et séries. Beaucoup disent que sans lui, le Rock n'aurait pas existé...
Jour 6: Masque:
Vu que l'heure est passée. Je me dois de vous réveiller avec le plus caliente de tous les Mask. Interprété par un acteur de génie :
Une dernière pour rester dans le thème, comment être ce que l'on est pas tout en renouant avec l'enfant en nous :
Jour 7: Créature marine:
Bonjour tout le monde ! Aujourd'hui on part en mer à ce qu'il paraît ? Alors commençons par une chanson de l'un des meilleurs albums selon moi
Pour rester dans le thème et la nostalgie personnelle. Voici une musique de marins bretons (que mon père me chantait bébé pour calmer mes pleurs) interprétée, pour le folklore, par des Russes
Jour 8: Diligence:
On s'écarte un peu des chansons aujourd'hui pour aller sur l'ouverture d'un film. Qui dit diligence, dit cheval, dit cavalier, dit cowboy... Mouais c'est bancal et alors Encore à contre-pied des autres jours, ce qui est tout aussi important que le son sont aussi les silences alors :
Jour 9: Envoûtement:
Et bien le bonjour ! Aujourd'hui nous partons sur l'envoûtement avec : Et après l'envoûtement technologique, je vous propose une critique de l'idéologie :
Jour 10: Cobaye:
Bien le bonjour les Z'amours Pour se réveiller aujourd'hui on entame la journée en douleur avec :
Merci Spotify qui m'a rappelé à cette chanson au titre du même thème :
Jour 11: Astral:
Pour ma part ça sera :
Ainsi que :
Jour 12: Steampunk:
Coucou tout le monde ! La nouveauté avec l'ancien, j'ai souvent entendu des vieux morceaux de swing dans les thèmes steampunk, mais aussi leur variante électro' alors :
Jour 13: Abomination:
Aujourd'hui, j'ai failli zapper , deux petites chansons tout en décalage Disclaimer n°1 : ne pas mettre le son trop fort
Disclaimer n°2 : Les paroles peuvent choquer
Jour 14: Richesse:
Bonjour ! On va commencer la journée en douceur avec un partage d'expérience comme richesse
Jour 15: Nécropole:
Bonjour tout le monde ! Ça remue dès le matin
Et comment ne pas profiter du thème d'aujourd'hui pour mettre en avant la plus grande pilleuse de nécropole du jeu vidéo :
Jour 16: Symbiose:
Je rigole. On commence la symbiose en douceur avec l'intro d'un jeu mythique : Et on continue avec une symbiose à la Bonnie and Clyde un peu particulière (attention, le clip est... particulier - 1ère fois que je le voyais)
Jour 17: Vaisseau:
Un classique :
Et un second :
Jour 18: Faille:
Et malgré toutes nos failles :
Jour 19: Érudit:
Pour ma part, ça sera du Nepal pour le thème d'aujourd'hui :
Si vous voulez en savoir plus sur ce rapper :
Jour 20: Mutant:
Ouais il est 4h et j'ai pas d'autre inspiration
Jour 21: Relique:
De part l'époque et le style, je me demande si les "jeunes" d'aujourd'hui ne voient pas ça comme des reliques (presque) oubliées :
Jour 22: Soldat:
Pour ma part ça sera une reprise d'Édith Piaf par Gainsbourg :
L'instrumental derrière est incroyable
Sinon quelq'un qui se bat pour être juste lui/elle-même, ca serait pas une autre définition du soldat ?
Jour 23: Chemin de fer:
Pas besoin de faire un dessin :
Et pour ceux qui ont pas le temps pour le train :
Et pour ceux qui sont encore plus pressés il y a la version de The Box Tops qui est très cool
Jour 24: Chimère:
Pour ma part je vais opter pour un autre mélange plus classique mais onirique :
D'ailleurs, pour la petite infos de l'histoire oubliée, les chevaux ont perdu au poker contre les Narvals bref...
Jour 25: Radiance:
Pas facile Radiance... Je vous conseille le clip en entier si jamais
Jour 26: Maladie:
En tout cas pour le thème du jour, je vous transporte aussi vers une autre époque :
Jour 27: Mécanicien:
Et pour toutes ces machines, il faut bien un outil :
Jour 28: Oracle:
Les oracles et le destin, thème intrinsèque dans les contes et mythologies alors :
Et pour la petite blague. Je ne connais pas (de mémoire) d'histoire d'Oracle ayant menti. Il y en a qu'on ne croit pas, certes mais aucun qui ne mente. Donc pouvons nous faire la réciprocité que : quelq'un qui ne ment jamais est un oracle ? Et, dans ce cas, cela voudrait dire que les hanches de Shakira sont des oracles car :
Jour 29: Ruine:
Bonjour bonjour ! Alors, sur le thème "ruines" il y existe une flopée de titres musicaux et principalement lorsqu'on se rapproche de la pop-culture au sens large avec les jeux vidéos, les séries et les films. Alors j'en ai juste sélectionné un parce que Giorgio Moroder
Pour pousser le thème plus loin, il y a une chanson que j'apprécie par son écriture :
Il s'agit de deux textes qui s'opposent et se répondent sur une même mélodie. L'écoute n'est pas évidente, je l'admets mais je trouve que l'ensemble colle bien au thème.
Jour 30: Voile:
Et puisqu'il faut bien lever le voile sur un sujet : La version de Mac Miller est très sympa aussi
Et pour la petite blague du jour :
Jour 31: Horreur:
Pour ma part, je voulais vous partager un groupe sud-africain "Die Antwoord" qui a opté pour un style underground glauque et malsain. Ils ont fait une percée fulgurante en 2009 mais en faisant mes recherches je me suis rappelé qu'ils avaient un procès au cul et j'ai voulu savoir quel genre mais en fait c'est plutôt quels genres. Parce que agressions homophobes, sexuelles et aussi maltraitance sur enfants... Bref, je crois qu'on est dans le thème. Mais comme je peux pas rester sans rien vous donner, je vous partagerai juste la musique d'un film que j'ai beaucoup aimé (même s'il n'est pas exceptionnel dans son scénario) car il joue sur les silences plutôt que les jumpscares :
Sureya Nebh
Sureya Nebh
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115 19 20
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
Sureya Nebh
115 19 20
Sureya Nebh
Re: ANIMATION // REPLICTOBER• Dim 3 Nov - 1:23
Galerie de Job:
Jour 18: Faille:
Pour la faille, j'ai décidé de prendre ma première idée. C'est la chanson "Anxiété" de Pomme issue de son album Les failles. On pourrait répliquer qu'il y a un "s" et un "les", qui vont d'ailleurs bien ensemble, les deux terminant par un "s" et de ce lien fusionnel tire un accord. C'est amusant cette idée parce que "les failles", toujours avec un s, évoque plutôt l'opposé notamment à travers le morceau cité précédemment qui en est également l'ouverture. On pourrait ajouter que le terme de morceau d'ouverture est peu à propos également, puisque d'ouverture, il n'est pas réellement question, c'est même plutôt le contraire, mais vous avez l'habitude maintenant de ce revirement quelque peu frustrant, il faut bien l'admettre. Enfin, on peut considérer que c'est l'opposé si on prend le terme "ouverture" comme "ouvert" vers l'autre. Au premier degré, il s'agit pourtant bien d'une ouverture puisque selon le cnrtl, j'aime bien le cnrtl, une faille, ou des failles, c'est une cassure, une fente, bref un truc plutôt ouvert quoi. C'est aussi un voile féminin apparemment. Le cnrtl est vraiment un espace qui lui propose une ouverture au sens figurée du terme. Mais bon, on s'éloigne et finalement, je n'évoque ni l'album "Les failles" ni la chanson "anxiété". Je devrais mettre entre italique le titre "Les failles" mais je ne sais pas comment faire sur discord, alors par faiblesse, c'est un mot important celui-ci par ailleurs pour la suite, il aurait été intéressant que je le souligne ou le mette en italique justement, mais bon tant pis, alors par faiblesse donc, quel effet d'insistance !, je le place entre guillemets comme le titre de la chanson. Pourtant l'album n'évoque pas non plus le fait de mettre les choses entre guillemets. Les guillemets mettent en valeur alors que le titre "anxiété" à l'instar de l'album, parle justement de ce "qu'on ne voit pas", de ce qui fait mal et de ce qu'on l'on essaie de remplir, notamment avec des mots vides qui s'alignent et s'alignent ...
Jour 19: Érudit:
Dans le roman *les particules élémentaires * - je maîtrise désormais l'italique, c'est chouette quand même, un premier pas peut-être sur la voie de l'érudition de ce champ étroitement circonscrit du numérique qu'est le traitement de texte, merci Gharr - de Michel Houellebecq - son nom est vraiment stressant à écrire, tellement de lettres sur lesquelles il serait aisé de trébucher. J'avais un professeur qui disait que son nom d'artiste venait de l'expression clouer le bec. A l'époque déjà, je trouvais que c'était une idée conne mais bon passons - l'un des deux personnages principaux est un scientifique du nom de Michel - ça c'est facile- Djerzinski - je pourrais commenter mais je me dis qu'il y a un biais sans doute un peu raciste à me plaindre dès qu'un nom, prénom me semble peu familier - j'aime bien ce personnage parce qu'il est gris comme tous les personnages de ce romancier, mais ici il y a dans sa grisaille, déjà des explications, il ne s'est jamais remis de la mort de sa grand-mère seule présence aimante de son enfance, et qu'ensuite son absence de sentiment amoureux n'empêche pas une sincère compassion pour les autres, sentiment qu'il développe notamment au fil de ses recherches d'une complexité absolue en physique et en biologie pour tenter de cerner le monde - A titre personnel, je ne comprends pas grand chose à ces domaines, mais j'aime bien les gens qui recherchent l'absolu, qu'importe la modalité qu'ils emploient, la finalité étant presque toujours une dissolution complète d'eux-mêmes dans l'espace de leur passion - A un moment du bouquin, plutôt vers la fin, Michel renoue avec sa camarade de jeunesse, Anabelle - je crois qu'il y a plutôt deux "n", il doit bien exister une science qui traite de l'écriture des noms, la pseudologie, un truc du genre - et malgré toute la tendresse qu'il a pour elle, ça ne marche pas comme si l'érudit comprenait le monde à un tel point, qu'il n'en faisait plus vraiment partie, coquille froide plutôt que cœur chaud.Cliquez ici
Jour 20: Mutant:
Bon aujourd'hui, le mutant. Ok. C'est pas forcément ce qui m'intéresse le plus. Je ne suis pas trop SF et si on prend le mot d'un point de vue plus réaliste, eh bien, je ne suis pas plus avancé car la biologie n'est pas non plus un domaine qui m'est familier. Je suis donc allé consulter le site du CNRTL, - j'ai toujours un doute sur l'ordre des lettres, il faudra quand même que je regarde ce qu'elles signifient, ce sera plus commode pour retenir le sigle, mais sigle, par ailleurs, est-il le terme adéquat ou suis-je victime d'un rapport de confusion en employant un terme à la place d'un autre, pensant, au pire, commettre un simple léger décalage de quasi synonymie, mais je m'égare - bon le CNRTL aide un peu. Déjà ça parle de mouche dans l'exemple donné et donc pourquoi pas parlé de, *dégaine l'italique*, *La Mouche * de David Cronenberg, mais bon je ne l'ai pas vu donc on va éviter. En poussant un peu plus loin la réflexion, un roman m'est venu à l'esprit, et fait fort commode, celui-ci je l'ai lu, et il n'y a pas longtemps en plus. J'aurais pu d'ailleurs parler de l'adaption ciné, mais même si je l'aimais plus jeune, genre beaucoup, eh bien il faut bien reconnaitre qu'elle est bien moins intéressante que le livre, ce qui est certes pédant, mais encore une fois indéniable. Il s'agit de* Je suis une légende* de Richard Matheson. Bon, ça parle d'un gars qui doit survivre face à des vampires, mais en fait, c'est pas vraiment des vampires. Ce qui est chouette, c'est que le héros est beaucoup plus cabossé que Will Smith dans le film de 2007. Il est même pas du tout me too, ce qui tombe bien car il va se faire plus ou moins cancel la gueule. Pour résumer rapidement et ne pas trop spoilier, disons que la thèse du roman peut être résumée par cette citation de Kyle adressée à Cartman dans South Park : "Imbécile, s’ils sont plus nombreux que toi, alors tu es la minorité !". Tiens, je viens de voir que CNRTL, c'est Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales.
