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| Admin 272 0 0 | Bonjour ! Je m’appelle Rémy Coquelet et si vous avez mis la main sur cette bande, c’est que vous êtes soit un amoureux de la faune locale de Replicare, soit que vous espérez ne pas finir en repas pour l’une de ses créatures. Mais que vous soyez un aventurier en quête de frissons, un scientifique en herbe ou simplement curieux, vous êtes au bon endroit pour en apprendre davantage sur les espèces peu communes qui peuplent cette planète. Vous n’entendrez donc parler ni de vache, de chien, de puma, d’axolot, sauf si celui-ci mesure plus de deux mètres. Gardez en mémoire que Replicare est comme un patchwork d’écosystèmes aussi variés que mystérieux où chaque exploration en terre sauvage pourrait vous faire croiser la route d’un prédateur redoutable ou d’une créature encore méconnue de nos registres. Certaines de ces bêtes pourront se montrer simplement tout aussi curieuses que vous, alors que pour d’autres… Disons qu’il serait préférable de les admirer de loin. Dans ce bestiaire, nous allons parcourir ensemble quelques-unes des créatures qui peuplent cette terre et que vous seriez susceptible de croiser. Nous étudierons leur comportement, leurs habitats, leurs méthodes de chasse ou de défense et leur dangerosité pour les humains. Sur Replicare, la survie repose avant tout sur la connaissance. Ignorer ce qui se cache derrière un buisson ou sous un rocher, c’est risquer de découvrir, un peu tard, que vous n’êtes pas le prédateur, mais la proie. Rappelez-vous qu’un bon explorateur est un explorateur informé ou un explorateur rapide à la course. Et si d’aventure vous découvrez un animal sauvage qui ne figure pas dans les fiches suivantes, vous pouvez compléter le formulaire suivant et le soumettre à étude à l’un des membres du staff. Nom de la bestioleDescription Globale
Nom de la bête Petit texte pour la résumer Espèce
Nom scientifique : texte
Nom commun : texte Classification
Classe : texte
Ordre : texte
Famille : texte. Physique
Taille et poids : Texte
Couleurs et motifs : texte
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : texte
Adaptations physiques particulières : texte Habitat et répartition
Habitat naturel : Texte
Zones géographiques : Texte. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Texte
Comportement de chasse ou de cueillette :Texte
Comportements sociaux :Texte
Comportements agressifs et stratégies de défense :Texte
Techniques de communication :Texte
Habitudes diurnes/nocturnes : Texte
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire :Texte
Contribution à l’écosystème :Texte
Niveau de menace pour les humains :Texte
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques :Texte Reproduction
Méthodes de reproduction : Texte.
Cycle et espérance de vie :Texte
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : Texte - Code:
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<div class="ficheContainer2"><h2>Nom de la bestiole</h2><img src="https://www.silverdisc.co.uk/sites/default/files/sd_importer/lion_jpg_21.jpg" alt="LeLion" /><!--
desc globale --><div class="ficheContent"><h2>Description Globale</h2>
<b>Nom de la bête </b> Petit texte pour la résumer </div> <div class="ficheSideBoxes"><h2>Espèce</h2>
<b>Nom scientifique : </b> texte
<b>Nom commun : </b> texte </div><div class="ficheSideBoxes"><h2>Classification</h2>
<b>Classe : </b> texte
<b>Ordre : </b> texte
<b>Famille : </b> texte. </div> <div class="ficheContent"><h2>Physique</h2>
<b>Taille et poids :</b> Texte
<b>Couleurs et motifs : </b> texte
<b>Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : </b> texte
<b>Adaptations physiques particulières : </b> texte </div> <div class="ficheContent"><h2>Habitat et répartition</h2>
<b>Habitat naturel :</b> Texte
<b>Zones géographiques :</b> Texte. </div><div class="ficheContent"><h2>Alimentation et Comportement</h2>
<b>Régime alimentaire :</b> Texte
<b>Comportement de chasse ou de cueillette :</b>Texte
<b>Comportements sociaux :</b>Texte
<b>Comportements agressifs et stratégies de défense :</b>Texte
<b>Techniques de communication :</b>Texte
<b>Habitudes diurnes/nocturnes :</b> Texte
</div><div class="ficheContent"><h2>Rôle écologique et dangerosité</h2>
<b>Position dans la chaîne alimentaire :</b>Texte
<b>Contribution à l’écosystème :</b>Texte
<b>Niveau de menace pour les humains :</b>Texte
<b>Venins, toxines ou autres dangers spécifiques :</b>Texte </div><div class="ficheContent"><h2>Reproduction</h2>
<b>Méthodes de reproduction :</b> Texte.