Jour 21: Relique:
Quand j'étais petit, je voulais le jeu Jak II : Hors-la-loi. Pas le I, non. Oui, ç'aurait été plus logique mais j'agissais par mimétisme avec mes cousins et celui auquel ils jouaient, c'était le II. J'avais fini par l'avoir, et avec du recul, ç'aurait été plus simple de se le prêter. Enfin. Jak II, c'est un jeu de plateforme, enfin c'en était surtout un à l'époque du I, mais bon à l'époque, je n'avais pas joué au I, et ne savait pas non plus ce qu'était un jeu de plateforme. Evitons donc de tenter de le qualifier, ce n'est pas l'objet d'aujourd'hui, aujourd'hui, c'est le terme "relique". Petite pause CNRTL, on se fait confiance, on y va, comme ça en aveugle. Dans Jak II, on tire sur des trucs, des gens la plupart du temps, mais ce sont des fascistes ou des extraterrestres trafiquants d'armes alors que nos amis ont des dreads donc ça va - bon après, ça ne va pas tant que ça, les extraterrestres trafiquants d'armes ont aussi des dreads mais bon - mais on cherche aussi des` orbes précurseurs ` - j'ai mis un effet parce que c'est le point important - ce sont des reliques d'un peuple ancien. Ils ne sont pas évidents à dénicher, et certains niveaux ne permettent pas de retour en arrière, donc si on en rate un, eh bien, il faut recommencer. Cette panique du - si pas vu, c'est fichu - apparait d'une manière sadique dès le premier niveau. Il ne faut pas donc pas se tromper et être efficace. Ni mes cousins, ni moi, n'avions internet à cette époque. Il était donc délicat de connaitre le nombre d'orbes à trouver dans ce premier niveau rétif aux retours en arrière. Il fallait donc essayer. Un premier en avait trouvé cinq. Le deuxième en trouva sept. Sept, c'était un bon chiffre. Précieux, symbolique, propre sur lui. Mais marquait-il vraiment la limite ? Relancer la partie, encore et encore. Refaire le premier niveau en boucle. Ce pilier, cette dalle derrière le siège, jusqu'à à avoir épuiser le dernier emplacement possible ... Jusqu'à pouvoir dire : huit, c'était huit.
Jour 22: Soldat:
Bon, "soldat" aujourd'hui. Pour le coup, les œuvres sont nombreuses. Je ne vais pas prendre la plus évidente pour autant - l'évidence, c'est quand même très relatif - mais évoquer mon roman favori, tout en restant en principe dans les clous du sujet - ce qui ne parait pas très compliqué par ailleurs tant l'ouverture semble dominer au sein de la jeune nation replicare, mais ne disgressons pas, j'aurai tout le temps j'imagine de démontrer toute la partie de ma personnalité obséquieuse plus tard - donc aujourd'hui, je vais écrire sur *Aurélien * de Louis Aragon. Pourquoi est-ce mon roman favori ? Parce qu'au fond dans toute oeuvre, j'en ai toujours cherché une, qu'importe le médium, "qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse" dirait le dandy - et non le brandy, le brandy ne parle pas mais accompagne le dandy- qui soit magnifique à tout instant. Bon, eh bien, c'est le cas ici. Michel Audiard disait que les histoires de d'Aragon sont ennuyantes, ou du moins ne l'intéressait pas - il était poli ce dialoguiste de génie - mais que le style, le style quoi ! Alors si je ne suis pas d'accord sur l'histoire, que j'aime beaucoup, il faut reconnaitre en effet que c'est surtout la beauté de l'écriture qui impressionne. Au hasard, la première qu'on trouve lorsqu'on tape "citations Aurélien" : "Il frotte la paume de sa main et s'étonne. Une brûlure. Une présence. Une absence. Les deux à la fois. Une chanson.", ça claque ou ça claque pas ? ça claque, je n'en démorderai pas, ce n'est pas la peine d'essayer. Mais le truc, ce n'est pas que ça claque. C'est pas si compliqué de faire claquer une phrase. Le truc, c'est que ce roman, il claque pendant 700 pages, et ça, ça, c'est du style. Bon sinon pourquoi le soldat ? Aurélien passait son service militaire juste avant 1914, donc bim guerre, puis en attendant la démobilisation, eh bien lorsqu'il revient à Paris, il a perdu toute sa jeunesse et sentira donc tout le reste de sa vie, un écart irrattrapable avec le reste du monde.
Jour 23: Chemin de fer:
J'aime bien le train. Je le prends régulièrement et au niveau des fictions, je trouve que c'est un motif inspirant. J'ai hésité d'ailleurs. Le train, c'est la magie du Poudlard express, la beauté routinière du métro de Persona 5, le signe de la fin d'une ère dans *Il était une fois dans l'ouest *, l'une des cicatrices des récits concentrationnaires notamment dans *Si c'est un homme *, un cadre formidable dans *Le crime de l'Orient Express,* un lieu de survie dans *Dernier train pour Busan *, un lieu de réflexion existentiel dans *La Modification * ou encore la transcription la plus belle du mystère du voyage dans *La prose du transsibérien *, surtout la version illustrée par Sonia Delaunay ... Bon du coup, je ne sais toujours pas quoi prendre. Allez, *La modification *de Michel Butor, parce que tout se passe dans un train, d'ailleurs l'illustration sur la couverture, ce sont des rails -c'est cool mais j'aime bien la couverture toute blanche habituelle des bouquins de Minuit aussi- Bon pourquoi c'est cool donc ! Déjà, il y a le système de narration avec "vous". Alors je sais qu'aujourd'hui, c'est pas forcément dingue surtout que c'est plutôt commun dans l'écriture forum, mais à l'époque, ça ne l'est pas du tout, on est dans les expérimentations d'écriture d'un groupe d'écrivains pratiquant ce qu'ils nommeront "le nouveau roman". En gros ça donne ça : "Vous avez mis le pied gauche sur la rainure de cuivre, et de votre épaule droite vous essayez en vain de pousser un peu plus le panneau coulissant." le roman commence littéralement par l'entrée dans le train, comme quoi, j'ai bien choisi. L'histoire est chouette aussi parce que finalement statique et en plein mouvement en même temps. C'est-à-dire que le personnage va hésiter durant tout le voyage, sans se lever, sur la grande question : doit-il descendre une fois arrivée pour rejoindre sa maitresse ou remonter dans le train inverse pour retrouver sa femme ? (il réfléchit pendant 300 pages mais promis, c'est cool)
Jour 24: Chimère:
Chimère, alors qu'est-ce qui me vient à l'esprit ... Hum ... La bestiole que bat Bélérofon, bélérophon, béllérophan, belrofon, enfin le mec qui chevauche Pégase. Pas dans Saint Seiya mais dans le mythe. D'ailleurs, il n'y a pas de chevalier de la chimère dans Saint Seiya, enfin peut-être, ou alors seulement dans les fillers ... Sinon oui, il y a la scène traumatisante de FMA. Mais voyons Job, tu ne vas pas évoquer un manga quand même, qu'en penserait Ségolène ? - D'ailleurs, elle est jugée de manière très injuste par rapport à cette question, puisque c'est quand même surtout TF1 qui était dans l'abus (mais en même temps, elle a participé à la cession des autoroutes au privé donc qu'elle aille quand même se faire cuire le cul, Ségolène ton blason ne sera pas redoré ici !) - Bon sinon il y a un poème de Baudelaire et un bouquin de Nerval je crois ... Je ne maitrise pas bien hum ... Bon le CNRTL, ok, chimère, ça peut être un gros poisson aussi ... Nickel. Je vais donc parler de *Moby Dick * d'Herman, Hermann ? Melville. Ismaël s'engage comme marin sur le baleinier d'un capitaine nommé Achab - malgré son nom plus proche d'un flic que d'un zadiste - où il rencontre plein de personnages sympas et où ça disserte beaucoup sur de nombreux sujets. Bon le fond de l'histoire, c'est qu'Achab il veut buter une baleine blanche nommé Moby Dick et ça l'obsède de plus en plus. Au point de sombrer de ^plus en plus dans la démence ... Comme si flinguer la massive poiscaille, c'était remporter une victoire contre le mal absolu, sans remarquer que c'est lui même qui se satanise à vitesse grand V ! D'une certaine façon, Moby Dick au-delà d'être un gros poisson, devient donc une créature composite formée des multiples fantasmes qu'Achab et une partie de l'équipage projettent sur sa large surface de peau blanche ... A quoi aboutit cette quête, cette descente aux enfers .... Chimériques ! Eh bien, vous faites comme tout le monde, vous lisez les 1000 pages ou vous allez sur wikipédia.
Jour 25: Radiance:
Bon, je ne suis même pas sûr de savoir ce que veut dire le mot du jour ... Ah si je veux jouer au con, c'est une marque d'assurance d'après google. Bon, il y a un lien avec les radiations ... Hum ... Terme d'astronomie ... Employé par les impressionnistes - ah ça fait chic ça - "Quotient du flux lumineux que rayonne une surface émettrice par l'aire de cette surface, s'exprimant en lux et phots" mdr, oh, je suis con moi, c'est quoi ces termes là ! - On va partir du principe que ça veut plus ou moins dire lumière, hein- rah, j'ai missclik et le message est envoyé avant qu'il ne soit terminé ! Brrr, vite, je dois taper encore plus vite !Ok, je vais évoquer aujourd'hui le manga - oui, bon la sous-culture, je sais, en plus je donne de la radiance au softpower de ces tueurs de baleine que sont les japonais, mais bon, en tout grand homme subsiste un weeb, que voulez-vous ? De Gaulle lui-même ne kiffait-il pas Astroboy ? Non ? Si, allez pour le bonheur de ma transition, on va dire que si. Je vais écire sur *Pluto* de Naoki Urasawa, le Dickens japonais - oui, en France quand on trouve un mec stylé mais qu'il pratique un art de gosse, on l'élève par un surnom teubé - c'est une adaptation libre d'un arc narratif du manga ... *Astroboy *! où l'on suit différents robots essyant de comprendre les tenants et les aboutissants d'un complot mondial. Il y a notamment un personnage qui se nomme Epsilon et qui manipule les rayons lumineux. Malgré sa puissance non négociable, ce brave Epsilon a renoncé au combat et s'occupe d'orphelins. Il est trop beau, gentil et chou et c'est mon perso préféré. Bon sinon lisez ce manga, ou regardez l'adaptation Netflix, c'est un thriller politique très bien foutu avec un peu de SF (les robots), de shonen (quelques combats), de branlettes existentialistes (le kafka japonais), de ,complots (les I.A vont-elles nous grand remplacer / les riches contrôlent-ils le monde en secret ?), de grandes questions linguistiques (le robot allemand a-t-il un accent ?)
Jour 26: Maladie:
La maladie pour reprendre le substantif employé par le chef, et bien que j'en comprenne pas le sens employé dans ce contexte -je peux émettre des suppositions quand même et j'ai même trouvé une réponse, non pas sur le CNRTL, mais sur jeuvidéo.com-apparemment ça veut dire truc de ouf, ce qui fait que ça convient à l'idée à laquelle je souhaitais aboutir plus haut - en fait suite à cet intermède, j'ai compris le sens, donc oui, la maladie, c'est poulet, car je suis mal dans ma peau depuis l'enfance et donc j'adore ce qui se rapport à la mort, à la dépression, en bref à la joyeuse gaudriole. Ce qui est cool en plus avec la maladie, c'est que c'est un thème porteur dans l'art - ah ah les artistes, cette bande de fragiles syphilitiques et suicidaires lol - j'aime bien par exemples les nuances choisies pour l'agonie du Christ dans les millions de peintures existantes à ce sujet, il y en a pour tous les goûts, mention spéciale pour le rendu des côtes saillantes en ombres violettes ! C'est un moteur de pathos aussi dans les films et séries ! *Grey's Anatomy *bordel, bon ok le succès repose sur le cul, mais quand même, Denny Duquette, si vous avez pas la ref tant pis pour vous ! Bon je viens de citer une série états-unienne - oui je dis états-uniens qu'est-ce que vous allez faire ?! - Je dois donc rééquilibrer les compteurs en écrivant sur* Illusions perdues* de Balzac. Ce n'est globalement pas joyeux et on pourrait dire que le héros Lucien, souffre de la maladie du parisianisme, celle qui touche les provinciaux voulant faire fortune dans la capitale et qui y pète simplement un gros câble. Mais comme je veux être dans le thème à fond, je vais me concentrer sur la respiration qu'incarne Coralie au centre du livre. Certes, la maladie finit par l'emporter mais son amour pour Lucien, lui, reste et n'a rien d'illusoire. Les histoires de maladies ont ceci de précieux que c'est bien souvent dans la toile de leurs miasmes que se nichent les germes des beautés les plus sérieuses.
Jour 27: Mécanicien:
J'ai parlé précédemment de mon livre favori et maintenant, le thème du jour, signe du destin, ou plutôt des organisateurs, mais gardons l'idée de destin qui donne quelque chose, un je-ne-sais-quoi plus grandiloquent - il est toutefois important de noter qu'en rien le propos précédent disqualifie la grandiloquence des organisateurs, simplement j'apprécie l'idée de donner à ce texte un je-ne-sais-quoi de mystique (j'aime l'expression je-ne-sais-quoi, mais j'ai un doute sur le fait d'employer les tirets, je vais vérifier ... Bon apparemment, c'est comme on veut, le Mc Donald des expressions quoi), je ne dis pas non plus que les organisateurs sont dépourvus de mystique, mais de là à être comparable au destin, allez, je mets une majuscule, au Destin, non quand même quoi, enfin d'une certaine manière, ils ont indéniablement un pouvoir sur l'alpha et l'oméga de ce discord et du forum, mais euh, non mais Destin quoi ... Bon remarque s'ils souhaitent être qualifiés à la hauteur du terme "Destin", je n'y vois aucun problème, et présente même mes excuses plates- donc j'écrivais le thème du jour me permet cette fois d'abord mon film préféré ! J'ai commencé à vraiment adorer le cinéma, il y a longtemps mais deux films dans mon adolescence m'ont définitivement convaincu : *Kill Bill *(je compte les deux parties comme un film malgré les différences) et *Drive*. Je pourrais sans doute filouter pour parler de *Kill Bill * mais je vais être honnête et plutôt évoquer *Drive * de Nicolas Winding Refn (Nicolasse Vindingue Réfeune). On suit le conducteur, oui il n'a pas de nom parce qu'il n'a pas de passé non plus, sinon un chaos que l'on devine et qu'il porte encore sur son visage impassible. Il est mécanicien le jour, pilote de voiture de circuit le jour aussi et chauffeur pour des truands le soir. Un jour, il rencontre Irène et ... Une vie paisible sera-t-elle possible pour celui qui où qu'il aille, traîne avec lui le poids de sa stature d'antihéros ? Et pis y a Ryan Gosling putain.
Jour 28: Oracle:
Bon à ce que j'ai pu lire, on m'accable, on me conspue, en bref : on m'enquiquine ! Mes définitions seraient erratiques et pauvres ! Ok,no soucaille père peinard ! Jamie chauffe le CNRTL ! Le mot oracle donc. Cela désigne la réponse d'une divinité à une personne, le religieux qui reçoit et transmet la fameuse réponse, le lieu où tout ce joyeux tintamarre a lieu et .... Et pas de suite mon gars, mes gars, mes meufs, mes non-binaires ! Parce que l'oracle, ce n'est pas l'oiseau tout cuit ! Pas plus le uber eat que tu commandes sans t'inquiéter parce que le beau-père que tu détestes a enregistré sa CB sur ton tel ! Que nenni ! L'oracle, il te résiste, tel ce crabe que tu dois décortiquer avant de pouvoir le déguster au travers de bruits de succions effroyables - ça me dégoute, je déteste les crabes, leur aspect, leur odeur, la façon dont les gens les bouffent ... -Bon, l'oracle donc c'est une réponse qui n'a d'évident que le fait que ça va te tomber sec sur le coin de la gueule-Pire même que ce début de sms que tu reçois à 22h30 vaguement imbibé au milieu de tes potes et qui s'intitule "faut qu'on parle" - On va donc parler d'un mec qui en a bien chié, Oedipe ! Alors, il y a 14 000 histoires -c'est précis, c'est factuel- parce que le Oedipe, il fait partie de la famille des Labdacides qui suite à une connerie d'un ancêtre lointain, prend cher de père en fille et fils. Dans l'une des adaptations, *Oedipe Roi *du réalisateur Pier Paolo Pasolini, la scène de l'oracle et surtout ce qui suit est vraiment très perturbante. Oedipe y apprend of course qu'il va niquer son père et sa mère mais façon deux salles deux ambiances. Mais non seulement l'oracle a une dégaine de ouf mais en plus la scène suivante montre un Oedipe qui court dans tous les sens avec une musique horrible le tout dans un décor labyrinthique et rendu encore plus confus par les cuts qui se succèdent. A mon sens, ça transmet assez bien l'idée de l'oracle, une vérité si absolue qu'on ne peut l'appréhender.
Jour 29: Ruine:
Bon, sur le thème de la ruine, le plus simple serait d'évoquer l'histoire de Job. Mais bon, doit-on nécessairement choisir la simplicité ? Si cela pouvait m'amener l'amour, j'y songerais évidemment, mais est-ce vraiment sérieux de le penser, lorsque pour ma peine d'y hier, je n'ai reçu pour toute tendresse, qu'un jeu de mots d'une qualité discutable ! Alors tant pis, rejetons les lauriers illusoires de la gloire et penchons-nous sur le thème austère du "songe de la ruine" fort présent à la Renaissance. Ah oui faut que je définisse, c'est vrai. Bon, la ruine, c'est quand ça se pète la gueule, que ce soit le bâtiment du vieux Netto au fond du village, la bedaine du boulanger ou le goût pour la tolérance de tatie (oui si tonton est raciste, tatie peut totalement l'être aussi). Les rêveries sur la ruine, telles qu'on les trouve par exemple dans les recueils poétiques de Joachim Du Bellay (qu'on prononce apparemment comme machin lol), c'est cette angoisse de la fin qui mène à penser que rien n'est éternel, et qu'à la durée des empires, répond invariablement une métaphysique de l'instabilité. Pour beaucoup, ça se matérialise face à Rome qui pour les touristes de l'époque est méchamment claqué au sol (un peu le délire des asiatiques qui découvrent Paris). En vient donc cette idée profonde que l'on peut résumer faussement et connement ainsi : "Hé frère, avant c'était stylé mais là pue la merde. Cela me fait donc penser que toute société est vouée à puer la merde à un moment" ou plus joliment par un vers de Du Bellay, le seul, le vrai, l'homme d'Anjou : "Je n’ai jamais pensé que ceste voute ronde Couvrist rien de constant : mais je veux desormais, Je veux, mon cher Morel, croire plus que jamais, Que dessous ce grand Tout rien ferme ne se fonde," ce qui pèse un peu plus tout de même.
Jour 30: Voile:
Et voilà c'est fini comme le chanterait Jean-Louis Aubert, mais à tort, car pour reprendre le titre du douzième tome des aventures des orphelins Baudelaire, ce n'est pas encore fini, ce texte est le pénultième ! - oh quel vocabulaire ! J'en suis toute ébaubie, quel sapio charmeur ! - Bon, retroussons nos manches, il reste un peu de pain sur la planche, ce serait dommage qu'aujourd'hui je ... flanche ! - Ronsard 2024, tu connais- Bon, le voile, terme polysémique et polémique par excellence ! C'est un tissu qui recouvre, parfois ton vilain faciès, parfois une fenêtre, tantôt religieux, tantôt pas, c'est au figuré tout ce qui cache, altère la vision ... Anatomiquement c'est une cloison qui sépare ...Allez, on s'emmerde, on roule sa tête dans la boîte à exemple et on mitraille les refs ! Bon, comme je l'ai dit hier, je pourrais parler de Zemmour, mais bon j'ai jamais lu - A noter toutefois que dû à mes raleries récurrentes, j'ai hérité sur un autre disc du surnom "Eric Zammour" - je vais plutôt parler d'Harry Potter. Dans le tome 5, lorsque Sirius meurt - Oui, bon, on peut le dire hein, vous allez faire quoi ! - On nous dit dans le bouquin qu'il passe à travers un voile, sans que l'on retrouve son corps. Harry essaie désespèrement de voir derrière le voile justement mais n'y parvint pas et s'obstine jusquà la fin du tome à chercher un moyen de parler à son parrain, et j'ai lui ça jeune, et je crois que c'est le premier moment qui m'a fait chialer en lisant (sans doute à peu près à la même époque que ma découverte de *Sans Famille*). Bon un peu plus gai ! A la fac, j'étais allé voir une représention du *Cid *de Corneille et je l'avais donc lu juste avant. On oublie souvent le personnage de l'infante (princesse), elle-aussi amoureuse de Rodrigue. L'actrice la jouait superbement et notamment la danse qu'elle effectuait avec son voile, était formidable, illustrant d'une manière terrible, ce masque qu'elle devait porter en toute circonstance de par son statut.
Jour 31: Horreur:
Bon l'horreur. Je ne suis pas très à l'aise pour le coup. C'est dommage parce que c'est le final en plus. C'est le moment d'être bon, c'est le moment d'être zizou dans les arrêts de jeu ou Kaaris dans Kalash. Le truc, c'est que j'ai longtemps été une flipette. J'avais peur en primaire face aux bouquins chair de poule - je mets au pluriel alors que je n'en ai lu qu'un et sans doute l'un des moins effrayants. D'ailleurs, c'est complètement tombé dans l'oubli mais à l'époque, il y avait aussi une série qui me terrifiait de ouf. D'ailleurs il y avait aussi un dessin-animé qui me terrifiait mais j'ai oublié le titre. Le clou dans le cercueil de mon courage, c'est certainement Chucky qui m'a traumatisé un bon bout de temps. Bon, avançons un peu, j'ai grandi, la définition maintenant : "Violent saisissement d'effroi accompagné d'un recul physique ou mental, devant une chose hideuse, affreuse." bon il y a d'autres points mais celui-ci est déjà pas mal. Il y a quelques années ce "violent saisissement d'effroi" je l'ai eu face à la bande-annonce du film d'horreur espagnol *L'orphelinat * de Juan Antonia Bayona. Brrr, la gueule du gamin bordel. J'ai même pas osé voir le film. Pourtant, j'ai commencé à en regarder quelques-uns depuis et ça va un peu mieux mais parfois, il y a des rechutes. Genre, l'autre fois, il y a genre un mois, je regardais une vidéo à la con intitulé "l'icerberg des films les plus malsains", eh bien, j'ai dû rater la vidéo sur la fin, je commençais à avoir sacrèment la gerbe - littéralement de la répulsion pour le coup - parce que putain, les gens sont effrayants, oui ça reste de la fiction, mais quand même quoi ... Après comme le disait une ex, il faut sans doute mieux que ce genre de personne, genre Stephen King, et des gens bien plus tarés aussi, possède un exécutoire créatif. C'est mieux pour tout le monde oui ... Bon, c'est le 31 octobre mais les téléfilms de Noël sont déjà en place, j'y retourne moi ! Bel halloween à tous !
Sureya Nebh
Sureya Nebh
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115 19 20
Sureya Nebh
Sureya Nebh
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115 19 20
Sureya Nebh
Re: ANIMATION // REPLICTOBER• Dim 3 Nov - 1:32
Galerie de Mignonne:
Jour 1: Aventurier:
N'avez-vous jamais rêvé d'être des aventuriers ? D'explorer des contrées lointaines qui vous sortiraient de la mélasse bien déprimante qui vous sert de vie, coincée dans un tragique métro-boulot-dodo d'une quotidienneté médiocre ; de vivre des émotions de folie , histoire de vous souvenir que derrière vos cernes violacées ou ombragées réside encore et toujours un être vivant ; de decouvrir de nouveaux horizons, d élargir votre conception du monde... Et surtout : faire de nouvelles rencontres. Pour le meilleur comme pour le pire. Un peu de piment dans le no-man-land qu'est votre vie, ne serait-ce pas trop demander ?