<b>Cycle et espérance de vie :</b>Texte
<b>Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux :</b> Texte </div></div> | | | Admin 272 0 0 | | | Admin 272 0 0 | Moustique de MiceDescription GlobaleLe moustique Micéen , comme de nombreuses espèces de moustiques, est un insecte hématophage, particulièrement redouté pour sa capacité à transmettre la [ fièvre Micéenne]. Ce diptère, reconnaissable à ses bandes rouges sur les pattes, prospère dans les régions chaudes et humides des îles de Mice, et se nourrit principalement de sang humain. Sa reproduction rapide et prolifique en fait un véritable fléau, chaque femelle pouvant pondre jusqu’à 2000 œufs en un moins d’un mois. Espèce
Nom scientifique : Aedes Micensis
Nom commun : Moustique de Mice, moustique Micéen (ou plus familièrement « salopard ») Classification
Classe : Insecte
Ordre : Diptère
Famille : Culicidae (famille des moustiques). Physique
Taille et poids : 15 à 30 mm, 2 à 4 milligrammes
Couleurs et motifs : Corps noir avec des bandes rouges sur les pattes
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Ils possèdent une paire d’ailes, une trompe qui leur permet de pomper le sang, ils sont deux fois plus gros que les moustiques communs et doublent encore de volume lorsqu’ils sont gorgés de sang.
Adaptations physiques particulières : / Habitat et répartition
Habitat naturel : Climat tropical chaud et humide. De préférence à proximité de plans d’eau stagnantes et de lieux habités.
Zones géographiques : Îles de Mice. Distribution restreinte à cette zone. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Hématophage pour la femelle qui a une préférence pour le sang humain (elle ne touche pas au sang synthétique mais semble avoir un penchant pour le rhésus O); nectarivore pour le mâle.
Comportement de chasse ou de cueillette : Les femelles se posent sur leur cible lorsqu’elle est immobile, elles utilisent des signaux de chaleur et les émanations de CO2 pour localiser leur proie.
Comportements sociaux : Le moustique agit en solitaire, sauf en période de reproduction
Comportements agressifs et stratégies de défense : Non agressif, il fuit en cas de danger.
Techniques de communication : Il utilise le bourdonnement
Habitudes diurnes/nocturnes : Principalement nocturne
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Proie pour divers prédateurs (oiseaux, poissons, autres insectes)
Contribution à l’écosystème : Peut jouer un rôle dans la pollinisation
Niveau de menace pour les humains : Vecteur de la fièvre Micéenne
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Transmission du virus responsable de la fièvre Micéenne Reproduction
Méthodes de reproduction : Oviparité.
Cycle et espérance de vie : Les œufs sont pondus à la surface de l’eau. Incubation de 3 jours jusqu’à l’éclosion des œufs. La phase larvaire dure 10 jours. Espérance de vie de 3 à 4 semaines
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : 200 à 400 œufs par ponte / En moyenne 4 à 5 pontes par femelle. Il n’y a aucun soin parental. Les œufs se développent indépendamment | | | Admin 272 0 0 | AbominationDescription GlobaleLes abominations sont les formes finales et monstrueuses des mutahumains qui ont succombé à la [ corruption du Voile]. Si les mutants peuvent vivre en société pendant une période limitée, les abominations sont des créatures incontrôlables, dépourvues de toute humanité. La transition d’un mutahumain à une abomination peut prendre des années, comme ne jamais avoir lieu, le mutant mourant avant que la transformation ne soit complète. Espèce
Nom scientifique : Confidentiel
Nom commun : Abomination Classification
Classe : Confidentiel
Ordre : Confidentiel
Famille : Confidentiel Physique
Taille et poids : Variable en fonction des mutations
Couleurs et motifs : Variable en fonction des mutations
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Les abominations sont des créatures horrifiques, à la morphologie déformée. Ils n’ont d’humain que de rares vestiges, leur corps ayant souvent fusionné avec des excroissances grotesques, des protubérances osseuses, des mutations organiques incontrôlées, des membres supplémentaires, des pinces, des mâchoires supplémentaires, des excroissances purulentes, des organes externes qui n’ont rien de naturel.