"Oui" me répondez-vous ! "Mais comment ?" C'est vrai qu'à bien vous regarder, vous n'avez clairement pas la tête de l'emploi... Qu'à cela ne tienne ! Il faut bien commencer quelque part ! Si vous n'êtes pas prêt à laisser tomber votre routine peignoir-plateau tv-café, ni à quitter la chaleur réconfortante de votre lit et encore moins à vous passer de votre petite douche journalière, rien n'est perdu pour autant ! Non, rien. Tout ce qu'il vous faut, c est un modèle à suivre. Quelqu'un pour vous faire vibrer, mettre des paillettes dans votre vie et illuminer votre âme au point d'en oublier qui vous êtes. Bref, quelqu'un pour vous faire oublier votre triste réalité et vous emmener vers d'autres cieux - au moins dans votre tête. Grand bien vous fasse : j ai exactement la personne qu il vous faut !
Une jeune fille, bénie de sagesse et dont le courage n'est plus à prouver. On louera sa bonté sur bien des générations et sa bonne humeur vous servira d'anti depresseur. Vous pouvez le faire, VOUS LE FAITES. Elle est encourageante en plus de cela, cette petite !
En la suivant dans ses quêtes merveilleuses et épiques, vous découvrirez le pouvoir de l'amitié. Et quels amis vous vous ferez... si vous saviez ! Car votre modèle d'aventure donne une profondeur abyssale à ce grand mot qu'est l'amitié. Ses amis de galère l accompagnent partout, où qu elle soit et quoiqu'elle risque. Toujours là pour la sortir d'une impasse ou d'une misère, ils veillent sur elle et la populasse comme une mère douce et tendre veillerait sur son nouveau née. (Et sans le congeler)
Laissez-moi vous les présenter ! Vous ne pourrez bientôt plus vous en passer. 'Do, son plus fidèle compagnon, aime faire des entrées remarquées en se vantant. Il faut dire qu'il a de quoi être fier. Grâce à lui, vous ne manquerez jamais de rien. Il a tout sur lui, une vraie Marie Poppins. Il protège aussi leur plus vénérable ami : celui sur qui vous pourrez toujours compter. Le sens de l'orientation de celui-ci relève du genie, impossible de vous perdre en sa compagnie. Et puis, parce que jamais deux sans trois, comme on dit : vient le petit dernier. Il vous ressemble traits pour traits. Un vague cousin peut-être ? Ce qui est sûr, c'est qu'il est futé et vous posera les questions les plus aiguisées. Roi de la chaussure, avec lui, vous n'aurez plus jamais mal aux pieds ! Quoi ? C'est utile quand on voyage ! Roh... ne me dites pas que vous n êtes toujours pas convaincus ? Attendez, ce n'est pas terminé !
Cette adorable aventurière saura aussi vous transmettre tout son savoir avec passion et patience. C'est une excellente professeur à ses heures perdues. Avec elle, vous apprendrez à communiquer avec le monde entier mais surtout... à vous débarrasser des voleurs. La demoiselle en envoit tellement qu un simple regard et trois coups de pression bien menés suffisent à éloigner le plus rusé des bandits. Suivez ses pas, vous deviendrez un héro ou une héroïne mondialement reconnue. Ça ne vous suffit toujours pas ? Comme vous êtes rudes ! Approchez... laissez-moi vous en susurer plus encore. On raconte que la jeune aventurière aurait à sa botte une poignée d'étoiles prêtes à purifier les coeurs ombragés par la tristesse et la colère. Certains disent même qu'elle aurait été initiée à la magie... Ah. Là, tout de suite... ça vous intéresse hein ? Eh bien, chers amis, chères amies... voici venue votre première aventure. Allons-y, let's go, c est parti ! Il vous faut rencontrer cette jeune aventurière et ses amis. Vous allez les trouver, je sais que vous pouvez y arriver ! Où allez-vous ? En Amérique du sud. Où allez-vous ??? En Amérique du sud !!! Tout au bout du chemin... demandez Dora.
Jour 2: Champignon:
Jour 4: Désert:
Pour aujourd'hui, je vous partage le "desert breath", une oeuvre d'art dans la nature, à partir de la Nature (du land Art), en plein désert Égyptien. Je trouve le truc fabuleux, ça me rappelle les trous noirs. Et le fait que l'oeuvre tienne bon depuis 1997 est assez incroyable. (qui c est qui veut faire de l art dans le Désert de Dahikar maintenant ? ) Un petit article pour les intéressés : https://generationvoyage.fr/desert-breath-art-egypte/
Jour 5: Rituel:
Pour le thème du jour, je vous partage un extrait d'un de mes films préférés : Pratical Magic (les ensorceleuses, en français), basé sur une nouvelle d'Alice Hoffman. Sur le papier, il n a rien de vendeur : 2 soeurs sorcières, des galères de coeur, la nécessité de cacher leurs pouvoirs. On dirait le debut d'un vieux nanar à l'americaine ! C'est en réalité un film beaucoup plus profond qu il n'en a l'air. Le plot commence avec une trame simple mais qui marche bien : cette famille de sorcières subit une malédiction de génération en génération : l amour leur est interdit. Dès qu elles tombent amoureuses, le grand chanceux meurt d une manière ou d une autre. Dans l'extrait que je vous partage, l une des enfants de cette famille, connaissant la malédiction familiale, fait un rituel pour attirer à elle son homme idéal lorsqu elle sera adulte. Un homme si idéal qu'il ne peut exister. S'il n existe pas : aucun risque de coeur brisé. Personne pour mourir de l'avoir aimé.
Ce que j'adore dans ce film, c'est qu'il dépeint, tout en subtilité et sous couvert de science fiction, quelque chose de l'héritage transgénérationel qui peut se jouer entre femmes d une génération sur l'autre. La malédiction commence avec une sorcière trompée qui ne voulant plus jamais aimer condamne toute sa lignée à souffrir avec elle sans le savoir. Des siècles plus tard, chaque soeur doit se debrouiller avec cet héritage, à sa manière. C'est ensemble qu'elles finissent par trouver le courage de l'affronter. Au passage, on découvre différentes formes d'amour. Un film qui a de quoi vous laisser avec quelques réflexions philosophiques, en plus d'avoir un très bon casting. 🤭
Ma participation aujourd'hui concerne une créature un peu particulière qui pourrait frôler le petit monstre : le Blobfish. On en a souvent l'image de ce truc visqueux et moche qui nous fait nous demander "Ô pourquoi Nature as-tu créé cette chose ? Quel était ton plan ??". La triste réalité, c'est que le Blobfish ressemble d'ordinaire au poisson juste au dessus sur mon image. C'est un poisson des profondeurs qui ne s'en tire franchement pas mal en beauté si on le compare à certains de ses compatriotes. Son apparence monstrueusement connue est une mutilation infligée par les humains x/. Les pécheurs, lorsqu ils raclent les fonds marins, font remonter les espèces rapidement à la surface. Le hic, c'est qu'il y a une différence de pression énorme entre le fond et la surface... que le Blobfish ne supporte pas. Son apparence est donc le résultat des multiples blessures et sévices subit en un temps record lors de ce passage de pression trop rapide. De quoi nous faire réfléchir sur ce qui fait d'un monstre un monstre. X3
Jour 8: Diligence:
Allez, parce que j'adore les vieilles chansons comme ça, ça me donne envie de sautiller en pleine nature toute la journée xD. Et que c est beau l amour et le voyage .
Jour 9: Envoûtement:
Une petite chanson issue de l épisode musical de Buffy contre les vampires (parce que cette série ). "Under your spell" qui pour une fois donne un sens positif à l'envoûtement 🤭.
Je vous ai épargné la version française parce qu elle fait mal aux oreilles xD.
Jour 10: Cobaye:
Allons y dans le dessin animé alors ! Juste... un peu moins mignon Le générique de Cortex et Minus, deux pauvres rats de laboratoire qui à la suite de moultes expériences ont fini debile et génie du mal. Comme tous les rats de labo devraient le faire, ils essayent de conquérir le monde .
Jour 12: Steampunk:
Moi je vous propose du steampunk congelé avec le jeu Frostpunk que j'ai adoré (parce que je suis maso) et qui vous place en maître d'une ville à l aesthetic steampunk qui se développe autour d'un gros gros radiateur <:kpaeyes:> . Le radiateur il est très chouette, il réchauffe les miches et empêche tout le monde de finir en mister Freeze MAIS il consomme beaucoup de charbon <:smug:> . BEAUCOUP. Alors, arrive ce moment fatidique où vous commencez à remettre votre vie en question : tout le monde va mourir si on n'a pas assez de charbon pour affronter ce froid de plus en plus glacial...<:hesite:> mais on a plus assez de gens en forme pour aller travailler dans les mines gelées ... Qui on envoit mourir à la mine entre les enfants et les handicapés ? <:relax:> " Oui, vous ne vous verrez plus jamais pareil ensuite <:smug:> . Au délà de vous pousser dans vos retranchements moraux, le jeu offre un chouette système de gestion en prime et une ambiance bien prenant ~ (faut penser à jouer sous un plaid par contre, ça donne froid)
Jour 13: Abomination:
Pour le thème d'aujourd'hui, je vous présente le jeu Sea of Solitude, que vous connaissez peut-être déjà ? C'est un petit jeu qui vaut le détour si vous aimez les expériences narratives et émotionnelles ! On y incarne Kay, une jeune fille qui n’a pas l’air d’aller très bien compte tenue de son apparence de petite ombre. Celle-ci entreprend une véritable quête initiatique et existentielle au travers d’un voyage qui la confrontera aux plus affreuses des abominations : l’isolement, l’abandon, la dépression… soi-même. Voyageant à pieds ou en barque, il vous faudra traverser des milieux hostiles et affronter des ombres inquiétantes, en résolvant des énigmes pour avancer sur les eaux mouvementées de sa reconstruction intérieure. Sea of solitude est vraiment un jeu incroyable, le game play n’a rien d’extraordinaire mais l’histoire… wow, quelle claque.
Jour 14: Richesse:
« La richesse du monde n’est rien, Si ton cœur ne sait aimer. Car un cœur riche d’amour Est plus précieux que mille coffres remplis d’or. »
Rumi, extrait des Rubaiyat (quatrains) .
Jour 15: Nécropole:
Nécropole, ça me fait nécessairement penser à the Queen, l'unique, the choosen one : Buffy Summer, the vampire slayer (J aimerais pour toujours cette série et ce personnage .). Cette image est extrait d'un passage qui m avait bien fait rire à l époque, où Buffy se fait "psychanalyser" par un vampire qui l écoute raconter ses misères au cimetière . La scène est cocasse puisqu après son service rendu, les deux estiment qu il est temps de s'entre-tuer, comme le veut la convenance haha.
Je trouve que le personnage de Buffy est de l'un des meilleurs personnages de série. Complexe, ni bon ni mauvais, drôle et tragique à la fois, fort et fragile, exceptionnel et en même temps terriblement lambda. Le sort du monde repose sur elle, chaque année elle doit empêcher une nouvelle apocalypse d'avenir, les enfers veulent sa mort, elle a tout à perdre et sacrifier, y compris elle-même... mais elle reste toujours une femme comme les autres au fond. Avec ses histoires d amour, ses amitiés, ses rêves, sa famille. Ses idées et valeurs. (Très souvent menacés mais tout de même haha)
Bref, pas étonnant que le personnage soit étudié dans les universités et la série avec, depuis de nombreuses années 🤭.
Ça a un peu vieillit depuis mais je trouve que ça marche toujours aussi bien comme série <:kpalove:> .