Adaptations physiques particulières : Variable en fonction des mutations Habitat et répartition
Habitat naturel : Variable
Zones géographiques : Variable mais surtout du côté ouest de Replicare (Eigon) et forte présence dans les îles de Mice. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Omnivore
Comportement de chasse ou de cueillette : Variable dépendant des mutations.
Comportements sociaux : Une fois transformées, les Abominations perdent toute trace de leur ancienne personnalité humaine. Elles deviennent des créatures purement instinctives mais toujours doté de leur intelligence et leur capacité technique comme ouvrir une porte, monter à l’échelle, se dégager d’un piège, coordonner leurs actions au abord du Voile… ect. Elles sont motivées par une rage incontrôlable et une soif de destruction.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Elles sont très agressives et attaquent tout ce qui se trouve sur leur chemin.
Techniques de communication : Grognement, hurlement, cris, cliquetis … Variable en fonction des mutations.
Habitudes diurnes/nocturnes : Variable
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Prédateur supérieur
Contribution à l’écosystème : Perturbateur écologique.
Niveau de menace pour les humains : Leur niveau de dangerosité est tel qu’elles représentent une menace sérieuse non seulement pour les individus isolés mais aussi pour les groupes entiers.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Sang contaminé par le mutagène. Autres spécificités variables car dépendantes des mutations.Reproduction
Méthodes de reproduction : Bien que les abominations conservent de leurs organes reproducteurs, aucun comportement reproducteur n’a jamais été observé chez elles.
Cycle et espérance de vie : Espérance de vie variable dépendant des mutations.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : Aucune observation à ce jour. | | | Admin 272 0 0 | Acarien bioluminescentDescription Globale
L’acarien bioluminescent est un arachnide minuscule principalement trouvé dans les régions froides. Il se distingue par sa capacité à produire de la lumière. Ces créatures nocturnes vivent dans des environnements riches en matière organique, se rassemblant sur des corps inertes pour les décomposer. Bien qu’ils jouent un rôle écologique en tant que décomposeurs, ces acariens sont de redoutables parasites qui n'hésitent pas à dévorer les être vivants s’ils en ont l’occasion. Leur nature invasive et leur venin tranquilisant en fait un nuisible difficile à éradiquer, surtout en intérieur et par grand froid. Dans certaines régions, il est chaudement recommandé de garder la lumière allumée le soir pour troubler leur communication et les empêcher de s’organiser. Espèce
Nom scientifique : Luminacarus noctilucens
Nom commun : Acariens bioluminescents dit aussi« acariens qui brillent » Classification
Classe : Arachnides
Ordre : Acariens
Famille : Acariens Physique
Taille et poids : 1 à 2 mm
Couleurs et motifs : Généralement translucide avec des teintes lumineuses vertes ou bleues dépendant de la région et de la température.
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Capacité à émettre de la lumière, pince comme des crabes, crocs venimeux.
Adaptations physiques particulières : Les femelles peuvent être fécondées par les mâles peu importe l’endroit où leur carapace est percée. Elles doublent de volume lorsqu’elles sont pleines. Habitat et répartition
Habitat naturel : Climat subarctique, climat froid de steppe, environnements riches en matières organiques.
Zones géographiques : Qulleqipok. Distribution restreinte à cette zone. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Saprophage, décomposeurs de matière organique.
Comportement de chasse ou de cueillette :Ils se rassemblent en émettant de la lumière sur un corps inerte (vivant ou mort) pour le décomposer une fois totalement recouvert. Il est recommandé d’utiliser la lumière pour perturber leurs signaux et se débarrasser d’eux en se nettoyant soigneusement.
Comportements sociaux : Ils vivent en groupes appelés colonies.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Non agressifs, ils ne cherchent qu’à se nourrir. Pour se défendre, les individus se rassemblent et émettent des signaux lumineux pour éloigner les prédateurs ou partent simplement se cacher.
Techniques de communication : Utilisation de la bioluminescence pour communiquer avec leurs congénères.
Habitudes diurnes/nocturnes : Nocturne
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Proie pour de plus gros insectes, prédateur vorace.
Contribution à l’écosystème : Décomposeurs. Ils aident à la décomposition de la matière organique.
Niveau de menace pour les humains : Parasite, qui peut décomposer vivant un homme inattentif.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Venin paralysant. C’est aussi un puissant allergène qui par sa simple présence dans les habitations provoquent des réactions cutanées et des éternuement chez les sujets sensibles… Reproduction
Méthodes de reproduction : Oviparité
Cycle et espérance de vie : Les œufs sont pondus dans les fibres textiles ou les feuilles mortes et débris. Les œufs éclosent une semaine après la ponte. La phase larvaire dure environ 2 semaines. L’espérance de vie va de 5 à 7 semaines une fois l’acarien arrivé à maturité.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : 100 à 150 œufs par ponte. Aucun soin parental, les œufs et larves se développent indépendamment. | | | Admin 272 0 0 | CapayaDescription Globale
Le Capaya est un imposant mammifère herbivore, se distinguant par sa taille impressionnante pouvant aller jusqu'à 3 mètres au garrot. Craintif par nature, il préfère les biomes ouverts comme les savanes ou les prairies où il peut plus facilement repérer le danger. Son fort instinct de conservation en fait un compagnon idéal pour qui souhaite s’aventurer dans des contrées hostiles. Cependant, cette même nature rend difficile sa domestication. Seuls quelques passionnés osent tenter l’élevage de ces géants, dans le but d’en faire des montures ou des bêtes de trait. Loin des villes, ces élevages doivent être soigneusement gérés pour éviter les mouvements de panique et les importants dégâts qu’ils pourraient occasionner tant sur le plan matériel, qu’environnemental. Espèce
Nom scientifique : Capaya giganticus
Nom commun : Capaya Classification
Classe : Mammifères
Ordre : Rodentia
Famille : Gigantocapidae Physique
Taille et poids : Environ 1m50 à 2m au garrot, pour 3m50 à 4m de long pour un poids de 500 à 800 kg. Les plus grands spécimens peuvent atteindre les 3m au garrot, pour un poids de près de 1000 kg.
Couleurs et motifs : Les couleurs vont généralement du brun au beige en passant par le sable pour permettre un camouflage plus efficace dans son environnement.
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Corps large et arrondi, peau résistante, queue courte et épaisse, pelage pouvant varier en densité selon la saison, ossature du crâne plus dense.
Adaptations physiques particulières : Si le capaya est plus résistant et endurant, il peut aussi courir très vite au besoin sur un court laps de temps. Il est également capable d’ajuster rapidement la densité de son pelage en fonction des changements climatiques. Son poil pousse plus vite et devient plus épais en cas de baisse de température, tandis qu’il tombe et devient plus ras dans les climats chauds. Habitat et répartition
Habitat naturel : S’il préfère les chaudes températures, il sait s’adapter à des climats plus frais. Il est cependant moins tolérant aux environnements très humides. Le capaya est adapté à une vie terrestre, principalement dans les biomes ouverts tels que les prairies, les savanes, les steppes bien qu’il puisse s’acclimater à diverses conditions.
Zones géographiques : On le retrouve majoritairement dans les zones d’Apotropée, Gaba, Yangchen et Yoltishi, et quelques petits groupes migrateurs isolés dans les régions de Vall et Joroo Mori. Distribution globale inconnue, restreinte à ces zones pour le moment. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Herbivore, se nourrit principalement d’herbes, racines, feuilles, fruits, légumes, graminées.
Comportement de chasse ou de cueillette : Il se nourrit en broutant les plantes facilement accessibles.
Comportements sociaux : Généralement solitaire ou semi-sociable, il forme à l’occasion de la saison des amours des couples ou de petits groupes temporaires. Il ne s’agit pas toujours des mêmes individus.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Le capaya est un animal placide, il ne fait preuve d’aucune agressivité. Cependant, lorsqu’il ressent un danger, la fourrure du capaya se hérisse, il s’agite à la recherche de la direction la plus sûre à prendre, et quand il est prêt à partir, il baisse la tête afin de s’en servir comme bélier pour pulvériser les obstacles sur son passage et se met à courir.
Techniques de communication : Vocalisations variées: sifflements, grognements pour communiquer avec ses congénères.
Habitudes diurnes/nocturnes : Diurne
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Il constitue une proie pour les grands prédateurs carnivores, en particulier ceux qui chassent en meute. Cependant, de par sa taille, sa rapidité et son fort instinct de survie, les chasses au capaya sont difficiles et souvent périlleuses. Les prédateurs le laissent généralement tranquille s’il n’est pas malade ou déjà blessé.
Contribution à l’écosystème : Il participe à la dispersion des graines en ingérant des plantes dont certaines graines ne sont pas digérées, les expulsant ensuite via ses excréments, quant il ne détruit pas une zone avec un groupe.