Jour 16: Symbiose:
Aujourd'hui le thème se prête pour que je parle de deux de mes personnages (que tu connais bien Sury 🤭 (et puis, 1 et demi disons en fait puisque le second est joué par une amie, ça devient son personnage haha) : Ena et Hiro.
Ena et Hiro sont deux frères jumeaux, nés dans une famille qui ne les a toujours considérés comme des objets, leur objet : les heritiers d'une grosse entreprise d'high tech. Au delà de tout le préjudice subit à cause de cette objectivation parentale, de l impossibilité de grandir comme des gamins normaux du fait de leur planning d apprentissage de ministre, de leurs nombreux voyages et du trie selectif social mené par leurs parents pour leurs relations, ce qui pose véritablement soucis à Ena et Hiro, c'est eux-même. Leur relation. L'un ne peut exister sans l'autre, ils ne peuvent vivre séparés trop longtemps sans déprimer sévèrement/angoisser. Et même s ils sont adaptés au monde qui les entoure, ils ont leur propre monde, leur propre langage issu de l enfance, une connaissance flippante de l'un et l autre ainsi qu'une empathie prononcée l un envers l autre qui pourraient faire croire qu'un lien télépathique les unis. Ils sont l'Hina, une entité unique. Et desormais adolescents, ils commencent à essayer de s'individualiser, la réalité les y contraint aussi, ce qui est particulièrement difficile.
Ces personnages, je les ai créé avec l'effet symbiotique qui peut apparaitre chez certains jumeaux et qui me fascine un peu (beaucoup, j avoue xD). Celle-ci s explique en psychologie clinique par le fait que dans le ventre d'une mère, un bébé vit en symbiose avec sa mère.
Seulement, les jumeaux étant deux, cette symbiose mère/bébé se fait difficilement et vient fragiliser les prémisses nécessaires à la construction d'assises narcissiques plus tard. L’enfant unique, au début, a de la difficulté à sortir du processus de séparation-individuation et de se vivre comme sujet à part. Il y arrive progressivement au cours de son développement néanmoins, si tout se passe bien. Le soucis de certains jumeaux, c est qu avec ce lien fragilisé de base, ils vont avoir tendance à palier ces fragilités narcissiques en se construisant une identité similaire en s’interidentifiant, de facon complémentaire ou en rivalisant. Et à partir de là, le soucis devient qu'ils ont du mal à se considérer, psychiquement parlant, comme deux entités différentes, bien qu ils le savent rationnellement parlant. Chez certains, la vie et sa réalité viennent forcer le processus d invidualisation, au prix de pas mal de souffrance et d un deuil à faire de cet "un" symbiotique. Pour d autres, ça ne se fera jamais et les jumeaux vivront ensemble en symbiose pour toujours parce que faire autrement provoquerait l effondrement psychique de l un ou des deux. Et bien sûr, ce phenomène est souvent agravé par l entourage qui y participe x3. Ex: les parents qui habillent leurs jumeaux pareil toute leur vie et parte du principe que l un doit faire ce que l autre fait.
Dans le cas d Ena et Hiro, leurs parents ne font pas l effort de les différencier jusqu à ce qu'Hiro soit choisit pour être l héritier principal et comme ils les ont isolé enfants, ils les ont poussé à renforcer ce lien entre eux. X3.
Voilà, souhaitez leur bonne chance et moralité de l histoire : si vous avez des jumeaux un jour, ne les habillez pas pareil parce que c est mignon <:kpaeyes:>
Jour 17: Vaisseau:
Pour le thème du jour, je vous partage la bande annonce du film Passengers que j avais bien aimé. La bande annonce met en avant le gros budget mais ce qui m a plu dans ce film ce n est pas tant tout ce qui se passe en terme d action mais le plot et la relation qui en découle. Un homme qui se réveille 90 ans trop tôt dans un vaisseau, seul, et qui finit par réveiller quelqu'un d'autre parce que la solitude lui pèse trop. Les deux doivent vivre uniquement l'un avec l'autre, sachant qu ils n auront jamais leur vie promise x3.
Jour 18: Faille:
Alors, ahem... voilà à quoi ça m a fait penser "faille" <:kpaeyes:> . Y a des trucs qui restent en tête, même si on aimerait bien qu'elles nous laissent en paix. Retour dans le passé, mais pas le mieux du passé xD
Jour 19: Érudit:
<@215605907793510400> Et du coup, pour le thème d'aujourd'hui, je vous partage un ptit bout de débat que j'ai très souvent avec mes amis "philosophes" (issus d etudes de philo, prof de philo ou en cours d études de philo) : la différence entre intellectuel et érudit. Parce que pour beaucoup, ce sont des synonymes et dans le langage courant on fait n'importe quoi de l'un et de l'autre alors que pour moi, il y a une grande différence initiale entre les deux <:kpamonocle:1281984922956861451> .
L'erudit tout d abord, c'est celui qui a la connaissance. Plus exactement, c'est celui qui étudie pour atteindre un haut niveau de connaissances sur un domaine précis (parfois plusieurs). Le soucis que je soulève souvent (et c est sûrement ce qui déplaît à mes copains philosophes xD), c'est qu'on a tendance à confondre cette soif de connaissances avec de l'intellect et c est sûrement parce qu'on (et tout particulièrement en France) confond être inteligent et avoir des connaissances.
Venons en donc à l'intellectuel. Je sais qu'aujourd'hui n importe qui peut débarquer sur un plateau tv et se faire passer pour le plus grand intellectuel du monde parce qu il écrit des bouquins (c est d ailleurs le premier truc mis en avant sur wikipédia, qu un intellectuel est quelqu'un qui s exprime dans la sphère publique. Quelle tristesse) MAIS initialement, l'intellectuel n a pas besoin de venir jouer le paon sur un plateau. L'intellectuel, c est celui qui réfléchit. Intellectuel renvoit à l'intellect. Vous me direz : oui, m'enfin, tout le monde réfléchit. Certes, mais l'intellectuel le fait avec une profondeur particulière, il ne se satisfait jamais des reflexions de surface (en principe) et c est pour moi ce qui le caractèrise : il veut comprendre, dans les moindres recoins de ses questions. Sous tous les angles et tous les niveaux.
Et c est là que le debat commence 🤭. Parce qu'on me dit souvent qu'intellectuel et érudit c est pareil, que l'un ne vaut pas plus que l'autre dans le pire des cas eeet... je ne suis pas tout à fait d'accord.
L érudit peut avoir toute la connaissance du monde et ne rien savoir faire d'autre que de la répéter comme un perroquet, parce qu il peut manquer d intelligence pour en faire quelque chose. Il peut avoir la meilleure mémoire du monde, ça ne fait pas de lui quelqu'un d intelligent pour autant x3. Et il peut, parce qu'il a appris beaucoup, croire qu'il comprend tout ce qu il a appris sans que ce soit le cas, aussi.
L'intellectuel, au contraire, peut manquer de connaissances mais il saura faire preuve d'intelligence tout de même, de par son raisonnement et ses capacités d analyse et de création de pensées. Le peu de connaissances qu il aura, il saura en faire quelque chose : soit dans ses reflexions, soit en pratique.
Alors, l'ideal serait sûrement d être à la fois un intellectuel et un érudit, là c est le jackpot xD. Mais ça se rencontre assez rarement. Je me dis que ça demande de sacrées compétences cognitives en un sens. Pour un humain dôté de capacités cognitives standardes, apprendre beaucoup ou réfléchir beaucoup, à un moment, il faut choisir . Y'a pas assez de temps sur un journée /pan
C'est pour ça que les deux se complètent bien. L'un a les connaissances et l'autre la capacité de la refléchir et d en faire quelque chose. C'est donc dommage de les confondre <:hihi:1200617614632828948> Et clairement, si je devais choisir entre les deux, paumée sur une ile déserte... à moins de me considérer moi-même comme une intellectuelle, je choisirais d aller sur l'ile avec l'intellectuel . Il me servirait plus qu'une bibliothèque sur pattes (ouh que je suis mauvaise là <:hihi:1200617614632828948> , en plus, il peut servir si c est un érudit des plantes comestibles ou de la faune o/)
Je terminerai avec cette petite citation que j ai trouvé dans le dico en ligne "la langue française" parce que ça m a fait rire et c est gratuit /pan :
Un érudit est un paresseux qui passe son temps à étudier. Prenez garde à ses erreurs : elles sont plus dangereuses que ses lacunes. George Bernard Shaw — L'homme et le surhomme
Jour 20: Mutant:
<@215605907793510400> C'est un nouveau jour alors c est parti ! Lumière sur le manga/anime Hunter x Hunter et le meilleur de ses arcs, celui des : Kimera Ants, les fourmis chimères. A l'origine de cet arc fabuleux : une petite fourmie qui suite à une mutation génétique devient bien grande et est capable de se tenir sur deux pattes, ses deux autres pattes lui servant de bras. C'est sa majesté la reine des fourmis chimères. Elle a une petite particularité, pour se reproduire : il lui faut manger d autres espèces. Ainsi, ses enfants héritent génétiquement de certains caractères leurs permettants de mieux survivre. Le but de notre chère reine, en mère dévouée, est de créer l être parfait pour assurer la survie de son espèce. Elle se met donc à la recherche de la meilleure des bouffes pour pouvoir pondre le meilleur des rois fourmis, capable de survivre envers et contre tout. Il s avère qu en mangeant des humains, elle tape dans le bon arbre et renforce pas mal ses enfants. Plus encore en en mangeant qui maitrisent leur énergie spirituelle. Si bien qu un jour, elle finit par pondre son bébé ultime, un des meilleurs antagonistes de mangas : Meruem. Ultra-Puissant, ultra-intelligent, psychique ( et canibale, accessoirement). Il est fin prêt à conquérir le monde pour noyer son ennui, tout aussi sûprême que lui et qui le rend particulièrement cruel. (Bon, il partait mal en éventrant sa mère pour naître, mais bon. Ingrat !). Ce qui est intéressant avec son personnage, c est qu il nous est présenté comme THE big boss increvable, l ultime réplique des fourmis chimères, qui n a plus besoin d évoluer. Or, il s'avère qu'il va pouvoir encore évoluer, contre toute attente. Là où on l'attendait le moins.
Jour 21: Relique:
Du coup ! Ahem. Voilà euh pour le thème du jour ! Les petites reliques de la mort et le conte des 3 frères qui ont cherché à échapper à la mort, chacun à leur manière 🤭
Jour 22: Soldat:
Ma participation pour ce jour : J'ai un lien particulier avec cette chanson, une histoire d'amour, une histoire de rp, une histoire tout court. Elle m a toujours particulièrement touchée même sans ça. Par son aspect en plusieurs points problématiques pour ce qui est de la question de la guerre (j'aime pas trop la guerre et les excuses pour la faire ) mais qui, amenés de telle manière par les paroles ne peut que m'amener à comprendre et m'identifier dans un certain sens. Parce que l'amour, le vrai, est toujours un combat et qu'on serait prêt à presque tout pour le protéger x3. C'est le côté déchirant de cette chanson : l'amour, le sacrifice, la peur, le besoin d espoir et le désespoir de la guerre. D'un homme qui doit laisser une part de son humanité en dépassant cette limite qu aucun humain ne devrait jamais dépasser : celle d ôter la vie à un autre être humain. C'est aussi pour ça qu elle va bien avec le thème. Un soldat, pour moi, c est pas un rambo armé d une mitraillette, c est pas l'homme sur le terrain qui tire, c est l'homme à l'intérieur qui se combat lui-même. Effectivement, mieux vaut savoir pourquoi on se bat dans ces conditions x3.
Jour 23: Chemin de fer:
Parce que j ai une passion pour les rails et la vie qui s'y deploie, je prends souvent des photos ou vidéos random depuis le train que je prends régulièrement. Voici un petit bout de voyage hihi (que des rails, pas de beaux paysages <:hihi:> Cliquez ici
Jour 24: Chimère:
Je vous partage une petite vidéo de Dirtybiology sur le pourquoi du comment l'humain peut être considéré comme une chimère 🤭. On apprend dedans comme une femme a donné la vie à un enfant sans être génétiquement sa mère <:smug:>
Jour 25: Radiance:
Bon bon bon ! J avais pas trop d'idées pour ce thème mais vu qu'Ali me fait de la peine, je me suis remuée les méninges (ahem, ça fera 3 plaquettes de chocolat sans lactose stp, Ali). je vous partage quelques mots difficiles à préciser sur ma passion étrange pour les lumières. Depuis toute petite, je suis fascinée par tout ce qui produit de la lumière et plus spécifiquement des jeux de lumières. Mon moment favori quand j allais à Paris chez mes grands-parents, c était de passer sous les je ne sais combien de tunnels la nuit, en voiture, parce que les lumières des tunnels m émerveillaient au travers de la vitre, avec la vitesse <:kpalove:> . J'adore aussi les endroits où il y a des vitraux mais pas pour les dits vitraux, tous aussi beaux soient-ils xD. Uniquement pour pouvoir voir ça : Cliquez ici
Jour 26: Maladie:
Bon j allais écrire des trucs mais en fait non xD. comme personne ne l a mise je crois, voici la plus jolie maladie humaine :
Jour 27: Mécanicien:
Le thème d'aujourd'hui me permet de parler d'un de mes personnages favoris de l'univers Percy Jackson (dont les 2 premières sagas (10 bouquins tout de même) sont incroyables ! La troisième, j ai été un peu moins enthousiaste mais elle reste pas mal quand même. Je l ai pas fini, j en suis qu au 3). J ai nommé : Léo Valdez . Léo est un demi-dieu, fils d une mécanicienne humaine et d'Héphaïstos (Dieu des forgerons et du feu). Il est impliqué dans une prophétie importante qui amène tout de même la déesse Héra à jouer la nourice quand il est enfant et la déesse Gaïa à vouloir sa mort. Son histoire est vraiment triste, c'est un personnage clairement torturé mais qui ne vire aucunement dans le stéréotype du dark Sasuke, émo gothique dans l'âme <:smug:> . C'est même tout l'inverse, c est un jeune adolescent plein de vie, sociable, loyale, ingenieux, rigolo, un peu fêlé sur les bords et hyperactif mais du coup bien dynamique haha. Pour la petite histoire triste : léo a un pouvoir particulier, lié à son père : il peut produire un feu spécial avec ses mains.
Or, un jour, alors qu'il n est encore qu'un enfant, la déesse Gaïa le menace lui et sa mère de mort. En voulant défendre sa mère, Léo utilise le pouvoir du feu contenu dans ses mains, ce qui crée un incendie. Lui ne craint pas le feu mais sa môman finit en barbecue . Il sera ensuite recceuilli par sa tante maternelle qui le traite en monstre, retourne toute sa famille contre lui et l envoit dans un pensionnat pour jeunes deliquants. Là où il trouvera d autres demi-dieux (qui prennent tous terriblement cher dans leur vie haha) avant d'être embarqué vers sa destinée au travers d'une quête épique qui implique 7 personnages, rien que ça. Léo est notable par son humour plein d'auto-dérision, sa loyauté et ses incroyables talents de mécano. Il est le créateur du grand Festus, dragon de fer et de feu qui développera une conscience et avec lequel Léo reussira à communiquer. Petit fanart de Pkcherry sur DeviantArt
Jour 28: Oracle:
Je savais pas quoi vous mettre pour ce thème et en mangeant chez un copain ce midi, j ai vu qu'il avait un vrai Oracle . Voici un message pour vous 🤭 Cliquez ici
Jour 29: Ruine:
Bon bon bon, je ne sais quoi dire ou partager sur ce thème alors je vais dire tout ce qui me passe par la tête <:kpathumb:> . Les ruines me font penser avant tout aux vestiges de temps passés, souvent mal passés. A croire que la vie peine elle aussi à se débarrasser des choses et qu'elle aime nous laisser de temps à autre quelques traces de ce qui n'est plus, en grande mélancolique. Les ruines sont comme des souvenirs : tangibles et à la fois vaporeuses. Un peu comme quelqu'un qui porterait une jupe et garderait caché ses plus grands mystères tout en dévoilant un bout de cuisse, histoire de nous faire comprendre qu'il y a quelque chose à remarquer par ici. Et, tout comme les souvenirs, elles ne subsistent que par notre enchantement et notre folie à les faire persister. C'est nous qui leur donnons de l'importance. Elles ne sont que débris, absence, cailloux qui s'effritent ou bois qui pourris. Seulement, nous, nous y voyons de grandes civilisations, des travaux de plusieurs vies, des talents inouïs et parfois des guerres ou des moments d'amour. C'est tout de même un peu étrange, l'être humain, non ? La réalité qu'il se construit ne tient finalement pas à grand-chose et je crois qu'il peut remercier son imaginaire et ses capacités de symbolisation, il y aurait de quoi finir en ruines, sinon. Pour autant, il y a bien plus fou que d'imaginer un passé qui n'est plus. Bien malades serions nous si nous n'en étions plus capables, si nous prenions ces restes endormis pour ce qu'ils sont réellement : des ruines, du cassé, du passé, du perdu, du rien. Parce que dès lors, c'est notre passé qui rejoindrait le néant. Notre histoire, notre place dans ce monde que l'on se crée pour supporter celui qui est. Sans doute la vie est-elle plus miséricordieuse qu'il n'y parait. Peut-être a-t-elle décidé de nous laisser quelques ruines pour que nous n'oublions pas ce qui nous y a conduit.
Jour 30: Voile:
Je vous partage la bande annonce de la série Shadow and bone qui doit être tirée d'une saga parce que l'univers et l'histoire sont très chouette. Malheureusement, le jeu de l'actrice principale laisse un peu à désirer et je trouve la réalisation pas terrible. Je ne saurais dire si l'actrice est mauvaise ou si son rôle est juste très mal écrit, tiens, d'ailleurs <:smug:1274105018122764348> mais il y a aussi de très bons acteurs avec des personnages bien plus intéressants, heureusement ! ça compense un peu par moment. Enfin bref, ça se regarde quoi ! Et il s'avère qu'ils ont une sorte de Voile eux aussi, the fold de son petit nom : un épais brouillard ténébreux infranchissable car plein de monstres démoniaques. Tout le monde aimerait le détruire pour s'entretuer au calme entre nations mais... eh, la vie c'est pas gaufrette o/.
Jour 31: Horreur:
J allais oublieeeer !!! Voici un passage de l'episode "Hush" de buffy qui m a toujours traumatisé xD. C'est un episode incroyable, il n y a quasi aucune parole. Ce qui le rend particulièrement horrifique. Plus que les m'sieurs monstres . Un episode muet, soutenu par une sacrée bande son .
Nathan: « Et comme c'est moi qui l'ai fait, ça fait ma deuxième contribution«
Jour 26: Maladie:
Pour le thème de la maladie: Un jour j'ai choppé l'appendicite et elle a explosée dans mon bidou. Et hop, je profite de l'occasion pour placer les appendices, c'est cadeau ||Bim, point compte double||
Jour 27: Mécanicien:
Pour le thème de la mécanique, je vais vous raconter une petite histoire:
Le Canada, pour les non-initiés, est un grand pays. Un pays que moi et deux compagnons de routes avons entrepris de traverser, à bord de notre fidèle Eurovan Volkswagen 1990. Nous chevauchions vers l'horizon, laissant derrière nous femmes, hommes et enfants (que nous ne connaissions pas, mais hors de question de les embarquer) lorsque notre le souffle haletant de notre destrier nous avertisse que cette course allait possiblement être sa dernière.
Mais voyez vous, chers ami(e)s, malgré tout leurs défauts, les québécois demeurent optimistes. Alors nous avons poussé notre noble char à travers monts et vallées jusqu'au moment où l'univers nous envoya un signe sous la forme d'un petit voyant lumineux qui nous alertait que la température du moteur dépassait la normale. Tout ça pour dire: heureusement qu'on était pas en charge d'un réacteur nucléaire. Dans notre optimiste absolu, nous avons décidé d'écouter notre Homer Simpson intérieur et d'ignorer l'avertissement de fission éminente, parce que vous voyez, le véhicule escaladait une pente, et que si on arrêtait maintenant cela voudrait dire finir le reste du trajet jusqu'à notre site de camping (environ 300 mètres) à pieds, et ça hors de question.
Après délibérations, nous en sommes venue à la conclusion qu'il faudrait laisser au véhicule le temps de reprendre son souffle, après qu'une épaisse fumée bleue a commencé à jaillir de sous le capos. Mais comment c'est possible? Et bien voyez vous, l'autopsie de notre monture nous a dévoilée qu'un de ses boyaux qui acheminait le liquide de refroidissement au moteur pour… le refroidir, astucieux… avait fendu. Alors déjà ça a causé un beau déversement de produit chimique en pleine forêt d'un parc national, et ça a aussi eu pour effet de faire exploser la pompe. La pompe voyait bien que le moteur avait chaud, mais sans liquide de refroidissement ses options étaient pour le moins limité. Elle a tout donné, à tourner dans le vide pour baisser les ardeurs d'un moteur à combustion sur le point de se combuster avec un liquide qu'on avait perdu il y a 5 kilomètres. Son petit kokoro n'a pas tenu... Je pleure encore sa perte à ce jour. On se voit pour le Repliktober du 31 pour la suite!
Jour 28: Oracle:
Pour le thème oracle: Je me frotte la boule de crystal devant vous (non ce n'est pas sale, rassurez-vous) car les esprits de l'univers m'ont offert une vision. Oui... Oui... Je vois... Je vois... Je vois une histoire qui touchera sa fin. Je vois trois jeunes hommes et une Westfalia agonisante dans la cambrousse canadienne sous un ciel mordoré... Oh! Je vois des palmiers et une quatrième figure qui se détache du brouillard, qui est-ce? Oh toi qui fait cavalier seul? Quel sera ton rôle dans cette histoire?
Ah! La connexion avec les esprits s'effiloche... La vision s'efface... Mais, oh! À travers les brumes cosmique de l'univers je vois une date... Le 31 octobre 2024. Oui! La vision se réalisera avant que la dernière citrouille d'Halloween ne soit éteinte!
Et voilà le spectacle est fini, pour la modique somme de 5 points repliktober je peux aussi vous donner les numéros chanceux du loto.
Jour 29: Ruine:
Pour le thème de ruine: "Parfois, il faut tomber pour mieux se relever." -Un romain qui ne savait pas ce qu'on sait aujourd'hui
Alors voilà ce monstre en ruine va devenir une joyeuse salamandre à moustache
Pour le thème horreur: La suite. Imaginez maintenant que je tiens une lampe torche sous mon menton. Pour ceux qui on raté l'épisode précédent, voici le résumé: Le kokoro de notre superbe ancienne fourgonnette vient de battre un peu trop fort et d'être projeté en dehors de sa cage thoracique.
Privé de notre moyen de locomotion, nous avons décidé d'appeler une remorqueuse. Le soleil se couchait à l'horizon, c'était beau, c'était beau mais on ne se sentait pas d'humeur contemplative sur le moment. Pendant cette interminable attente, de gentils touristes s'arrêtait à nos côtés. Nous croyions que le fait d'avoir allumé les feux de sûretés, nos gueules d'enterrements et la douce coulée de liquide de refroidissent qui pissait du moteur et ruisselait le long de la colline offriraient aux touristes suffisamment d'indice quant à notre situation, mais pas du tout.
une douzaine de véhicules se sont arrêtés et onze fois sur dix on nous demandait: "Hééé... Vous vous êtes arrêté par ce que vous avez vu un ours?"
Mais oui le génie, on a vu un grizzly et notre premier réflexe ça a été de se mettre en position de faiblesse et l'ours en a profité pour vider notre réservoir car son environnement était beaucoup trop propre.
En voyant bien qu'il n'y avait pas d'ursidés à l'horizon, les gens reprenait leur route en soupirant, comme si on venait de ruiner leur journée. Vraiment, merci les gars, on se sentait pas assez mal.
C'est à la tombé de la nuit que notre remorqueur arrive. Les phares de son bolide découpe sa silhouette. On se croirait au début de l'exorciste, sauf qu'au début de l'exorciste le prêtre ne crachait pas de glaires immondes et sa première réplique n'était pas:
"Ah bien j'ai mon voyage! J'savais bin que ç'tait un numéros du québec que j'avais vu là!"