Niveau de menace pour les humains : A moins d’être effrayé ou provoqué, le capaya est un animal placide et craintif qui ne fait preuve d’aucune agressivité. Il est d’ailleurs rassurant de voir des capayas sauvages dans certaines régions que l’on traverse, cela veut dire que le plus gros prédateur est l’humain. Sa fuite est plus inquiétante et peut provoquer de très gros dégâts. Il est vivement recommandé de ne pas rester sur son passage.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Aucun, bien que sa taille et sa force puissent constituer un danger en cas de contact direct. Reproduction
Méthodes de reproduction : Vivipare
Cycle et espérance de vie : Les petits naissent après une période de gestation de 8 mois. Les femelles atteignent leur maturité sexuelle à l'âge de deux ans. Le capaya atteint leur taille adulte à 5 ans et peut vivre jusqu’à 15 ans en liberté.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : 1 à 2 petits par portée avec un intervalle de deux ans entre chaque portée. Les parents, en particulier les femelles protègent leurs petits jusqu’à leur un an. | | | Admin 272 0 0 | DimétrodonDescription Globale
Le Dimétrodon, surnommé le « crocodile à voile », est un prédateur marin imposant, connu pour sa grande voile dorsale. Ce reptile amphibomorphe, pouvant dépasser les 10 mètres de long, habite principalement les eaux tropicales de la mer Micéenne et les rivières de Costa Roja. C’est un chasseur redoutable et territorial qui joue un rôle crucial dans le maintien de l’équilibre des écosystèmes aquatiques. S’il se nourrit principalement de poisson et de petits mammifères imprudents, il n’en reste pas moins dangereux pour l’humain, surtout en période de reproduction. Espèce
Nom scientifique : Dimétrodon
Nom commun : Crocodile à voile Classification
Classe : Amphibomorpha
Ordre : Crocodylomorpha
Famille : Voilusaurus Physique
Taille et poids : Environ 7 à 10 m de long en moyenne, pour un poids de 700 à 900 kg. Des spécimens atteignant les 15 mètres ont été aperçus plus au large.
Couleurs et motifs : Brun à verdâtre, avec des motifs qui facilitent le camouflage dans l’eau.
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Écailles reptiliennes, grande voile dorsale formée par des épines vertébrales allongées, utilisée pour la thermorégulation et la conversion du vent en puissance motrice, ce qui leur permet de parcourir de longue distance sans se fatiguer, surtout en période de migration saisonnière entre les zones de reproduction et les territoires de chasse, membres robustes et griffus adaptés à la fois pour la nage et la marche, queue utilisée comme propulseur et gouvernail dans l’eau, mâchoires puissantes pour attraper des proies et les broyer.
Adaptations physiques particulières : Capacité à rester sous l’eau plus d’une heure. Habitat et répartition
Habitat naturel : Climat tropical, milieu marin, zones côtières, mangroves, marécages, rivières, récifs.
Zones géographiques : Mer Micéenne, mangrove et rivière de Costa Roja. Distribution inconnue, restreinte à cette zone pour le moment Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Carnivore/ Piscivore, préférence marquée pour les poissons, crustacés, amphibiens et petits mammifères.
Comportement de chasse ou de cueillette : Embuscade près des rives et dans l’eau en se dissimulant dans les plantes aquatiques.
Comportements sociaux : Semi-social, vivant en couple, parfois en petits groupes.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Le Dimetrodon est un animal territorial, attaquant tout intrus sur son territoire en période de reproduction. Il utilise sa mâchoire et ses griffes pour se défendre et chasser. Lorsqu’il est menacé, il utilise sa voile dorsale pour paraître plus grand et menaçant, tout en ouvrant la gueule pour montrer ses dents. Il grogne et peut charger rapidement en utilisant ses pattes pour taillader tout ce qui se trouve sur son chemin.
Techniques de communication : Grognement, rugissement, tremblement de la voile dorsale.
Habitudes diurnes/nocturnes : Diurne
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Prédateur supérieur dans les écosystèmes aquatiques.
Contribution à l’écosystème : Maintien de l’équilibre des écosystèmes aquatiques en contrôlant les populations de proies.
Niveau de menace pour les humains : Très dangereux quand il est surpris, acculé, ou en période de reproduction car il devient imprévisible et peut s’attaquer à de grandes proies.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Pas de venin, pas de toxine, mais sa morsure peut-être extrêmement dangereuse en raison de la puissance de ses mâchoires et des risques d’infection. Reproduction
Méthodes de reproduction : Oviparité, les œufs sont pondus dans le sable sur les plages (mer ou rivière).
Cycle et espérance de vie : Les œufs incubent pendant 12 à 13 semaines. Les petits ne survivent pas tous les premières semaines de leur vie car ils sont très vite confrontés à la vie sauvage, les prédateurs et parfois même leurs congénères. Cependant, ceux qui survivent la première année (en moyenne deux à trois petits) peuvent espérer vivre jusqu’à 70 ans dans la nature.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : 20 à 50 œufs par ponte. Protection des nids par les adultes, surtout les femelles, jusqu’à l’éclosion des œufs. | | | Admin 272 0 0 | FungusarusDescription Globale
Le Fungusarus, plus familièrement appelé lézard champignon, est un reptile des jungles tropicales de Costa Roja. Grâce à sa ressemblance avec les champignons, il utilise le mimétisme pour se fondre dans son environnement. Ainsi, il peut échapper à ses prédateurs, et chasser par embuscade les insectes qui s’aventurent trop près de son territoire. Solitaire et non dangereux pour les humains, ses morsures peuvent néanmoins être douloureuses. Espèce
Nom scientifique : Fungusarus
Nom commun : Lézard champignon Classification
Classe : Reptilia
Ordre : Squamata
Famille : Agamidae Physique
Taille et poids : Environ 30 à 50 cm de long, poids allant jusqu’à 500 grammes.
Couleurs et motifs : Corps recouvert d’écailles blanches et différents tons de brun. Motifs à pois ou lamelles.
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Une crête dorsale large et plate en forme de chapeau, rappelant un champignon.
Adaptations physiques particulières : Son apparence et ses couleurs lui permettent de se fondre dans le décor environnant en se faisant passer pour un champignon. Habitat et répartition
Habitat naturel : Climat tropical chaud avec un fort taux d’humidité. On le retrouve principalement dans les jungles épaisses où la végétation et les champignons abondent.
Zones géographiques : Costa Roja. Distribution globale inconnue, restreinte à cette zone pour le moment. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Insectivore, préférence pour les diptères.
Comportement de chasse ou de cueillette : La technique de chasse est basée sur l’embuscade. Il peut rester immobile de longues heures et surprendre sa proie en projetant sa langue vers elle, une fois celle-ci dans son périmètre de chasse.
Comportements sociaux : Le lézard champignon est généralement solitaire, sauf en période de reproduction.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Le Fungusarus est principalement en défense sur son territoire. Sa principale stratégie repose sur le mimétisme. En se camouflant comme champignon, il évite les prédateurs. Il attend généralement que ses derniers s’en aillent ou en cas de menace directe, il peut effectuer des mouvements brusques pour déstabiliser l’agresseur et prendre la fuite. Dans le cas où il passe assez près de lui, il peut mordre.
Techniques de communication : Mouvement de tête, ou de dorsale, sifflements.
Habitudes diurnes/nocturnes : Diurne
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire :Prédateur pour les insectes, proie pour les carnivores.
Contribution à l’écosystème : Il régule les populations d’insectes et participe ainsi au maintien de l’équilibre écologique dans son habitat.
Niveau de menace pour les humains :Faible
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Aucune toxine ou venin n’a été identifiée chez cette espèce. Ses morsures ne sont pas dangereuses pour l’humain mais peuvent causer une vive douleur. Reproduction
Méthodes de reproduction : Oviparité.
Cycle et espérance de vie : Les œufs sont pondus sous des feuilles mortes et des débris pour les protéger des prédateurs. Ils éclosent après environ 3 à 4 semaines. Les jeunes atteignent leur maturité en 6 à 8 mois, et l’espérance de vie du lézard est de 5 à 7 ans en moyenne en milieu naturel.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : La femelle pond environ 10 à 20 œufs par ponte. Aucun soin parental, les œufs et les jeunes se développent indépendamment. | | | Admin 272 0 0 | Gigantopoda NebulosaDescription Globale
Le Gigantopoda nebulosa est une créature colossale ressemblant à un scolopendre géant qui hante les terres brumeuses du Voile. Ce prédateur, bien que rarement aperçu, est très redouté par les explorateurs qui s’aventurent au delà du Mur. Silencieux malgré sa taille imposante, il use de sa capacité à se fondre dans la brume et l’obscurité pour surprendre ses proies. Peu d’explorateurs ont survécu à une rencontre avec ce monstre, d’où le manque d’informations disponibles à son sujet. Pour certains Victoriens, il n’est qu’une légende, mais pour ceux qui l’on vu et ont survécu, il reste un cauchemar vivant, une ombre qu’ils ne peuvent oublier. Espèce
Nom scientifique : Gigantopoda Nébulosa
Nom commun : Le Scolopendre ou le Scolo-fils-de-pute Classification
Classe : A déterminer
Ordre : A déterminer
Famille : A déterminer Physique
Taille et poids : Une bonne centaine de mètres. A déterminer.