J'ai rien contre les québécois, j'adore la poutine le hockey et céline dion, mais d'après mon expérience, les québécois hors Québec sont de beaux diables. Et là... On sent que le remorqueur n'a pas envie de s'occuper de notre cas, il se fait tard, il fatigue, serait-ce vraiment sécuritaire de prendre la route avec nous? Bonne question, sauf que nous, on est dans un parc national: les campings sont bondés et l'hôtel le plus proche nous offre une chambre pour la modique somme de trop-cher. Que faire? Et bien, notre gentil remorqueur a une idée: comme on a l'air sympathique, il nous invite a dormir chez-lui. On est pas emballé par l'idée. Dormir à trois sur le canapé d'un inconnu, bof, mais le plus beau reste à venir. Galvanisé par sa générosité infinie, notre démon nous propose un prix d'amis: 300$ par personne pour cette nuit, c'est cadeau.
On le remercie, mais on lui dit clairement de prendre son idée, de la mettre sur papier, de la rouler en petit tube serré et de l'insérer dans l'orifice de son choix. Donc non, on décide de se faire remorquer jusqu'à la ville la plus proche. Sauf que le remorqueur, y veut pas. Honte à nous de lui demander de faire son travail, j'imagine. Solution: il appel un autre collègue pour faire le plus gros du boulot à sa place et s'enfuit sans demander son reste. Nous on reste aux côtés de la carcasse de notre eurovan à attendre dans la nuit. Ce n'est qu'au prochain touriste à nous demander l'état de la population d'ours des environs que les larmes ont commencés à couler.
Au beau milieu de la nuit, nous avons enfin un remorqueur qui accepte de nous embarquer. Et ce gars là, il en avait rien à foutre. Même pas un bonjour que notre westfalia est installée sur la remorque et qu'on file vers notre point de dépôt à 50 kilomètre heure au dessus de la limite. Chaque virage se faisait sur les deux voies, nous étions une menaces pour tous les autres occupants de la route, mais à ce stade j'était trop fatigué pour me soucier de ma propre survie, Jai fait une sieste, totalement préparé à ce que ce soit ma dernière. Mais non, finalement on atterrit à bon port et notre héros de deuxième remorqueur file vers le soleil levant... Et là... vous vous dite... "Mais qu'est-ce que... Il n'y a pas du tout de palmiers dans cette histoire? Tu aurais donc mentis?!
Alors non, malgré ma dégaine de orang-outang, ce n'était pas un prétexte pour abborder les enjeux de l'huile de palem. Un palmier ce n'est pas seulement un arbre, c'est aussi ces trucs: On en avait acheté une boite avant de partir, et notre héros, avec sa conduite de fou rapide et dangereux a transformé ces délicieuses pâtisseries sachant ravir petits et grands en une bombe à défragmentations sucrés qui a recouvert toutes les surfaces intérieures de notre bolide... Voilà... L'histoire prend fin alors que nous ouvrons la porte arrière et qu'un nuage de sucre nous tombe dessus. Le seul point positif c'est qu'aucun de nous était diabétique (l'usage de l'imparfait est important).
Comme je n’ai pas eu le temps mais que je veux quand même participer -j’ai pris donc engrenage - Desert (sable) et rituel dans le même dessin Cliquez ici pour accéder au dessin
C'est à mon tour, j'vais poster une version accessible et une version âme sensible s'abstenir :D Cette fois je ne dessine pas je vous partage un artiste que je trouve fascinant !https://x.com/Me1_Mezu/media
Jour 8: Diligence:
Et Bonjouuuuur ! <@215605907793510400> Je l'ai dessiné juste pour toi !!!! 🩷 Voici... La Diligence de Capaya !!! <:moe01:737907625290629141> (Adapté du Chat-Bus dans Totoro :D) Cliquez ici pour accéder au dessin
Jour 9: Envoûtement:
Bonjour les petits amours <:moe01:737907625290629141> Pour "**envoutement**" je vous partage cet art que je trouve hypnotique et envoutant, je suis admirative des personnes qui dansent vers leurs doigts, les déformant, pliant, mélangeant... et voilà si jamais vous êtes curieux... j'trouve qu'on dirait qu'on nous lance un envoutement 🩷
Je reviens sur la chimère car j'ai découvert cela dans un épisode de Top-Chef et je me dis que cela serait super et insolite à partager ! Je vous présente "la chimère : L’incroyable "corps à corps" entre pigeon et agneau du chef Alain Passard" le chef a lié carré d’agneau et pigeon, les images parlent d’elles mêmes, une idée qui pourrait sembler saugrenue, mais qui au final donne un résultat totalement bluffant héhé Vraiment je veux gouter ça un jour 🤭 Pour voir l’horreur cliquez ici
Jour 25: Radiance:
Bonjour les petits amours ! Aujourd'hui aussi j'viens participer (est-ce mon grand retour dans ce jeu <:moe01:737907625290629141> ) en vous partageant deux de mes dessins que j'affectionne particulièrement :D Et qui m'a servi pour travailler l'effet "lumière" et donc par extension la "radiance" 🤭 (On me dit dans l'oreillette, j'ai aussi travaillé les iris de chèvre et les dents de vampire du bonheur hihi) Cliquez ici pour voir les dessins
Sureya Nebh
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115 19 20
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Re: ANIMATION // REPLICTOBER• Dim 3 Nov - 1:36
Galerie de Sureya:
Jour 1: Aventurier:
Jour 2: Champignon:
Jour 3: Engrenage:
Ma participation pour le jour de l’engrenage ! Cette fois pas de dessin, mais un film d’animation que je vous propose de découvrir si vous ne le connaissez pas déjà:
Jack et la mécanique du coeur.
C’est l’histoire d’un garçon, né le plus froid du monde, dont le coeur a gelé et est remplacé par une horloge cou-cou. Il doit vivre avec en suivant des règles stricts dont la plus importante: ne jamais tomber amoureux. Sauf que … le coeur a ses raisons et il le pousse dans une quête amoureuse aussi belle et poétique que dramatique.
Jour 4: Désert:
Jour 5: Rituel:
Jour 6: Masque:
Jour 7: Créature marine:
Jour 8: Diligence:
Jour 9: Envoûtement:
Il est pas encore tout à fait terminé, mais voilà ma participation du jour
Jour 10: Cobaye:
Aujourd'hui je vous propose un retour en enfance avec le générique d'un petit dessin animé !
Jour 11: Astral:
Jour 12: Steampunk:
Jour 13: Abomination:
Jour 14: Richesse:
Jour 15: Nécropole:
Ma participation du jour ! Je vous propose donc, si vous ne le connaissez pas déjà, de découvrir un film d’animation de Tim Burton ! Il s’agit deeeeee…. *roulement de tambour* Les Noces funèbres ! Victor, un jeune homme, est promis à la douce Victoria. Mais lors de la répétition de la cérémonie de mariage, il panique et se retrouve sans le vouloir marié à une jolie cadavre et découvre le monde souterrain qui par certain aspect, est beaucoup plus chaleureux que celui de la surface. (Et puis bon … un Tim Burton… même les vivants ont pas l’air d’être très frais…)
Jour 16: Symbiose:
<@215605907793510400> La symbiose ! Mais qu’est ce que c’est ? Ma première idée pour ce thème, je l’avoue, c’était de parler des fameux symbiotes de Stargate: les Goa’uld qui m’ont traumatisé quand j’étais gosse. Puis j’ai pensé à la symbiose que deux personnes peuvent ressentir entre elles. Mais j’ai posté déjà beaucoup de choses mignonnes et pourquoi chercher dans la SF quand on a de jolis exemples sur terre hein ? Je vous partage donc une petite vidéo sur la symbiose entre le poisson clown et son anémone (coucou Némo !)
Mais toutes les symbioses ne sont pas aussi adorables… Et le mot symbiose définissant la vie en association de différentes espèces, cette notion inclut aussi le parasitisme. Je vous présente donc un petit parasite qui infecte les poissons. Ils s’accrochent à leur langue pour aspirer leur sang et quand il n’y en a plus et que la langue du poisson tombe, ils prennent carrément la place de la langue du poisson ! Je suis entre le dégoût, l’horreur et le « Ooooh trop bien il nous faut une bestiole comme ça ! » <:Uh:668026188316278784> vous voilà averti ! Et pour le cauchemar c’est par là:
Jour 17: Vaisseau:
Inspirer. Expirer. Fermer les yeux. Inspirer de nouveau et les ouvrir. Face à moi, les portes automatiques du sas de décontamination s’ouvrent. Passant dans l’encadrement, j’observe, le cœur battant et l’estomac noué, le ballet des passagers qui se cherchent une place en attendant qu’on vienne les chercher. Les hôtesses d’accueil, vêtues de leur blouses immaculées, me font signe d’approcher. Sous leurs airs affables, je sais qu’il n’en est rien. Leur costume ne cache rien de leur appartenance à une autre planète. Elles réclament mon titre de transport et mon passeport. Sans un mot, je les leur remets et elles me font signe de patienter auprès des autres passagers.Trouvant une place miraculeuse, je m’y installe après avoir salué mon voisin. J’aurais préféré lui sembler plus aimable, mais la tension que je ressens m’empêche même de lui sourire.
Bagage sur les genoux, jambe tressautante, je m’efforce de m'intéresser à mon environnement. Le bourdonnement lointain des moteurs et l'aseptisation des lieux me rappellent douloureusement ma peur irrationnelle de ce genre d’endroit. Haut les coeurs ! C’est un passage obligé si je veux voyager. J’inspire de nouveau et m’abandonne à la contemplation des murs blancs, réfléchissant une lumière toute aussi blanche, bien trop pure pour être normale. Le malaise ne fait qu’accroître et l'œil géant encastré dans le mur ne fait rien pour arranger mon état. Il cligne. Il me fixe. Et j’ai la troublante impression qu’il voit bien au-delà de moi. « Courage », je me répète, baissant les yeux sur le lino gris. Un instant, les points scintillants me captivent. S’il provient d’Alpha du Centaure, je n’ose imaginer le coût de la construction du vaisseau.
On m’appelle, m’arrachant à ma contemplation. Je lève les yeux vers une nouvelle alienne. Elle sourit. Je frémis, mais je me dis que ce sera bientôt fini. Je n’avais alors aucune idée de la tourmente qui m’attendait. La suivant, elle me guide vers une passerelle étroite. Je ne suis pas sujette au vertige, mais elle m’a semblé si longue à traverser que je me suis sentie aspirée. Si mon rythme cardiaque s’emballe et que je sens poindre au bord de mes paupières quelques larmes, je résiste à cette envie de tourner les talons, ou de laisser ma tête fusionner avec mes épaules. Si la lumière crue des néons n’est pas celle des étoiles, ils ont au moins fait l’effort d’illuminer la passerelle. Elle me fait finalement passer une ouverture dans la paroi avant même d’avoir atteint l’autre côté. Là, face à un scanner futuriste, un simple tabouret. On me fait m’y asseoir et commence alors le premier examen. La machine, énorme, paraissant presque vivante, se rapproche de mon visage et je ne peux que me perdre dans l’observation des anneaux qui entourent la prunelle qui me fixe. Blan, noir, blanc, noir… Et par delà la cornée, je distingue ses pensées. Une image, qui d’abord floue, se précise. Elle aussi, rêve de voyage et d’aventure mais doit se contenter de parois métalliques et d'odeurs stériles. Si son souffle ne me manquera pas, je m’en sépare malgré tout à regret et retourne à cette passerelle, qui j’en suis certaine, hantera mes cauchemars.