Couleurs et motifs : Sombre. Grisâtre à noir.
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Corps massif, segmenté en plusieurs sections. Pattes longues, squelettiques.
Adaptations physiques particulières : exosquelette épais. A étudier. Habitat et répartition
Habitat naturel : Le Voile
Zones géographiques : Le Voile Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Carnivore.
Comportement de chasse ou de cueillette : Il se sert de la brume et sa rapidité pour tendre des embuscades.
Comportements sociaux : Il semble solitaire. A déterminer.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Quand il disparait dans la brume, soit il va attaquer, soit il est parti pour de bon.
Techniques de communication :Inconnue.
Habitudes diurnes/nocturnes : Inconnue.
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Prédateur. Position exacte inconnue.
Contribution à l’écosystème : Inconnue.
Niveau de menace pour les humains : Extrêmement dangereux. Les rares rencontres documentées avec des humains se sont souvent soldées par des disparitions.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Inconnue Reproduction
Méthodes de reproduction : Inconnue
Cycle et espérance de vie : Inconnue
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : Inconnue | | | Admin 272 0 0 | Scorpion RougeDescription Globale
Le scorpion Rouge est un prédateur redoutable de Dahikar, utilisant sa capacité à s’enterrer dans le sable pour tendre des embuscades à ses proies. Bien qu’il ne produit pas de venin, il demeure extrêmement dangereux pour les humains, en particulier pour ceux qui ne savent pas repérer les traces d’un « nid » dans le sable. Avec une taille pouvant atteindre les 2 mètres de long, des pinces puissantes et un dard d’une trentaine de centimètre, il ne fait aucune distinction entre les différentes proies qui s’aventurent sur son territoire. Espèce
Nom scientifique : Scorpion Rouge
Nom commun : Scorpion géant de Dahikar Classification
Classe : Arachnide
Ordre : Scorpiones
Famille : Scorpionidae Physique
Taille et poids : Il peut atteindre 2 mètres de long de ses mandibules à la pointe de son dard.
Couleurs et motifs : Couleur sable à brun foncé, lui permettant de se camoufler dans son environnement.
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Pinces puissantes, carapace épaisse, dard de 30 centimètres.
Adaptations physiques particulières : Corps aplati lui permettant de se cacher sous le sable. Habitat et répartition
Habitat naturel : Climat désertique. Désert aride, températures élevées, sol sablonneux
Zones géographiques : Gaba, Yangchen. Actuellement, restreinte à ces zones. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Carnivore, pas de préférence particulière, il mange tout ce qui lui passe sous les pinces (mammifères, insectes, congénères, humains…)
Comportement de chasse ou de cueillette : Il chasse par embuscade. Il se cache sous le sable, repère ses proies aux vibrations qu’elles émettent lors de leur déplacement et il les surprend une fois à bonne distance en leur envoyant du sable pour les désorienter avant de bondir hors de son trou et les saisir avec ses pinces ou les piquer avec son dard.
Comportements sociaux : Solitaire, il évite généralement les autres scorpions sauf pour la reproduction.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Agressif envers ses congénères du même sexe. Pour se défendre, il se sert de ses pinces et de sa queue.
Techniques de communication : Utilisation des vibrations du sol pour détecter les proies et ses congénères, claquement des pinces.
Habitudes diurnes/nocturnes : Diurne.
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : A ce jour, reconnu comme prédateur supérieur dans les écosystèmes désertiques.
Contribution à l’écosystème : Régulation des populations des différentes espèces de l’écosystème désertique.
Niveau de menace pour les humains : Très dangereux. Il est recommandé de ne pas s’approcher des zones creuses dans le sable à moins de 10m en journée.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques : Certains d’entre eux, peuvent projeter une solution toxique et brûlante avec leurs queues ils sont reconnaissables aux tâches rouge sur leurs carapace. Les autres ne produisent pas de venin, mais les pinces sont assez puissantes pour sectionner un membre et son dard pour transpercer les chairs. Reproduction
Méthodes de reproduction : Oviparité.