Nouveau sas. Nouveau siège où patienter. Nous sommes nombreux. Et si certains de mes voisins ne manifestent aucune émotion, d’autres cependant semblent chercher un peu de réconfort. Sur la place face à moi, un petit être me détaille et je n’arrive pas à déterminer s’il est humain ou simplement déguisé. Peu importe, il me sourit et je trouve là une nouvelle raison de me battre contre toute cette pression. Je ne voudrais pas le voir pleurer s’il ressent ma peur. Alors sous le regard amusé de sa mère, nous échangeons quelques grimaces qui le font rire et j’en oublie même un instant où je me trouve et quand on m’appelle de nouveau, je suis déjà plus calme, prête à traverser une nouvelle passerelle, subir de nouveaux tests assise face une créature qui me filera des maux de tête. Encore une passerelle. Encore un sas. Encore une salle... Un nouveau scanner et des lasers. J’en vois la fin. J’ai mal à tête. La passerelle à nouveau. Je me perds. On me rattrape. On me guide. On me rend mes titres, mon passeport et enfin l’autorisation de voyage intergalactique...
J’ai réussi et je m’échappe enfin de ce vaisseau labyrinthique.
Derrière moi se referme la matrice et les portes du centre ophtalmologique. Et entre mes mains serrées, l’ordonnance qui me permettra de changer mes lunettes.
Jour 19: Érudit:
Jour 20: Mutant:
Ma participation du jour !! J’ai faillit ne pas poster <:omg:668026749644308492> Alors quand je pense à « mutant » je pense à « mutation » et donc « transformation » ou « évolution ». Je vous présente donc l’évolution de mes « Monsieur Madame ! » des créations qui m’ont suivit toutes ma vie. Je n’ai pas de photo qui date de l’époque où j’en faisais avec des feuilles et des branches, mais voilà ils ont leur phase coton tige et emballage ferrero et maintenant j’en fais des bijoux !
Jour 21: Relique:
Quand on parle de reliques, a part les reliques de la mort, on pense souvent aux restes matériels de personnes qui ne sont plus.... Malheureusement pour moi, je ne n'ai ni débris, ni amulettes, ni ossement laissé par un mourant (quelques par c'est pas si mal...). Je pourrais bien parler d'un pendentif transmis par ma grand-mère, qu'elle a acheté bien avant ma naissance, mais je ne m'y sens pas encore assez attachée émotionnellement, je n'ai pas de souvenirs importants qui y soit liés. Par contre, en réfléchissant à mes souvenirs d'enfance (merci Jobinou) j'ai repensé à ma boîte aux trésors ! Je ne garde pas forcément tout et n'importe quoi parce que sinon j'ai l'impression de place, mais ça, je n'ai pu me résoudre à m'en débarrasser, car elle contient un peu de mon enfance, de mon début d'adolescence avec des lettres de ma meilleure amie quand on parlait de nos "tartes à la fraise" (nos amoureux secrets en langage codé pour ne pas que nos soeurs qui jouaient les facteurs comprennent nos conversations), des billes et le plus important... Une bizarre collection, composé de petits bonhomme fait à la main, d'autocolant, de décorations d'elastique pour cheveux, de broches, de perles... que nous partagions ma meilleure amie et moi aux balbutiements de notre amitié. Et ces petites choses ont eut le droit de vivre pleeeiiiiinnns d'aventure, parfois dramatique, souvent romantique, toujours très drôles. Nous les avons appelé les rikikis et en voici une petite partie (les autres c'est elle qui les garde). Cliquez ici Certains sont un peu abimés par le temps, soyez indulgents ça fait 22 ans qu'ils dorment dans ma boîte à trésor Et pour ceux qui ont vu ma participation d'hier, vous reconnaîtrez sans doute des madames ferrero ! (Faut croire que les cotons tiges d'il y a 20 ans tenaient plutôt bien...)
Jour 22: Soldat:
Alors pour ma part … Pour aujourd’hui, je vais traiter le thème de façon plus indirecte oserais-je dire ? Le titre que je vous propose de découvrir ne parle pas spécifiquement de soldat à première vue. En tout cas pas comme d’une figure militaire (soldat, guerre … Vous l’avez ?), mais elle s’inscrit dans un contexte de conflits mondiaux ! La chanson a pour thème principal le terrorisme des année 2015 à 2017, avec des références explicites aux attentats de Nice, Londres, Le Caire, le concert d’Ariana Grande… Donc voilà ! Pas de « soldats » au sens propre, mais une œuvre poignante traitant de l’absurdité des conflits, des sacrifices, des ravages causés par la guerre et en même temps de la résilience d’un peuple face à la violence. Elle délivre un message puissant de solidarité et d’espoir. (Je vous mets quand même le clip où on voit des soldats et qui déchire le kokoro 🥹 )
Jour 23: Chemin de fer:
Mot du jour... Chemin de fer... Qui dit chemin de fer, dit train, dit rails et parfois déraille... Comme les belles histoires qui tournent mal ! Cliquez ici Et pour ceux qui voudraient la suite de l'histoire c'est par là: Cliquez là
Jour 24: Chimère:
Mesdames et Messieurs, avec le thème du jour, j’aurais pu vous exposer les incroyables particularités de la Chimère, ou même simplement vous rappeler le traumatisme FMA, mais plutôt que de partir dans la fantasy, la mythologie ou la cinématographie, je vous propose de découvrir une véritable chimère ! A la fin de la création de l’univers, il ne devait plus rester grand chose… Que faire avec des pattes de crabes, des ailes et une grosse tête de poisson ? Hum hum ! Et voici, après avoir tout bien mélanger: Le triglidae ! Aussi appelé « grondin », c’est un poisson tout à fait surprenant... Il a un corps plutôt robuste, des nageoires pectorales démesurés qui ressemblent plus à des ailes (et parfois n’ont pas vraiment l’air de lui appartenir) et lui serve plus à planer ou glisser dans l’eau que véritablement nager et des petites pattes qui lui permettent de se déplacer et tâter le fond marin à la recherche de nourriture ! Ah ! Vous ait-je dis qu’il est aussi capable de gronder ? C’est d’ailleurs ce qui lui a donné son nom. Pour le découvrir, c’est par là:Cliquez ici
Jour 25: Radiance:
Jour 26: Maladie:
Aujourd’hui, c’est « maladie ». C’est fou ! En redécouvrant le thème, je me suis dis qu’il était plus difficile que le précédent (radiance), parce qu’à part parler du covid qui nous a bien marqué, des rhumes de fin d’année, dessiner un petit virus, je ne voyais pas trop quoi faire… Enfin, ça l’était jusqu’à ce que je me souvienne que dans mon entourage, il y a des gens malades, sans qu’il ne soit question de virus ou de bactéries.
Je pensais donc qu’il serait sympa de parler de maladies invisibles, souvent méconnues, même des médecins et laissant souvent ceux qui ont la « chance » de les avoir en errance médicale plusieurs années. Il faut dire que c’est plus facile de dire à son patient que s’il a mal, c’est parce qu’il n’a pas envie d’aller à l’école ou au travail, qu’il est fainéant ou a simplement besoin de voir un psy plutôt que reconnaître qu’on ne sait pas ce qu’il a et l’envoyer vers un confrère qui pourrait vraiment l’aider… Mais je n’ai pas spécialement envie de m’énerver sur le sujet parce que ça me touche d’un peu trop prêt <:Uh:> alors à la place je vais vous parler d’un jeu hyper sympa sur lequel je passe volontiers mes nerfs <:cute:>.
Il s’agit donc d’un jeu de simulation apocalyptique et stratégique développé par Ndemic Creations, j’ai nommé : « Plague Inc ». Le but du jeu est assez simple. Il faut récolter assez de points d’ADN pour faire évoluer, et améliorer à l’aide d’un arbre de compétences, un agent pathogène (bactérie, virus, parasite, ver…. Ect) pour éradiquer l’humanité avant qu’elle ne concocte un vaccin pour se sauver ! <:cute:>
Un de mes petits plaisirs dans le jeu, c’est de donner des p’tits noms hypers mignons à mes maladies, et à la fin pouvoir lire « Choupitrognon a éradiqué l’humanité ». C’est assez satisfaisant… Et sachez que c’est tout aussi satisfaisant de vous concocter de jolies maladies sur le forum. Je vous laisse découvrir pour ceux qui ne connaissent pas :
Jour 27: Mécanicien:
Alors alors… Qu’est ce qu’on a pas encore eu aujourd’hui ? Du Wow, c’est fait, de la musique aussi, du Jobisme c’est bon, un artiste sur insta (ce talent <:kpawahou:> ), de la lecture et une histoire ! Ok… Je peux peut-être partir sur du cinéma ! De la mécanique… Des jolies voitures… De la vitesse… Mmmh je sais !
Début des années 60, Ford motor compagny est dans une mauvaise passe. Pour redynamiser l’image de la marque et régler ses soucis financiers, l’entreprise se lance dans la compétition automobile. Pour ça, Ford s’associe avec un concessionnaire qu’il charge de construire un véhicule capable d’exploser la marque Ferrari aux 24 heures du Mans ! C’est ainsi que sera développée mythique la Ford GT40 Mk avec l’aide du pilote Ken Miles (que Ford aime pas trop trop).
Moi qui ne suis pas spécialement passionnée par les histoires de voiture, je n’ai pas pu en détacher les yeux ! Je vous laisse découvrir la BA
Jour 28: Oracle:
Comme nous l’a si bien dit notre cher Job, l’oracle désigne la réponse d’une divinité à une personne. Aujourd’hui, je vais donc vous parler d’une pseudo-science divinatoire. Une discipline millénaire qui remonte à 5000 ans (rien que ça !) et qui perdure encore de nos jours: la chiromancie ou l’art de lire les lignes de la main. Selon certains adeptes, la chiromancie serait aussi ancienne que le monde lui-même et que les lignes de nos mains traceraient les plans de notre destinée, offrant donc un aperçu du futur...
Si dans l’Antiquité c’était une science répandue et que les auteurs de l’Ancien Testament y font référence, c’est Aristote qui aurait été le premier à écrire un traité sur le sujet. D’autres penseurs ont suivi l’exploration de cet art, avant qu’il ne soit pointé du doigt par l’Eglise au Moyen Âge, et qu’on la considère comme une science maudite (les sorcières, superstitions tout ça tout ça…). Et il faudra attendre la renaissance avant qu’on ne s’intéresse à nouveau au sujet, et le 19e siècle pour que de véritables ouvrages sur le sujet soit publié. De nos jours, quand on évoque l’art de la chiromancie, on pense surtout à la bohémienne de fête foraine qui dévoile l’avenir d’un simple coup d'œil, mais c’est au final une étude peu connue et assez complexe. Jusqu’à l’année dernière, quand j’entendais parler de lecture des lignes de la main, je pensais qu’il s’agissait simplement de repérer les grandes lignes dans sa main, comparer leur longueur et se dire « Oh ! J’aurais une longue vie avec la longue ligne ! » mais pas du tout !
L’étude de la main ne se repose pas que sur les grandes lignes. Elle va parler des monts et des sillons, des ongles, de la position des doigts qui sont aussi rattachés à un aspect de la personnalité. Elle va analyser la forme de la paume, la longueur des doigts et des phalanges, leurs positions les unes par rapport aux autres. Elle fera attention à la couleur, à la profondeur des lignes. En somme, chaque détail, jusqu’au croisement subtiles des lignes ou de leur écart, porte un sens qui dit plus long qu’on ne l’imagine.
Et j’avoue avoir été fascinée par le sujet en commençant des recherches rien que pour le bien d’un rp ( Mignonne peu en témoigner )
Jour 30: Voile:
Pour aujourd'hui, petites photos d'un ciel voilé
Jour 31: Horreur:
Manquant un peu de temps pour faire un dessin, 🥹 je vous propose, un nouveau super film d’animation, mêlant superbement l’obscurité d’Halloween à la magie de Noël pour marquer la fin de cet événement ! Je vous propose, créé par Tim Burton et réalisé par Henry Selick, « L’étrange Noël de Mr Jack » ! Jack Skellington, Roi des citrouilles, dirige chaque année l’organisation des célébrations d’Halloween. Mais il en a assez de la routine et souhaite quelque chose de nouveau ! Se promenant dans les bois, il trouve les portes menant à d’autres mondes festifs et découvre la ville de Noël qui prépare bah… Les célébrations de Noël. Jack décide alors que la ville d’Halloween fêtera Noël ! Pour le meilleur … ou pour le pire…