Cycle et espérance de vie : Les œufs éclosent après environ 2 mois. Les jeunes scorpions sont indépendants après 3 mois. Ils se cherchent ensuite un coin où ils établissent leur nid et ne s’en éloignent que très rarement. L’espérance de vie des femelles peut atteindre 5 à 7 ans. Les mâles sont tués par les femelles après l’accouplement pour s’en nourrir pendant la période de couvaison. Stratégie purement nutritive.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : 10 à 15 œufs par couvée. La femelle protège les œufs et les jeunes scorpions jusqu’à ce qu’ils soient en âge de chasser par eux-même. | | | Admin 272 0 0 | CapricorneDescription Globale
Le capricorne est un petit animal gracieux de la taille d’une chèvre et munie d’une unique corne sur son front qui lui sert tant à se défendre qu’à marquer son territoire ou creuse le sol à la recherche de nourriture. Son corps, plus robuste que le suggère sa fragile apparence, est recouvert d’un pelage doux souvent blanc ou gris pâle qui lui tient chaud l’hivers. Petite, résistante, relativement docile, les élevages de capricornes, pour leur lait et leur fourrure, sont nombreux dans la région de Qulleqipok et dans le Vall. Espèce
Nom scientifique : Capra unicornis
Nom commun : Capricorne, unicorne, licorne Classification
Classe : Mammifères
Ordre : Artiodactyla
Famille : Bovidae. Physique
Taille et poids : Le capricorne mesure environ 60 à 80 cm au garrot et pèse entre 30 et 50kg.
Couleurs et motifs : Le pelage du capricorne est généralement blanc ou gris pâle, parfois beige ou légèrement tachetés chez les capricornots (jeunes capricornes)
Caractéristiques distinctives (cornes, plumes, écailles, ect) : Une corne spiralée au centre du front. Elle ne cesse jamais de pousser et doit être régulièrement frotter pour l’user et ne pas alourdir la tête de l’animal.
Adaptations physiques particulières : Des sabots robustes adaptés aux terrains escarpés, un pelage épais, un estomac lui permettant de digérer des plantes résistantes ou épineuses que d’autres animaux évitent. Habitat et répartition
Habitat naturel : Le capricorne vit dans des régions montagneuses ou vallonées, mais il peut aussi s’adapter à des environnements forestiers ou des prairies.
Zones géographiques : Principalement Qulleqipok et le Vall. Alimentation et Comportement
Régime alimentaire : Bien qu’il soit principalement herbivore, le capricorne à tendance à tendance à mordiller, goûter et explorer tout ce qui l’entoure.
Comportement de chasse ou de cueillette :Le capricorne broute toute plante comestible qui lui passe sous le museau, il peut grimper sur des surfaces instables pour attraper des produits qui l’intéressent, creuser le sol à l’aide de sa corne pour déterrer des racines et tubercules ou encore pour décrocher l’écorce des arbres.
Comportements sociaux : Très social, il vit en petits troupeaux.
Comportements agressifs et stratégies de défense : Un capricorne cherchera à embrocher une menace directe à l’aide de sa corne. Sinon, il privilégiera la fuite, de préférence vers des terrains rocailleux ou accidentés pour ralentir ou décourager les poursuivants.
Techniques de communication : Vocalisations douces et sifflement pour communiquer avec ses congénères.
Habitudes diurnes/nocturnes : Diurne
Rôle écologique et dangerosité
Position dans la chaîne alimentaire : Il constitue une proie pour les carnivores. Les hommes en font l’élevage pour leur viande au goût prononcé, leur lait et les produits transformés qui en découlent.
Contribution à l’écosystème : Il participe à la dispersion des graines en ingérant des plantes dont certaines graines ne sont pas digérées, les expulsant ensuite via ses excréments. Son crottin est utilisé comme engrais.
Niveau de menace pour les humains :Faible, mais on est jamais à l’abri d’un accident.
Venins, toxines ou autres dangers spécifiques :Aucune à part sa corneReproduction
Méthodes de reproduction : Vivipare
Cycle et espérance de vie :Dans la nature, un capricorne vit en moyenne 10 à 15 ans. En captivité, sa durée de vie peut atteindre 20 ans.
Nombre de descendants par couvée/portée et soins parentaux : Les femelles donnent naissance à un ou deux petits par portée après une période de gestation d’environ 5 mois. Les mères s’occupent des capricornots pendant les premiers mois jusqu’à ce qu’ils soient capables de se nourrir seuls. Le troupeau est très protecteur vis-à-vis des jeunes membres. [ Le Capricorne] - illustration de l’artiste: - [ Zoe Blackbourn] | | | |
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